Il arrive que le nombre de réactions soit inversement proportionnel à l’intérêt d’un article, dont on se demande s’il n’a pas été écrit par pure provocation, et s’il ne devrait pas se trouver dans la rubrique « parodie ». Leur quantité inflationniste, parfois, c’est comme le PIB d’un pays, qui fait rentrer tout l’activité économique liée à une catastrophe. D’où les rapports finalement entre littérature, journalisme et économie. Et l’intéret, en écrivant, d’être provocateur, à défaut d’être pertinent, afin d’enclencher la réaction.