Pas surprenant pour ceux qui le départ tentent de garder raison.
Personne certes n’était dans cette chambre, mais les invraisemblances de cette pièce de boulevard auraient du en troubler plus d’un.
Ou du moins inviter à une prudence, au lieu de lancer leurs propos jubilatoires, ressemblant à celles de ces supporters haineux célébrant la victoire de leur équipe, en se moquant bien de savoir si elle a acheté l’arbitre, et la moitié des joueurs.