De bonnes remarques dans cet article. Finalement, on n’a que ce que l’on mérite. Il n’y avait pas besoin de cassandres pour le prévoir, mais on a voulu croire ceux qui étaient les hommes de paille des vrais responsables de cette déroute et qui nous prédisaient le contraire.
Les classes moyennes souffrent. Que nenni, elles ont été mises au pas. Leurs salaires de plus en plus se rapprochent de ceux des ouvriers, rendant ainsi inutiles les efforts faits pour s’instruire. Le système ultra-libéral réussit à faire aussi bien que Castro en permettant qu’un ouvrier gagne autant qu’un jeune medecin ou informaticien, en ayant, bien sûr , nivelé par le bas.
Soyons heureux, il reste encore le loto, vrai chance égalitaire de s’en sortir.