La loi paraît s’adresser à tout boycott, je mets cela en relation avec la loi du marché libre et non contraint. Mais au fait ne fait on pas dans les actes ce qu’on veut ?
Je ne consomme jamais aucun produit israélien, par choix personnel, au vu de l’histoire contemporaine de cet état. Il n’est pas question que j’y fasse escale ou que je visite ce pays.
Je n’appelle pas à boycotter, c’est interdit et de plus un appel n’est qu’une parole et les gens n’ont pas besoin qu’on leur dise ce qu’ils ont à faire. Je fais.
Voilà, ce que je viens d’écrire est autorisé, ça me va, et c’est une action efficace : à 100%. Sinon je ne l’aurais pas écrit, mais je l’aurais fait quand même.
Je n’achète rien dans un magasin qui affiche HALLAL depuis que je sais ce que c’est. Je n’entre pas dans un lieu où on parle une langue appartenant à une religion, ce mot n’a de sens que dans une communauté religieuse particulière. Si un magasin affiche : ouvert (ou fermé) le jour de Noël, je n’y mets plus les pieds. S’il affiche ouvert ou fermé le 25 décembre, ça me va, ce n’est pas un mot propre à une communauté et vide de sens pour les extérieurs à cette communauté.