@rosemar,
Quand vous parlez d’un « espoir au bout du chemin », c’est l’espoir de quoi ?
Vincent Peillon est SOCIALISTE, il est dans un parti où il y a toujours eu, de fait, beaucoup de profs, mais quand on a cessé d’être prof pour devenir député, souvent parce qu’on ne trouvait plus aucun intérêt à ce métier-là, on est bien content d’en être sorti et on se fiche pas mal des masochistes qui ont préféré y rester.
Les socialistes, sous Mitterrand, ont joui du pouvoir un certain temps. Ils peuvent se prévaloir de deux grandes réussites incontestables : la banalisation et la promotion du Front national d’une part, et d’autre part la destruction de l’école républicaine transformée en espace de conditionnement à une « citoyenneté » orwelienne. L’irrésistible montée du FN, du reste, est une conséquence directe de la destruction de l’école : beaucoup de jeunes « formés » ou plutôt crétinisés par l’école socialiste ont voté pour la walkyrie, et les statistiques font apparaître que le vote FN est inversement proportionnel au niveau de culture : 30% n’ont pas le bac, 15% sont bacheliers et 7% seulement ont fréquenté l’Unversité.
On peut donc faire confiance à Vincent Peillon : ce qui reste à détruire (pas grand chose) il le détruira.