Je n’ai rien compris à votre sophisme. Nous ne devons pas avoir la même perception de la maturité. Soyez plus clair.
La mort comme un aboutissement ou comme une libération ne me dérange pas. Tout dépend donc de quand et de quelle manière elle me tombe dessus. J’aurai peur d’avoir à revivre. Je préfère rejoindre le néant pré-natal. Je survivrai dans mes enfants et mes petits-enfants.