Debord se prétendait irrécupérable. Comment aurait-il interpréter l’hommage qui lui est fait aujourd’hui à la Bibliotèque François Mitterrand ?
Comme l’hommage du vice à la vertu ou comme une récupération qui aurait mérité une lettre d’insultes ?
Debord est mort en 1994, « prématurément usé par l’ »alcool et la lutte de classes« .
Au fond du bar, de vieux pro-situs chantent en choeur : »Non, non, non, Guy Debord n’est pas mort !"