@baldis30
Quand j’écris ces sortes de choses, je n’y crois qu’à moitié, mais quand elles me reviennent formulées par un autre, comme c’est le cas avec votre intervention, j’aurais presque peur.
Je n’écrirai donc rien là-dessus jusqu’à demain, pour ménager un peu ma sensibilité. J’ai erré ce matin entre les épaves des voitures calcinées de l’avenue Kleber, et cela m’avait déjà beaucoup déprimé. C’est donc assez pour aujourd’hui !