l’appel à la sérotonine comme aide thérapeutique dans le cadre d’une communication touristique.
......................................................................
@bernard29
Oui, j’ai lu cela aussi, mais c’est le passage le plus faible de l’article. Je lis immédiatement après :« Caracas vous attire et vous repousse à la fois ». S’il n’y a pas là une véritable volonté de désinformer, c’est quand même une formule bien malheureuse : les Colombiens et même les Péruviens qui affluent en masse vers Caracas depuis des mois, dans l’espoir d’y faire fortune rapidement, de connaître un meilleur sort et d’échapper à la misère de leur pays d’origine, sont nécessairement plus « attirés » que « repoussés ». Et à voir le nombre d’articles qui, depuis des mois également, nous informent sur l’actualité au Venezuela, on comprend bien que les auteurs subissent, en dépit de l’objectivité qu’il faut leur reconnaître, une véritable fascination, la même qu’on pouvait éprouver quand on parlait, il y a près de quarante ans, de la Californie et de sa Silicon Valley, parce qu’il semblait alors que c’était là que se jouait l’avenir du monde, que l’informatique naissante était en train d’y ouvrir à la démocratie de tout nouveaux horizons.
Le Vénezuela, l’Iran qui en a toujours été politiquement si proche, sont incontestablement les laboratoires où l’on travaille à mettre au point la formule des super-libertés du monde de demain. Nul doute qu’en s’efforçant d’extraire l’essence du plus pur islam et l’essence de cette immense générosité qui est l’héritage premier du communisme, on devrait pouvoir arriver, quasi scientifiquement, à la plus heureuse des solutions démocratiques.
Nos sociétés occidentales ont pris un énorme retard sur ces pays à la pointe de tout, mais il faut espérer que nous finirons nous aussi par profiter de leurs éclatantes avancées et de leur immense succès dans tous les domaines.