@Eric F
Je vous laisse à votre interprétation... Si cela peut vous faire plaisir.
C’est vrai que c’est fort joli — pour un salopard de la dimension de Charles de Gaulle — de passer par-dessus la mort d’un Jean Moulin devant qui il n’avait pas eu le courage de défendre, en février 1943 à Londres, la position que vous lui prêtez, et de venir — subrepticement, puisqu’avant moi personne n’avait remarqué cela, pas même Boissieu qui me l’a aussitôt avoué — lui cracher au visage treize ans plus tard (1956)...
Vous avez décidément du goût !...