@Luniterre
Bref, votre idée de solution consiste à revenir au XIXème siècle ?!
La « résultante », est très bien décrite dans le Capital de Marx et ce que vous dites est ce que Marx considère comme la contradiction fondamentale du capitalisme.
Une dette existe que parce qu’il y a un créancier et toute analyse doit don se faire en considération des deux pôles en relation de causalité.
Maintenant, il y a deux manière de voir l’évolution de l’économie, celle que les prédateurs humains et plus ou moins les autres formes comme les opportunistes et les parasites, qui tendent à vouloir maintenir leur domination ou capitalisme et celle qui respecte les végétariens et qui repose sur la recherche de l’échange le plus équitable possible.
Autrement dit, entre l’exploitation du mérite d’autrui à son profit ou bien l’exploitation de son seul mérite personnel vis à vis de tous les autres , donc, où le profit vient de son apport à la collectivité, parce que l’intérêt général est la somme des utilités particulières à son accomplissement.
C’est donc une relation causale dynamique.
Ceci dit, j’ai très bien compris ce que vous dites, simplement mon point de vue est que peu importe la forme donnée à l’outil par celui qui en a le contrôle, ce qui compte, c’est quelle forme vous voulez que l’outil ait, selon le résultat escompté.
Et pour ma part, ce n’est certainement pas le système « classique » capitaliste.
Je raisonne en végétarien et non en prédateur, ce dernier, je cherche et trouve de savoir comment le domestiquer !