Pas étonnent que l’entrevue du 28 février 2025 à la Maison Blanche ait mal tournée.
Après avoir reçu son visiteur avec une condescendance n’ayant pas été jusqu’à lui pincer l’oreille, Donald Trump, 45e et 47e Président des États-Unis d’Amérique, a offert au monde entier le numéro digne de l’animateur télé qu’il n’a jamais cessé d’être, usant et abusant de sa position de force, jusqu’à l’humiliation publique d’un interlocuteur qui y a mis fin par le seul moyen dont il disposait en tant que représentant d’un peuple urainien outragé.
Là est à ce jour l’essentiel, en attendant ce qui va en résulter pour la paix dans le monde.
D’autant que sans renier le moins qu’il soit ce qui est dû à tant d’américains qui se sont sacrifiés lors de deux guerres mondiales, au service d’un idéal de la liberté et de la démocratie, il ne faut pas oublier le profit qu’en ont tiré les USA, ni les fortunes qui se sont bâties sur son aide matérielle, dispensée massivement à l’époque jusqu’à la Russie.
Et Poutine de jubiler de tant de maladroite suffisance, de la part du Président de la première puissance mondiale.