Au siècle dernier, du temps que j’habitais dans ce pays de cocagne nord-américain qui, grâce à sa roublardise fait honte au reste du monde (selon les dires du-banquier-invité-à-la-radio), il était possible aux particuliers trop endettés de se déclarer en faillite personnelle.
La France, grande imitatrice et admiratrice des pratiques états-uniennes, devrait adopter dare dare de tels principes. Qu’en pensez-vous messieurs les banquiers ?
Ben oui, selon un adage bien gaulois, on ne peut avoir le beurre... Et après tout, les affaires, c’est bien simple, c’est l’argent des autres, disait-on déjà à l’époque de Zola.
Bah, on n’est pas si en retard que ça, va.