Parler des riches qui partent évite de parler des pauvres qui restent. Pourquoi se focaliser sur le cas Depardieu quand on évalue à 5 000 le nombre d’exilés fiscaux dont beaucoup ne sont que des rentiers et ou des héritiers, je ne parle même pas des traders et des banquiers. Le crime de Depardieu n’est-il pas d’être un pauvre qui a réussi ?