11 septembre : La théorie du mille-feuilles s’effondre avec une nouvelle vidéo

par morice
samedi 7 novembre 2009

Je n’y reviens pas, depuis le temps qu’ici, sur Agoravox, s’affrontent les partisans des deux versions du 11 septembre 2001, tout le monde, globalement, sait à quoi s’en tenir, et sait aussi que personnellement je suis partisan de la théorie « dite du complot » et non de la thèse officielle. Quitte à en décevoir certains, ça n’a pas toujours été le cas : pendant trois années au moins, j’ai tenu les propos inverses de ceux d’aujourd’hui, sur un site dédié à l’informatique, qui avait ouvert une tribune libre à ce sujet. De jeunes participants, d’à peine la moitié de mon âge, on finit par me convaincre à force d’arguments, mais aussi à force de documents dénichés je ne sais où à l’époque. De fins limiers, qui avaient débusqué des photos rares, car c’était bien avant que n’ouvrent des sites spécialisés tels que Reopen. Je les en remercie aujourd’hui, à jouer un peu trop avec eux à l’avocat du diable, ils ont dû passer des soirées à se triturer le cerveau de ma faute. Mais au final, ce sont bien eux qui ont gagné, patiemment et sans forcer ni imposer : ils présentaient la thèse la plus plausible et la plus étayée, tout simplement. En trois ans de débats intenses, j’avais eu le loisir de vérifier leurs dires. Non, raisonnablement, en mettant bien et proprement tous les bouts d’information ensemble, la thèse officielle ne tient pas, effectivement. Aujourd’hui, je ne vais pas vous en refaire le détail : je ne vais pas vous parler du Pentagone, et de son étrange façade sans impact d’ailes, ni du WTC 7 qui tombe sur lui-même comme immeuble de banlieue dynamité, ni encore du trou de Shanksville et de son Boeing 757 dissous au fond d’un marais spongieux. Non , je vais me permettre de revenir sur les deux tours du WTC, ou plus exactement sur une seule à la lumière d’une vidéo apparue le 1/11/2008. Une vidéo importante (dispo aussi ici), car, à elle seule, elle remet en cause la thèse officielle de l’effondrement en « pancake », ce qu’en France on a traduit par « mille-feuilles ».

Selon cette théorie donc, expliquée par les très officiels ingénieurs du NIST, les deux tours principales du WTC auraient vu leurs étages s’effondrer sur eux-mêmes en commençant par le haut, ce qui est déjà une prouesse en elle-même étant donné que les deux impacts n’y ont pas eu lieu (mais au 77ème et au 93 ème étage respectivement). Une chute régulière, à raison de 10 planchers d’étage en six secondes selon le NIST. Les tours en possédant 110, elles auraient dû mettre plus d’une minute pour s’effondrer totalement. Elles ne mettront que 14 et 16 secondes, ce qui représente un autre record. Mais aujourd’hui, ce n’est même pas de vitesse de chute libre dont je veux vous parler. Non, c’est de l’architecture même de chaque étage, et donc de celle globale du WTC. Pour faire simple, ces deux tours sont un peu comme la Tour Monparnasse en fait : elles présentent un noyau central dense, fait de poutrelles fort épaisses (10 cm à la base !) noyées dans une gangue de béton, ce noyau central servant aux canalisations principales et aux ascenseurs et aux escaliers de secours (A Montparnasse, on a un noyau de béton armé véritable, alors qu’au WTC ce sont des poutrelles regroupées par quatre en piliers séparés). Un noyau assez compact, et massif sur lequel s’agrippe chaque étage dont le sol est extrêmement fin (50 kg/m²), constitué de poutrelles légères portant à la fois sur le noyau et sur un revêtement extérieur faisant office de périmètre porteur de chaque étage. 61 panneaux extérieurs par façade, horizontalement. Le poids essentiel est soutenu par le corps central, (plus de 60% dit-on) le corps extérieur beaucoup plus léger servant en même temps de peau à l’édifice, tout en allégeant la charge centrale. Très vite, à l’étude du premier schéma venu, cette notion de corps central plus résistant que le pourtour, lui-même plus résistant que les planchers, devient une réflexion primordiale.

Elle devient aussi une impossibilité majeure pour la thèse de l’effondrement en mille-feuilles. Si l’on regarde en effet toutes les simulations présentées par le NIST où les partisans de la thèse officielle (qui ont ignoré le rôle du noyau dans leurs simulations, où ils ne l’ont même pas figuré !), bizarrement, chaque étage qui tombe sur celui du dessous, présente exactement sur toute sa superficie une résistance similaire. D’où le mille-feuilles possible. Or, à l’évidence, cela n’a pu se passer ainsi. Même avec une façade extérieure réduite en miettes de trois mètres maximum, (c’est tout ce qu’on pu retrouver) alors que ces panneaux faisaient plus de 15 m de long (ils recoupent 3 étages en hauteur !), le centre aurait dû résister davantage : les étages auraient pu à la rigueur coulisser sur leur âme centrale, si leur soutien avait disparu, mais les planchers légers (du béton réparti en faible épaisseur sur une âme de tôles ondulées maintenues par des poutres légères en croisillons) n’auraient pu descendre à la même vitesse. Lors de la construction, alors que le béton n’avait pas été coulé, on voyait bien la différence entre le corps central sombre et les plaques d’acier léger formant le plancher. On aurait dû avoir un "repliage" vers le bas de chaque étage, autour de leur point d’attache central, toujours avec cet autre particularisme d’une façade littéralement éjectée en miettes vers l’extérieur, visible sur un tas de documents. Un phénomène inexplicable par la simple chute des étages supérieurs sur ceux d’en dessous, les débris ayant été éjectés bien trop loin.

Tout le problème est là, en effet : dans le noyau central des tours, celui conçu pour résister à l’impact d’un Boeing 707 (à l’époque où elles ont été imaginées c’était le plus lourd en circulation). Ce noyau bétonné, et ses 47 poutrelles d’acier le renforçant, formant cage résistante autour des longs tunnels creux des ascenseurs et des escaliers de secours. Or la vidéo dont je vous parle, nous les montre, ces poutrelles gigantesques. On avait déjà entr’aperçu sur une vidéo précédente leur.... désagrégation sous forme de poussières, restées comme par enchantement en l’air au milieu de l’énorme nuage créé par l’effondrement. Un nuage purement pyroclastique, digne de celui qui a accompagné l’explosion du mont St-Helens, et non un simple nuage d’amiante dont les deux édifices regorgeaient (de l’amiante y était mêlée en proportions gigantesques, ne me faites pas dire le contraire !).

Cette fois, c’est encore plus saisissant, à vrai dire : on le distingue très clairement, ce fameux noyau... d’acier complexe, où ce qu’il reste de ses poutrelles. Le noyau tient effectivement un plus longtemps en l’air que le reste. Preuve donc que l’on n’a pas de phénomène de mille-feuilles ! Les "plateaux" ont disparu, les façades ont été expédiées à distance, mais le noyau est encore là... quelques secondes. Les étages ne se sont donc pas effondrés uniformément sur eux-mêmes ! Le mille-feuilles ne s’est donc pas produit ! Le noyau n’est pas descendu comme les étages ! Mais il nous montre qu’il termine lui aussi en poussières !

Car la gangue de béton s’est littéralement volatilisée. On distingue des poutrelles.... mais de façon fugace. Elles aussi, comme précédemment, finissent visiblement en... poussière. On est là sur deux phénomènes incroyables : la disparition du béton, et peut-être encore plus surprenant encore, la pulvérisation véritable de l’âme d’acier du bâtiment. Tout le monde a été frappé de la faible épaisseur relative des débris en bas des deux tours. Et par l’absence totale de morceaux de béton conséquent. Pour les poutrelles idem : le "musée" du WTC en détient fort peu. Et ne présente que les plus épaisses : celles qui étaient à la base... et proviennent des fondations, non touchées par le phénomène de pulvérisation. Cette vidéo nous démontre que sous l’énorme nuage, un phénomène bien étrange s’est produit, qui explique l’absence de gros débris, puisque même l’acier se volatilise, un phénomène que pas une seule explication reposant sur un phénomène d’incendie classique à base de kérosène ne peut expliquer. Pour le NIST comme pour la FEMA, les poutrelles centrales se seraient "tordues" en raison de la chaleur. Ce qui aurait expliqué l’effondrement. Même pas : elles ont été littéralement pulvérisées comme le prouve cette vidéo ! Le comportement des noyaux d’acier atomisés du WTC détient la clé de l’effondrement des deux bâtiments. Et ce phénomène étrange n’a aucun rapport avec un impact d’avion, aucun. 

Les deux tours pesaient leurs 96 000 tonnes d’acier chacune. Selon la FEMA, dans son rapport final, il en manque toujours 32 000 pour chaque bâtiment... Un tiers au moins à été pulvérisé, et comme traces de béton il ne reste rien ou presque. Sur les 4,5 millions de tonnes (chacune) des tours, on n’aurait donc retrouvé que 128 000 tonnes d’acier et seulement des grains de sable des 425 000 m³ de béton coulé au départ. Officiellement, on a cependant débarrassé à Ground Zero 1,8 millions de tonnes de débris au total, grains de sable compris. C’est cinq fois moins encore que ce qu’on aurait dû logiquement y trouver. Il semble donc bien qu’il manque beaucoup de choses, dans cet événement catastrophique. Ou plutôt, que beaucoup de choses se soient volatilisées. Le béton, l’acier... alors vous pensez bien, les quatre boîtes noires (au total) des appareils, voilà qui pèse fort peu, en regard. Quatre autres petits grains de sable, sans doute.

PS : la nouvelle vidéo du WTC7 offerte dans le site indiquée accrédite totalement la thèse de l’explosion contrôlée, tant les éjections de charges préparatoires y sont clairement visibles.

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