149 députés vont chercher Macron ce mardi

par cenopewasa
lundi 30 juillet 2018

On veut des noms ! 

La et là, gardez votre calme, tout est légal. Je suis un humble commentateur sorti du rang parce-que tous mes auteurs sont morts, soyez peu exigents, merci d'avance. S'il faut écrire un peu sur la motion, avant qu'elle ne soit votée et oubliée, dois-je le faire moi même ?

Pour vous, j'ai visionné une partie de la commission d'enquête sénatoriale suite aux révélations de l'affaire Benalla sur la sécurité raprochée du président de la république. J'ai choisi de mettre en valeur deux questions des présidents de commission, centrales et factuelles, parmis les 6h de débat.

 

Deux question factorisées titrées du visionage de la commission d'enquête sénatoriale.

"La question de la commission porte sur la violation de la séparation des pouvoirs constitutionnels entre le ministère de l'intérieur et le chef de l'état."

Tous les policiers syndiqués ont crié au scandale, tous les hauts gradés de la police ont dénoncé les court-circuits, les abus d'autorité du "Conseiller spécial de l'élysée". Les sénateurs se sont montré trés sévère à propos des "vigiles de l'élysée", les qualifiant de "police parallèle", ou de "barbouze".

Les présidents de commission ont martelé "régalien", insisté lourdement pour que la sécurité du président soit assurée exclusivement par des gendarmes et policiers du ministére de l'intérieur, c'est-à-dire le GSPR comme prévu par la loi. Il y a des contradiction entre le préfet et le ministre sur la présence ou non de vigiles autour de macron.

Le ministre a affirmé qu'il y a toujours eu quelques élément de sécurité privée autour des présidents sous la Véme, mais jamais d'abus manifeste, d'usurpation d'identité policiére, au point que cela ne devienne une exception intolérable à la juridiction du ministère de l'intérieur.

"La question de la commission porte sur la violation de l'article 40 de procédure pénale (obligation de signaler un délit à la justice) par plusieurs haut-fonctionaires."

Les diférent acteurs du ministère de l'intérieur ont reconnu avoir manqué de sévérité et tardé à prendre des sanctions, mais aucun n'a rapporté les faits à la justice, ils se sont tous contenté d'agir par "voie administrative", par "signalement à la hiérarchie compétente (AAM Kholer)".

On parle au moins du ministre de l'intérieur, de deux directeurs de cabinet (intérieur et élysée), du préfet de paris, du directeur du dspr, d'un commandant de la police nationale (qui échappe un peu à l'identification). Je pense qu'on peut parler de secret, de volonté claire de régler le problème en interne, avec des sanctions administratives.

Je remercie ce gars, qui m'a pas mal prémaché le travail, j'aurais tellement galéré avec le replay.

 

De la commission d'enquéte parlementaire à la motion de censure.

Dirigée par un député nouvellement élu de EM, l'enquéte de l'assemblée était morte-née. Devant cette mascarade démocratique, devant la dictature impitoyable de la majorité, l'opposition se durcit. Vous pouvez lire les pitoyables excuses des uns partout, et les grands cheveaux des autres ci-après : tas de gauche, tas de droite.

Les gars, soutenez cette motion de censure comme moi, comme vous l'explique Jacob et Mélenchon chacun à leur sauce, non parce qu'elle va renverser le gouvernement, mais parce qu'elle fait diversion pendant que la commission sénatoriale fouille la merde, parce -qu'elle revitalise l'opposition.

J'ai contacté mon député, monsieur Jean Michel Couve, des Républicains, afin de lui demander de voter la censure, sous le texte proposé par Christian Jacob. (ou plus exactement son secrétariat à l'assemblée nationale) Mon message porte 11 signatures de citoyens élécteurs dans sa circonscription.

 

http://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/dossiers/motion_censure2_juillet2018

http://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/dossiers/motion_censure_juillet2018

C'est quoi mon nom déja ?

Cenope Wasa <3

 


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