Béziers, Chanteloup-les-Vignes : quand le communautarisme finit en citrouille d’Halloween...

par Beauceron
lundi 4 novembre 2019

Douce France, cher pays de mon enfance entonnait Charles Trenet, puis le groupe Carte de Séjour quelques décennies plus tard. Les traditions populaires perdurent, et ce n'est pas l'arrivée de la fête commerciale pseudo-paienne d'Halloween qui bouleversera les choses, bien au contraire.

Autrefois, on était presque dérangé par le calme plat de la fin d'octobre, consacrée à la commémoration des défunts. Aujourd'hui, déchristianisation et libéralisation culturelle obligent, c'est une période festive. Personne n'a pu échapper à ces passants en tenues ridicules orangées, citrouille sur les épaules, bons consommateurs de produits idiots vendus en grande surface histoire de dépenser inutilement son argent et de festoyer pour embêter son voisin de palier. On appelle cela Halloween, bidule développé par les américains en référence à une fête irlandaise d'antan, et transposé outre-manche depuis une bonne vingtaine d'année (avec Harry Potter en avant-garde).

En France, où tout est différent, les quartiers populaires du vivre-ensemble et de la diversité fêtent eux-aussi Halloween, à leur façon. Cela donne des actes de barbarie désormais courants, et communs à toutes les fêtes (nouvel an, 14 juillet etc.) : incendies, dégradations, affrontements avec la police. Nos paiens des quartiers populaires ne portent pas la citrouille mais d'autres tenues, orientales, telles que la cagoule et le foulard palestinien. Des paiens souvent convertis à d'autres croyances peu respectueuses de la culture occidentale.

Cela donne une école primaire incendiée à Béziers et un cirque enflammé lui-aussi à Chanteloup-les-vignes (78), dans ces quartiers populaires où nos irresponsables et peu courageux pouvoirs publics ont installé la pauvreté depuis quarante ans. Des endroits autrefois encadrés par les communistes avec la bénédiction de la droite libérale bien heureuse de se décharger de la gestion de sa main d'oeuvre bon marché, aujourd'hui gérés par les trafiquants de drogue qui marquent leur territoire par la terreur et les dégradations afin de bien faire comprendre qu'ils sont les maitres des lieux.

Alors que faire ? Déjà, il faudrait une volonté politique et culturelle d'appliquer la tolérance zéro dans les territoires occupés par les barbares. Or, la France n'est pas les Etats-unis, et le seul fait d'aborder la question de la répression indispose une partie de notre population autiste et frappée de la maladie du déni des réalités. Les termes de "barbare", "racaille" ou "caillera", c'est encore trop. Pourtant, quelques mesures de bon sens alliées avec du courage politique et un peu de détermination régleraient le problème.

D'abord, en abaissant à treize ans la responsabilité pénale. Ensuite, en refusant la nationalité à dix-huit ans pour les brutes multirécidivistes. On peut aussi généraliser l'indignité nationale pour les faits gravissismes tels que ceux de ce week-end d'Halloween. Surtout, faciliter l'expulsion sans relogement des familles fauteuses de troubles dans les immeubles, une démarche rendue très difficile par les associations subventionnées (avec votre argent) pour défendre les parasites qui pourrissent la vie de leurs voisins dans les cages d'escalier. Pour les sanctions pénales, la réouverture du bagne de Cayenne permettrait de punir et de recadrer quelques milliers de voyous.

Mais que nos amis "humanistes" se rassurent : tout cela n'est que de la science-fiction. Au pays des droits de l'homme (délinquant), le voyou sera toujours défendu par quelques abrutis donneurs de leçons qui parleront de mesures éducatives et de moyens supplémentaires plutôt que de traiter le problème à bras le corps ;

D'ailleurs, pourquoi aborder et s'indigner sur les chaines infos-TV de ces actes de vandalisme puisque aucune solution concrète n'est envisagée ? Les barbares ont-ils un contrat avec BFM-TV pour faire monter l'audience et vendre des pages de publicité ? Cette situation est aussi grotesque que les citrouilles d'Halloween, puisque la farce médiatique rejoint celle d'une fête bidon. Violence et fric contre école (Béziers) et éducation (cirque pédagogique de Chanteloup) : la loi du plus fort. Comme quoi le paganisme, l'ultra-libéralisme et l'islamisme communautaire peuvent faire bon ménage...

 


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