Capitalisme, ce mot qu’on cache

par ddacoudre
jeudi 13 octobre 2016

Juppé assume « je suis de droite ». Et moi j’assume cet article fleuve.

A droite.

Traditionnellement être de droite sans s’en référer à 1789, c’était mettre : 1/ En avant la rigueur morale (avec le nombre d’affaire de certains cela se discute). 2/ Un certain conservatisme (considérer que ce qui existe fait preuve d’efficacité. 3/ L’ordre (« policiarisation » et « judiciarisassions » et autoritarisme). 4/ Le travail (la droite n’a jamais pris de mesure réduisant le temps de travail). 5/ La famille (il faut se rappeler leur position sur l’IVG, le Pacs, le mariage homosexuel et dans les programme des primaire plutôt absente). 6/ La responsabilité individuelle ( avec la majorité pénale à 16 ans ce serait bien qu’il propose la majorité de vote. De plus avec la prise en considération que le libre arbitre n’existe pas, cela va devenir ringard).

Les grands courants de droite sont le libéralisme, le nationalisme, le souverainisme, la démocratie chrétienne et le populisme. Le libéralisme se retrouve également à gauche avec le populisme au sens péjoratif. La France se distingue par le Gaullisme qui se classe aussi à droite. Cela fait que quand l’on dit je suis de droite l’on n’a pas dit grand-chose.

La confusion.

Avec cette volonté de vouloir tout désigner par un mot, faute de prendre le temps d’écouter des explications au-delà de 30 secondes, l’on entretient des confusions. Il est sur qu’être de droite pour « le patronat, les financiers » n’a pas la même signification. L’essentiel étant que l’on préserve l’organisation économique capitaliste.

Toute fois ce n’est pas ce mot que la droite utilise pour qualifier l’organisation économique, mais la loi du marché, le libéralisme, la mondialisation. La conséquence en est que les maux générés par le capitalisme ont fait entrer en détestation le libéralisme, la mondialisation et toutes idées de régulations économiques, car elles ne se font que dans l’intérêt de la consolidation du capitalisme. Certains n’y voient que magouilles, partage du gâteau entre oligarques. S’ils ont raison, c’est le capitalisme qui l’induit. Le libéralisme et la mondialisation ne sont que des moyens où il s’exerce. La Chine est communiste et le Capitalisme s’y développe. Également Pour certains la loi du marché car elle équivaut pour eux au capitalisme par la loi du plus fort, alors que la loi du marché représente l’ensemble de toutes les interactions socioéconomiques et politiques des organisations qui se confrontent (quand l’on commerce avec les théocraties du Golfe ou la Chine, c’est la loi du marché réglée par tous les accords nationaux ou internationaux). La loi du marché qui équivaudrait à une loi naturelle du à la sélection justifiant la loi du plus fort est une stupidité absolu. Toutefois, c’est grâce à cette confusion que l’opposition au libéralisme devient crédible. Or le mot libéralisme sous entend et inclut la notion suggestive de liberté et de tolérance. Si en ce siècle refuser que les citoyens, via l’état soient propriétaire d’une entreprise indirectement est ringard et date de la monarchie, il n’y a qu’a leurs distribuer des actions de ces sociétés non négociables, peut-être que quand certains citoyens diraient on les privatise, cela aurait une autre consonnance.

 Plus régulièrement les opposant politique utilisent le terme néo libéralisme pour marquer un courant radical du libéralisme (école autrichienne et de Chicago, qu’illustre la politique de Bush, Thatcher, FMI, Banque mondiale, UE), présenté comme irréversible par l’utilisation abusive de l’évolution Darwinienne (la sélection naturelle, il suffit de se rappeler les propos de madame Parisot alors présidente du MEDEF, « l’insécurité économique est dans la nature humaine »).

Que voulons-nous être.

Ceci précisé, si nous ne voulons pas être des libéraux dites moi donc ce que nous pouvons être ? Je sais déjà ce que certains m’objecteront. L’absurdité du communisme est qu’un parti décide pour tous comme s’il détenait le bonheur de l’humanité dans ses mains, de ce côté la c’est ce qui le rapproche du capitalisme. Si nous sommes contre la mondialisation, très sérieusement comment comptons-nous empêcher la circulation des hommes et des échanges. Là aussi j’entends déjà les observations, rétablir les droits de douanes pour se protéger, de quoi au fait, ce ne serait pas par hasard de l’exploitation capitaliste qui sévit dans le monde entier et non du libéralisme. Chut, il ne faut pas le dire. Est-ce que la chute de l’URSS super protégée n’est pas l’exemple de ces mesures protectionnistes contre productives. Eux aussi par leur radicalité ont rendu le mot communiste détestable.

Enfin, nous sommes au XXI siècle, il n’est pas interdit d’y adapter le libéralisme et de déclarer que le libéralisme s’il autorise le droit de chacun d’entreprendre ne doit plus justifier celui d’exploiter l’autre, ce qui est le propre du capitalisme.

A gauche.

Tout aussi traditionnellement la gauche se caractérisé par ; 1/ la justice sociale, 2/ la solidarité, 3/ l’égalité, 4/ la laïcité, 5/ l’humanisme. Ses grands courants sont : l’anarchisme, le marxisme, le communisme, le socialisme, certains incluent à gauche la social démocratie, pour ma part je m'y refuse, car ne pas lutter contre l’exploitation de l’homme par l’homme n’est plus son idéal, mais plutôt gérer le capitalisme pour le rendre social, ce qui est une ineptie, le capitalisme ne peut pas être social, nous le vivons, chacun peut en juger.

L’actuel PS ne peut pas se classer à Gauche. En 1905 il luttait contre le capitalisme. En 1946 il fait dépendre la libération humaine de l'abolition du régime de la propriété capitaliste. En 1969 que la transformation socialiste ne peut pas être le produit naturel et la somme de réformes corrigeant les effets du capitalisme. Il ne s'agit pas d'aménager un système, mais de lui en substituer un autre. En 1990, une société d'économie mixte qui, sans méconnaître les règles du marché, fournisse à la puissance publique et aux acteurs sociaux les moyens de réaliser des objectifs conformes à l'intérêt général. En 2008 être socialiste c'est ne pas se satisfaire du monde tel qu'il est, c'est changer la société, c’est lutter contre les injustices pour une vie meilleure, l'action socialiste est l'émancipation complète de la personne humaine. Or le libéralisme peut y conduire, le capitalisme non. Notons au passage que ceux qui se référent à Jaurès, qui fonde en 1904 le journal L’humanité ou Léon Blum, lois de 1936, tous deux étaient dans un parti socialiste anti capitaliste comme je le rappelais plus haut. Pour bien être compris, il n’est pas interdit à quelque parti que ce soit d’évoluer, toute fois quand l’on veut être de gauche, ce n’est pas où l’on est assis dans l’hémicycle qui compte, mais son positionnement politique par rapport à l’exploitation de l’homme par l’homme, soit le capitalisme.

L’on ne peut taxer le PS d’être conservateur, sauf que le réalisme économique l’a conduit à gérer le capitalisme et glisser à droite, car la droite aussi dit lutter contre les injustices et veut que le capital génère l’intérêt général. Ce dernier point et ce qui les rassemble, formulé de la manière suivante  : les entreprises créaient des emplois. Ce qui est totalement faux. Aucune entreprise ne se développe en ayant comme objectif de créer des emplois, mais celui de retirer de cette création un revenu qualifié de profit. Pour ce faire quand elles ont besoin d’aides, elles louent la force de travail des autres pour y parvenir et ne les rémunère que forcées par le conflit de classe organisé autour du syndicalisme depuis 1884 (l’on comprend pourquoi certains s’en prennent à la représentativité syndicale au LR ou PS, encouragés par des salariés ignares et des employeurs demandeurs). En étant plus clair l’ordre moral, la famille, l’ordre, la responsabilité individuelle, la laïcité peuvent parfaitement se développer dans le capitalisme, pas la solidarité (le capitalisme pratique la charité), ni l’égalité, encore moins l’humanisme. Cela ne veut pas dire que des citoyens de droites ne partagent pas ces valeurs, mais elles ne sont pas celles du capitalisme.

 Chacun en lisant ce bref rappel et en le comparant à ce que nous voyons et entendons déclarer savent que l’ensemble de ces valeurs ne se répartissent pas en droite et gauche pour tous les courants de pensées, mais que les plus importants, ceux qui ont gouverné le pays les ont mélangés, car l’on ne peut gérer le pays qu’en ne tenant compte que d’une seule partie. Mais ce que l’on peut dire c’est que la droite n’a pas renié son attachement au capitalisme et quand elle parle de lutter contre les paradis fiscaux, elle se fout de la gueule des citoyens. Le PS, c’est quand il dit qu’il représente une force de gauche.

Un trait d’union économique.

Face à ces deux tableaux, chacun en se rappelant les discours de ceux qui ont représenté la droite et la gauche suivant les partis, ont pu observer que les deux partis qui se sont partagés le pouvoir depuis la succession de VGA, ce sont d’années en années rapproché économiquement sur la base d’une Europe économique qui ne laisse que peu de marge aux états qui y adhérent. Ainsi l’on a vu les caractéristiques qui fondaient la gauche fondre au bénéfice d’un libéralisme ou néolibéralisme derrière lequel se cache l’application d’une gestion capitaliste qui ne fait jamais la Une, sauf dans les partis révolutionnaires ou contestataires comme LO, NPA. Le capitalisme avance caché dans les discours politiques où l’on parle du capital qui permet l’investissement dans les entreprises qui, elles créaient des emplois.

Certains ont le courage de leurs opinions de classe et disent : ce sont les riches qui créaient l’emploi. En le formulant ainsi, c’est la richesse qui créait l’emploi, ils justifient par là tous les allégements de prélèvements (quid de la déclaration des droits de l’homme qui prévoit que chacun participe à hauteur de ses facultés).

Ils y croyaient et y croient encore.

L’employabilité est devenu le maître mot de la république. Pourtant, rien n’est écrit d’avance, d’autant plus que les sociétés Laïques porteuses d’un idéal républicain sont en déclin. Elles ont trop cru qu’une économie libérale assise sur l’organisation capitaliste du travail était synonyme de démocratie (toutes les organisations supra nationale sans l’accord des peuples sont un déni de démocratie). Qu’il suffisait de se faire l’apôtre de ce libéralisme capitalistique, pour voir l’idéal républicain se développer. Qu’il suffisait, d’une part, d’aboutir à une « employabilité » capitaliste en amenuisant l’activité socialisante politique et syndicale des citoyens, indispensables en démocratie, pour qu’ils fassent l’éloge de la république. Qu’il suffisait d’autre part de respecter les confessions, pour qu’elles ne deviennent pas un recours idéologique identitaire devant la faiblesse et la réduction de l’action socialisante du travail, définie comme charge, comme un coût. D’une certaine manière la laïcité républicaine est attaquée de tout bord, autant par les initiatives privées, que par celles confessionnelles. Si bien que les responsables politiques, qui ne sont que le reflet de leurs électeurs, s’appauvrissent dans leurs débats, incapables de reformuler des idéaux qui se réforment devant les événements. Et leur rôle de guide s’est transformé en celui de gardien d’un potentiel mercantile.

Potentiel qui les a conduit à renouer avec l’exclusion, des pauvres des cités, des différents, des migrants, à renoncer à la solidarité pour l’égoïsme charitable.

A s’inventer des peurs et regarder celles qui sont vieilles comme le monde en nouveautés, pourvu que cela occupe le terrain politique. Les deux attentats survenus à Nice et Saint-Etienne-du-Rouvray ont même fait de l'insécurité la question numéro un, devant l'emploi et le chômage qui sont habituellement en tête (28% contre 32% en juillet).

Tous ceux qui ont assumé le pouvoir n’ont pas su faire autre chose, quand ce n’est pas le pire comme l’entrée en guerre depuis le retour dans l’OTAN.

Le taux de profit.

Que Juppé assume sa famille politique je n’ai rien contre, sauf qu’il abuse les citoyens parce que peu savent que l’organisation capitaliste du travail est une fuite en avant dans la recherche d’un taux de profit, qui lorsqu’il se réduit ou cesse entraine crise et désastre et quand il augmente il n’est jamais saturé et scie la branche qui le porte pour ne pas redistribuer. Alors quand nous analysons les quelques mesures du plan des candidats à la primaire de droite, nous retrouvons la recherche du moyen de redonner du capital aux capitalistes pour qu’ils réalisent leurs taux de profit dans le fol espoir d’une employabilité (qui ne reviendra pas en l’état). Mais à quelles conditions ?

L’innovation est un moyen de retrouver un taux de profit sauf que tout le monde fait de même à quelques exceptions près en se tenant dans les productions ou services les plus rentables. Cela finit par remettre tout le monde à un niveau semblable. Cela a engendré la politique dite de l’offre sans solutionner définitivement la formation de taux de profit, même avec l’obsolescence programmée des produits qui engendrent le gaspillage, malgré la récupération, épuise inutilement les ressources tarissables et accroit la pollution. Dans tous les secteurs (production, service, finance) où le capitalisme trouve un moyen de réaliser un taux de profit, se pose toujours la baisse tendancielle de ce taux, car il ne peut pas monter indéfiniment.

Dividendes versés aux actionnaires. Ils augmentent de 15% à 30%. Tableau 1/

Les mesures drastiques.

Alors sont utilisées les mesures le plus courantes que chacun connait, augmenter les cadences (dénonciation du burn-out). C’est augmenter le temps de travail sans que les salaires suivent (le passage à 39 h fera perdre le salaire de 4h majorés, car en moyenne les salariés travaillent 41h par semaine). C’est réduire le personnel sans diminuer la charge de travail (réduire les fonctionnaires des collectivités, permettre aux municipalités des embauches moins payées hors cadre conventionnel). C’est licencier les vieux aux primes d’anciennetés lourdes (avec la mesure d’accroissement de l’âge de départ en retraite à 65 ans le taux des chômeurs de 50 ans et plus va grimper) et j’en oublie certainement.

Qu’un temps.

Ces mesures ne valent qu’un temps et nous les avons déjà utilisées et elles n’ont pas donné de résultats pour les salariés et l’employabilité, puisqu’elles réduisent la croissance qui repose sur une consommation qui ne peut non plus être infinie et évolue dans les pays riches en fonction de l’augmentation de la population et par une redistribution des profits. Tous les soutiens indirects de Hollande comme de ces prédécesseurs ou les propositions des candidats au primaire de LR en direction des entreprises pour leurs réduire les charges, ne sont que réduction de salaires, car les charges sont du salaire indirect que verse l’employeur, et sont le chiffre d’affaires d’autres secteurs (secteur pharmaceutique par exemple). L’ensemble de mesures de droite de Juppé, 39 h, retraite à 65 ans, baisses des impôts, réductions du personnel des collectivités locales et de l’état, réduction des indemnités chômages (dont il faut se rappeler que ce sont des mesures déjà utilisées), qu’il se propose d’accélérer, poursuivent toujours le même but, maintenir un taux de profit.

Un saut en arrière comme avancé.

Là, Juppé ramène le pays avant les lois Auroux de 1982. Soit 34 ans en arrière, pour un parti de droite qui, avec le libéralisme a intégré la notion de progressisme par rapport au conservatisme, se dire progressiste est une hérésie.

L’observation curieuse que nous pouvons faire c’est alors de voir qu’au nom du progressisme (ouverture au monde) l’organisation économique capitaliste contraint à un retour vers le conservatisme et les vieux démons nationalistes fauteurs de guerre. Ceci faute de remettre en question ou réformer le capitalisme (ce qui serait du progressisme, c’est sortir de l’exploitation) que souhaitent 92% des citoyens.

Un goût de revanche.

C’est à se demander si Juppé et la droite en général ne mène pas aussi un combat idéologique en effaçant les restes de la gauche réformiste et anti capitaliste d’avant 1990. Déjà diverses mesures prises par Balladur et Fillon ont annihilé une bonne partie des progrès votés par la gauche, salaire, horaire de travail, jours fériés, sauf les congés payés qui font l’objet d’un secteur économique porteur (environ plus d’un millions d’emplois, 6,5% du PIB).

Le plein emploi ne reviendra pas avec ces mesures quand bien même elles augmenteraient le taux de profit

L’emploi est sur une courbe descendant du seul fait que l’on n’a pas besoin du travail de tous largement compensé par la technologie et qu’il serait temps de sortir du mythe sur le travail seule source de revenus. Alors que se développe l’économie de la connaissance qu’il ne faut pas laisser aux mains des capitalistes qui la dévoieront.

Quelques chiffres qui montrent la tendance descendante de l’emploi.

Population.

En 1886 il y avait 38 218 903 habitants, en 1980 - 55 340 782 hbts, en 1999 - 60 496 715 hbts, en 2015 - 66 808 385 hbts.

Nombre d’actifs. 

En 1886/17 420 000 actifs, en 1980/23 185 000, en 1999/27 783 000 M, en 2015/28 566 000.

Secteur primaire.

En 1886 l’agriculture représentait 47%, soit 8 230 000, en 1980 6 % soit 1 391 100, en 1999 4,2% soit 1 166 886, en 2015 2,8% soit 799 846.

Secteur secondaire.

En1886, l’industrie représentait 28,5%, soit 4 975 000 actifs. En 1980 35,9%, soit 8 323 415. En 1999 24 ,9% soit 6 917 967. En 2015 20,5% soit 5 856 030.

Secteur tertiaire.

En 1886 le tertiaire représente 24,3 % soit 4 250 000, en 1980 57% soit 13 215 450, en 1999 70,9 % soit 19 698 147, en 2015 75,7% soit 21 624 462.

L’intérêt du graphique qui suit est de voir une fourchette de stabilité du secteur secondaire. Je laisse chacun libre de l’interprétation le graphique est clair.

Juste une observation par rapport à mon article, l’on observe nettement une inflexion de l’emploi dans le secondaire à partir de 1960 qui met hors de cause toutes les salades d’incompétences que s’envoient les politiciens à la figure et dont se gargarisent leurs partisans. J’ai fourni un autre tableau avec quelques différences qui situent l’inflexion à partir de 1973, mais de la même manière l’activité secondaire se situe dans la même fourchette. Tableau 2/

Tableau 3/

Le tableau suivant montre que le taux s’activité ne couvre pas tous les besoins d’emplois, et fait quid de toutes les salades que se racontent les plus sots en prétextant qu’au chômage ne s’y tiennent que les fainéants. L’écart de 1975 ne fait que grandir sous la conjonction certainement de plusieurs facteurs, mais ne peut pas s’expliquer que par la seule ouverture au monde ou l’externalisation des productions liée à la pratique du libéralisme. Le secteur primaire où l’impact de la mécanisation est le plus flagrant fait la démonstration contraire, car que je sache l’on ne peut pas externaliser les terres, mais la mécanisation et l’industrialisation en ont fait un secteur en surproduction et en crise. Tableau 4/

Je n’ai pas pu trouver de tableau sur les volumes de productions disponible comme la quantité d’acier ou le tonnage de céréales qu’il serait intéressant de mettre en comparaison pour démontrer qu’avec un taux d’activité qui baisse l’on produit X fois plus compte tenu de l’augmentation de la productivité.

Je n’ai pas pu trouver de tableau sur les volumes total des productions disponibles, comme la quantité d’acier ou le tonnage de céréales qu’il serait intéressant de mettre en comparaison pour démontrer qu’avec un taux d’activité qui baisse l’on produit X fois plus compte tenu de l’augmentation de la productivité lire le tableau. Ce tableau démontre également que même avec les écarts la tendance est la même sous l’égide de l’organisation capitaliste où tout le monde adopte les mêmes mesures. Il n’est donc pas sérieux de dire avec des taux pareils que l’on soit en crise. Tableau 5/


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