Clap de fin pour Macron ? Selon le Vidal, le Covid est « une maladie qui guérit très bien spontanément dans l’immense majorité des cas »

par Alexandre Gerbi
mercredi 20 septembre 2023

Le Vidal ou plutôt le Modérateur du Vidal, ce qui, on en conviendra, revient théoriquement au même, en dit de drôles sur le Covid... Tellement drôles que pareille révélation devrait provoquer un séisme politique, un cri unanime de la presse déchaînée, des crises de nerfs sur tous les bancs du Parlement, un scandale national de nature à renverser Macron. Une fois pour toutes. Mais on sait bien qu'il n'en sera rien. D'ailleurs ce "scoop" ne date pas d'hier. Et comme hier les médias se tairont. Le Parlement ne bougera pas une oreille. Le peuple continuera de n'y voir que du feu. Depuis le temps on a compris, merci.

Voilà ce qu'on peut lire dans le Vidal, parmi les commentaires sous l'article Ivermectine. Attention, c'est sublime...

 

Quand le Vidal vide son sac

En réponse à une internaute qui fait l'éloge de l'Ivermectine pour traiter le Covid, le modérateur du Vidal répond notamment que le Covid est "une maladie qui guérit très bien spontanément dans l'immense majorité des cas."

Oui, vous avez bien lu : "qui guérit très bien spontanément dans l'immense majorité des cas."

Précisons que le Vidal est considéré comme la bible des pharmaciens et des médecins.

 

La faible dangerosité du Covid en population générale : un secret de Polichinelle... depuis le début !

Précisons également que cette réalité, la très faible dangerosité du Covid pour l'écrasante majorité de la population, en particulier pour les jeunes et les adultes en bonne santé, cette très faible dangerosité était solidement établie et connue dès février 2020 (1). C'est-à-dire dès avant le déclenchement par Macron du premier confinement en France, début d'une longue série de mesures aussi absurdes que hautement liberticides et, "en même temps", désastreuses pour l'économie autant que catastrophiques pour les finances de l'Etat.

Dès février 2020, on savait (chiffres chinois, italiens, affaire du paquebot Diamond Princess, etc.), et Macron et ses homologues étrangers ne pouvaient l'ignorer, que le Covid n'était pas spécialement dangereux pour les moins de 65 ans, et moins encore pour les enfants, les adolescents et les jeunes adultes. Tout cela était parfaitement établi, et pour cause : les coronavirus provoquent des maladies à évolution rapide. Or étant apparue en Chine à la fin de l'année 2019 et en Italie au début 2020, le recul était suffisant en février 2020 pour pouvoir conclure que cette maladie nouvelle, qui avait initialement suscité de grandes inquiétudes précisément parce qu'elle était nouvelle, se révélait en définitive d'une dangerosité très relative. C'est-à-dire, selon toute vraisemblance, guère plus effroyable qu'une grosse grippe, maladie qui, d'ordinaire, ne déclenche aucun émoi particulier.

 

Les merveilles du mensonge et du bourrage de crâne... au service d'une politique liberticide et de la ruine tous azimuts

Pourtant, à l'époque, en ce funeste mois de mars 2020, le gouvernement et ses relais médiatiques mirent tout en œuvre pour nous convaincre du contraire. A grand renfort de publicité tous azimuts, le récit officiel affirma ou plutôt martela à longueur de journée, contre toute raison, l'extrême dangerosité du virus et le risque imminent d'une hécatombe gigantesque frappant n'importe qui et à n'importe quel âge (2). Ce discours extrêmement alarmiste et, surtout, totalement déconnecté de la réalité constatée, ce grossier mensonge permit à la gigantesque et dévastatrice escroquerie covidienne de se déployer avec l'assentiment général.

Cette vaste escroquerie tira également une partie de sa force du fait qu'elle fut orchestrée simultanément à travers presque tout l'Occident et, dans une moindre mesure et à des degrés très divers, dans une grande partie du monde. Ce mystère de la coordination internationale, ressort essentiel, avec les médias, du succès de l'escroquerie, finit par recevoir une clef du nom de McKinsey.

Pour la France, l'opération fut particulièrement coûteuse et dévastatrice. Elle s'est soldée par d'innombrables faillites d'entreprises et par la ruine de l'Etat, puisque la facture du "quoi qu'il en coûte" macronien s'élève, nous dit-on, à 600 milliards d'euros. Chiffre astronomique à rapprocher, par exemple, du budget annuel de l'Education nationale qui est le premier budget de l'Etat : 77 milliards d'euros en 2022.

Pire encore si c'est possible, l'escroquerie covidienne a servi de prétexte à l'injection en masse de produits expérimentaux, les fameux "vaccins anti-Covid", lesquels se sont révélés à la fois essentiellement inefficaces et potentiellement dangereux, voire très dangereux et parfois mortels. Ces injections, payées à prix d'or par la Commission européenne (70 milliards d'euros) sur le dos du contribuable européen suivant des contrats d'ailleurs tenus secrets, ces injections servirent elles-mêmes de prétexte à l'instauration, cerise sur le gâteau, d'un "passe sanitaire" puis d'un "passe vaccinal" hautement liberticides.

Tout cela, donc, pour "une maladie qui guérit très bien spontanément dans l'immense majorité des cas", selon le Vidal.

 

De l'urgente nécessité d'une destitution et d'un procès de Macron

Comme je l'ai, avec d'autres, mainte fois répété par le passé, l'escroquerie covidienne relève à la fois du crime contre l'humanité, du crime de haute trahison et du crime contre la Liberté censée être, faut-il le rappeler ?, sacrée... (3)

Pour ces trois motifs, Emmanuel Macron devrait être destitué et traduit en justice, en vue d'un châtiment juste et exemplaire. (4) De l'affaire Alstom à l'affaire McKinsey en passant par l'affaire Fact&Furious ou la répression ultraviolente des Gilets Jaunes, bien d'autre motifs de destitution d'Emmanuel Macron pourraient bien sûr être invoqués.

Mais nous savons bien que Macron est intouchable car protégé par les Ploutocrates et Washington-Langley. Ceux-là même qui l'ont placé à l'Elysée, qu'il a servis et continue de servir. A travers, entre autres ignominies, la gigantesque escroquerie covidienne. Avec pour point d'orgue l'interdiction des traitements, dont l'Ivermectine après l'Hydroxychloroquine, et son cortège de morts pour rien. Ou plutôt pas pour rien : morts, assassinés pour alimenter la machine à terroriser, à manipuler, à mentir, en vue de notre confinement, de notre couvre-feu, de notre injection, de notre passe, de notre ruine et de celles de l'Etat et de la France. Pour enfin asservir et avilir les Français.

Mes chers compatriotes, ne changeons rien, laissons Ubu Néron Macron tout ruiner et tout détruire. Fonçons droit dans le mur. L'impact est pour bientôt. L'impact a même déjà commencé. Tout le monde le voit : la voiture France est en train de s'écraser au ralentis. Champagne ! 

Et allez, on se la refait une dernière fois en tapant dans les mains : selon le Vidal, le covid est "une maladie qui guérit très bien spontanément dans l'immense majorité des cas".

Rechampagne !

 

Notes :

(1) Article publié le 23 mars 2020 sur AgoraVox, où j'expliquais que le Covid ne présentait pas l'exceptionnelle dangerosité annoncée et ne justifiait par conséquent nullement le confinement.

(2) Article publié le 17 mars 2020, premier jour du confinement, sur AgoraVox où j'expliquais les ressorts du bourrage de crâne et de la manipulation à venir.

Article plublié un mois plus tard le 12 avril 2020 sur AgoraVox, où je décrivais la mise en oeuvre dudit bourrâge de crâne et de ladite manipulation en cours.

(3) Article publié le 18 mars 2021 sur France soir sur la nécessité d'un sursaut et d'une Révolution.

(4) Article publié sur France Soir le 6 août 2021, imaginant le procès d'Ubu Macron.


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