Commémoration de l’assassinat de Samuel Paty le 15 octobre

par Coeur de la Beauce
vendredi 8 octobre 2021

Il y a un an, un professeur d'histoire-géographie se faisait décapiter devant son collège d'exercice. Un fait divers atroce, inconcevable il y a encore trente ans, qui est la conséquence de l'évolution de notre société voulue par nos princes : ouverture des frontières aux hommes et aux capitaux, rejet des identités nationales, diversité culturelle imposée aux pauvres dans leurs quartiers, communautrisme encouragé afin de diviser pour mieux régner. De nos jours, les repris de justice, les échappés d'asiles psychiatriques, les illuminés d'Allah et d'autre chose, qu'ils soient tchétchénes, maliens, afghans, roumains, islandais ou coréens ont autant de droits que les français républicains du terroir à partir du moment où ils débarquent en France. Logement prioritaire, soins médicaux, école et cantine aux frais du contribuable laic, il vaut parfois mieux être immigré de fraiche date que franchouillard des classes moyennes contraint d'emprunter pour se loger et se payer une bagnole. C'est la France des droits de l'homme, de la générosité, de la fraternité (on ne rigole pas svp).

Donc un tchétchéne entretenu, sans-emploi ni formation (pourquoi se bougerait-il quand tout lui est payé ?) s'est pris  pour un guerrier du prophète à force de passer ses journées sur les réseaux sociaux. On connait la suite. Notons que le milieu enseignant et nos intellectuels de salon se sont pour une fois sentis visés, quand les prêtres égorgés et les massacres dans les églises (Nice), voire même le Bataclan les ont peu retourné. C'est que, pour les permanents syndicaux de l'éducation nationale, il ne faut pas donner du grain à moudre à l'extrême-droite, quittte à tout passer sous silence.

Heureusement les temps changent. Les langues commencent à se délier. Les intentions de vote à la prochaine présidentielle montrent que l'opinion publique en a assez du baratin convenu et démagogique sur le "vivre-ensemble" avec les dingos et les voyous, l'excuse sociale, le "racisme" et autres farces pour justifier la victimisation, la paresse et la délinquance.

Qu'elle est loin, l'époque de 1981 et du débat entre socialisme et libéralisme. Même dans les salles communes des collèges et lycées, les vrais enseignants (à distinguer des permanents syndicaux) évoluent. Une collègue me parle d'une famille afghane qui refusait de s'intégrer et boycottait les cours de sport, de musique et d'arts plastiques. Un autre fustige ces gens qui ne sont là que pour les allocations familiales. Un autre encore râle après les dégradations dans son quartier où une "bande de jeunes" fait la loi. On est loin des années "barbe et syndicat obligatoire" malgré ce que disent certains sondages sur le vote des profs.

Le 15 octobre, nous nous souviendrons d'un enseignant mort à cause d'un dessin érotique représentant un homme identifié comme un prophète religieux. Anodin pour un européen, insupportable pour quelqu'un formé par une sous-culture médiévale. Même les "intégrés", comme le rappeur Médine, se gardent de condamner l'attentat, en se contentant d'affirmer qu'ils ont plus de points communs avec Samuel Paty qu'avec son égorgeur (les voisins de l'artiste peuvent être rassurés).

Un rapide parcours du web nous rappelle que lors des hommages de l'an passé :

- 800 incidents ont été signalés en milieu scolaire.

- Quatre enfants de CM2 d'Albertville ont été arrêtés chez eux par la police anti-terroriste suite à des soupçons de préparation d'un attentat dans leur école.

- 160 cas de refus de participation à l'hommage national tous établissements scolaires confondus recensés.

- 150 cas d'apologie de terrorisme dans les collèges et lycées dénombrés.

- 400 insultes à la mémoire de l'enseignant, dont une bonne partie dans les écoles primaires. A noter que des gogos se sont indignés des procédures à l'encontre des familles de certains de ces pauvres petits.

C'est la partie visible de l'iceberg islamiste qui pourrit nos quartiers populaires, avec la complicité bienveillante de quelques politiciens véreux, quelques intellectuels donneurs de leçons qui vivent coupés du peuple et quelques artistes qui ne veulent pas froisser leur public. Voilà où en est la France d'aujourd'hui.

On attend les Mélenchon, Hidalgo, Besancenot, les indigènes de la république, la ligue de défense noire-africaine, le MRAP et autres subventionnés aux manifestations d'hommage à Samuel Paty. Logiquement, tous ces gens devraient présenter leurs excuses pour leur sottise, leur égoisme, leur inconscience et leur déni des réalités. Une condition indispensable pour promouvoir ce fameux "vivre-ensemble" qu'ils réclament et dont se méfie la grande majorité des français. Tout le monde se retrouvera aux élections du printemps prochain, et ceux qui pleureront des larmes de crocodile après le premier tour ne viendront pas se plaindre...

 


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