COVID-19, une étude sur l’épidémie en 200 pages et 40 illustrations

par Imhotep
mercredi 6 mai 2020

Alors que nous arrivons à la fin du confinement, nous avons déjà beaucoup de questions : pourquoi l'Allemagne a-t-elle si peu de décès (sans user des explications simplistes du nombre de tests et du nombre de lits de réanimation) ? Quelle est l'influence justement du nombre de tests effectués ? Le confinement réussit-il ? La France s'est-elle croisée les bras et emmêlée les pinceaux ?

Si je suis sorti pour une fois encore, et la dernière j'espère, de ma retraite, c'est que la situation est effectivement exceptionnelle à bien des égards et qu'une étude, diffusée gratuitement, est sortie sous forme d'un livre publié le 27 avril dernier. Nous sommes encore pour quelques jours en confinement, nous avons un peu de temps pour lire. Trois ou quatre heures de temps suffisent pour le lire. Il aborde divers sujets comme ceux qui ont un impact néfaste dans la lutte contre le coronavirus, où se situe la France dans cette lutte contre le virus par rapport à de nombreux pays etc.

Il y a un chapitre qui traite des polémiques suivantes :

- l'inaction du pouvoir

- les tests

- les masques

- la sortie du confinement et les écoles

- l'hydroxychloroquine

Il nous parle également, chiffres à l'appui, de ce qui est appelé les tests massifs en Allemagne et en Corée. On découvre une contradiction manifeste entre les mots magiques (tests massifs) et la réalité des chiffres. Un exemple : en début d'épidémie l'Allemagne n'a réalisé des tests que sur 1 % des contaminés, la Corée pas bien mieux. Les 500.000 tests annoncés n'ont été réalisés en Allemagne (et encore hypothétiquement) que pour commencer le 26 mars. A ce jour les tests représentent seulement 6,8 % des contaminés.

Il y a surtout des questions auxquelles il faut répondre. Par exemple, comment se fait-il que l'Italie, qui a fait trois fois plus de tests que la France, ait environ 22 % de décès en plus (en proportion de la population et sans compter qu'il y aurait 10.000 décès non comptabilisés en Italie selon les analyses des certificats de décès). Pour la France un indicateur, qui ne tient pas compte des déclarations du gouvernement français, est celui de la surmortalité en mars et avril par rapport aux années 2018 et 2019. Cette surmortalité permet de déceler s'il y a ou non des morts cachés par le pouvoir. Dans ce même genre d'idée pourquoi l'Allemagne qui a fait entre deux et quatre fois plus de tests que la Corée a-t-elle 25 fois plus de décès et l'Italie avec 30 % en plus environ plus de 120 fois ?

Si on regarde plus loin, pourquoi l'Australie, la Nouvelle-Zélande, Taiwan, Madagascar, la Réunion et le Nouvelle-Calédonie (toutes deux en France avec aucun décès) font-elles mieux que la Corée ?

Une partie parle des EHPAD : alors que l'on annonçait une hécatombe (100.000 morts) il n'y a, à ce jour, qu'un tiers des décès habituels en EHPAD et EMS. Il y a en effet un quart de la population des personnes âgées qui, chaque année, y décèdent. Les décès de ces établissements atteignent annuellement environ 200.000, soit 34.000 pour les deux mois de mars et d'avril pour moins de 10.000 actuellement à cause du virus.

Il y a un chapitre qui traite des idéologies au regard de la crise. Cette épidémie est-elle une punition du sytème actuel ? Est-elle une conséquence de la sur-explotation de la nature ?

Un autre chapitre traite des avancées, des côtés positifs, des réactions de solidarité.

La conclusion résume tout ce que l'analyse poussée de nombreuses données permet de révéler loin des aprioris et constats vite faits. Il apparaît qu'il faut beaucoup d'humilité et que la confiance, la solidarité sont deux des clefs pour mieux lutter contre le virus.

Enfin il semble, pusique c'est ce qui est écrit en fin de livre, qu'il y ait un problème avec Amazon, je vous mets en annexe ce qu'écrit l'éditeur à ce propos. Au jour où je mets cet article en publication, Amazon n'a toujours pas validé le livre alors qu'il y est en validation depuis le 27 avril et qu'en général il se valide en 72 heures selon les dires de l'éditeur.

Voici deux graphqiues tirés de ce livre électronique (ce qui est quand même plus facile qu'avec un livre papier). Le premier reprend la progression (compte tenu de la population) des décès dans quatre régions : celle de Madrid (en orange) de la Lombardie (en rouge), celle de l'Île-de-France (en bleu et en pointillé décès en EHPAD et EMS en plus) et celle du Grand Est (en vers et en pointillé décès en EHPAD et EMS en plus).

 

 

le second est la vue grapique du confinement.

 

Ci-dessous les liens vers les deux diffuseurs actuels (Amazon, après vérification à l'instant, semble-t-il est toujours aux abonnés absents lors de l'écriture de cet article) :

Apple(iBook) : http://books.apple.com/us/book/id1510425686 (gratuit)

FNAC/Kobo : https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/covid-19-18 (gratuit)

Annexe

COVID-19

Et si nous illustrions et analysions cette épidémie du coronavirus ?

Avril 2020

 

Amazon(Kindle) : En ce qui concerne ce site, de façon tout à fait incompréhensible, alors que nous avons déposé le livre le 27 avril comme le prouve la copie d’écran ci-dessous, alors qu’il faut généralement 72 heures pour valider un livre, malgré quatre relances par email, le livre à ce jour (5 mai soit 8 jours après) n’est toujours pas publié. C’est incompréhensible car il a été validé par deux sites sérieux (en 8 heures par la FNAC (KOBO) et moins de 12 heures par Apple (iBook)), qu’il n’y a aucun problème ni de droit d'auteur, ni de plagiat, ni de violence, ni de sexe, ni d'incitation à la haine et que la publication par un site comme Apple, très rigoureux dans ses validations, prouve qu’il n’y a strictement aucune raison à ne pas valider ce livre. De plus, si un jour Amazon se décidait à ne pas bloquer le livre (censure volontaire ou non, c’est le résultat qui compte) il faut savoir qu’il est impossible de publier d’office un titre gratuitement. Il sera donc, dans un premier temps, au prix le plus bas, soit 0,89 €. Il nous faudra ensuite faire une nouvelle démarche prouvant qu’il est gratuit ailleurs pour qu’il le devienne, ce qui prendra encore 72 heures. Ce blocage nous est dommageable, et est dommageable pour la nécessaire diffusion d’une information différente de celles qui sont diffusées majoritairement, surtout en cette période de crise épidémique et de violentes attaques infondées contre ce qu’il se fait en France.


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