Crédulité et amnésie

par Jean Keim
jeudi 29 octobre 2020

 

Tout le monde ou presque critique Macron et sa bande de godillots, tant mieux, mais je ne suis pas sûr que ce soit pour les mêmes raisons.

Pour les uns il en fait trop par rapport à une pandémie bidon, personne ne comprend ses objectifs qui pourtant sont clairs.


Pour d’autres au contraire il n’en fait pas assez au vue d’une situation qui de jour en jour « ferait » de plus en plus de victimes victimes de leur crédulité essentiellement.

Les braves gens pour détourner leurs angoisses pandémiques discutent de savoir si les postillons peuvent traverser un masque et à quelle distance ils peuvent porter, le record appartient au préfet du Cher qui demande que le masque soit mis à moins de 50 m d’une école.

Pendant ce temps le casse du siècle s’organise sous nos yeux mais combien le pressentent.
Bientôt le partage s’organisera, comme il a déjà eu lieu pour Alcatel, Thomson, Latecoère, Alstom, Lafarge, ..., la suite à venir EDF, la SNCF, Aéroport de Paris, les barrages hydroélectriques, l’exploitation des forêts domaniales..., mais également toutes les TPE, les PME, les indépendants qui mettront la clef sous la porte et dont les entreprises sinon la clientèle sont bonnes à prendre.

La France prend la direction de la Grèce, notre endettement, tout autant bidon que la pandémie, nous fera changer de maître, ce ne sera pas la première fois, en 1789 il y eu quelque chose de semblable, la haute bourgeoisie qui revendiquait le pouvoir afin de l’organiser à son profit, a remplacé la noblesse, le nouveau maître pas plus tendre que le précédent, a inventé un capitalisme impitoyable, et tout cela pour finalement donner le pouvoir à un psychopathe qui a fait la guerre à toute l’Europe et sacrifié des millions d’hommes à une ambition démesurée.

Tiens ! Encore une évidence à percevoir, la guerre est avant tout une entreprise économique comme une autre et particulièrement juteuse, les armes achetées ne sont pas faites pour rouiller dans un râtelier, alors elles sont vendues avec la guerre en prime.

L’amnésie à chaque fois refait dans nos mémoires les mêmes ravages.

 


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