Des extrémistes à Sciences Po accusent cette prof de danse d’homophobie et l’obligent à démissionner
par Jean-Luc ROBERT
vendredi 9 décembre 2022
Aujourd'hui cette professeur de danse de Sciences Po refusant d'employer les termes followers et leaders à la place des mots HOMME et FEMME, est donc contrainte de démissionner sous la pression des militants des gender studies.
Un scandale !
Va-t-on se rendre compte qu'à Sciences Po il n'est plus possible de dire les mots HOMME ou FEMME sous peine de se voir taxer d'homophobie comme c'est le cas de cette professeur de danse qui jusqu'à lors faisait son métier avec les félicitations de sa hiérarchie ?
Les militants de la théorie du genre qui représentent une minorité, imposent au nom du wokisme et grâce à la légendaire lâcheté des politiques, leurs nouveaux codes.
Le directeur de Sciences Po faisant partie de ces lâches sans aucun doute, se pliera à cette nouvelle norme par crainte probablement d'être taxé d'homophobe à son tour.
Il faut bien sûr du courage pour assumer ses opinions, et garder sa place est manifestement plus important que tout le reste. Quelle couardise !
Voilà ce qu'est aujourd'hui le terrorisme intellectuel qui s'impose à une population française endormie.
p.s / Cette folle théorie du genre wolkiste envahit bien sûr tous les domaines. Dans le domaine artistique nous avons donc la danse mais aussi la musique : On a récemment demandé à un professeur de piano de ne plus employer certains mots jugés discriminants parce que dans l'univers de la musique classique il y a plus de personnes ayant la peau blanche.
To be continued...
J'attends vos remarques avisées sur cette question dérangeante mais essentielle. (╭ರ_•́)
PAR JEAN-LUC ROBERT https://www.jeanlucrobert.fr/
auteur de :
LezAPe : La face cachée de la psychologie de l'enfant