Des milliers de Français sont morts et meurent encore en raison du dogmatisme contre les antibiotiques !
par republicain
samedi 11 avril 2020
Des milliers de Français sont morts et meurent encore en raison du dogmatisme contre les antibiotiques !
L’azithromycine prescrite aux premiers symptômes par nos généralistes aurait évité l’hécatombe. Le professeur Raoult a une fois de plus raison quand il prend la défense des antibiotiques.
Le débat focalisé sur la « chloroquine » est biaisé, la bande à Buzyn ne veut surtout pas entendre parler des antibiotiques
Trois médecins du grand Est, avec qui je viens d’avoir une longue conversation font part de résultats extraordinaires. Ces héritiers des médecins des tranchées ont affronté le Covid 19 avec leur bon sens et l’azithromycine.
« Or, ce dernier médicament, je le connais très bien et je l’aime beaucoup parce qu’il a trois propriétés reconnues : c’est un antibiotique de la famille des macrolides, il stimule une réaction antivirale alors que ce n’est pas un antiviral, et il a une action anti-inflammatoire pulmonaire. Je le prescris au long cours aux gens qui ont des bronchites chroniques parce qu’il évite les surinfections et des hospitalisations itératives. »
À l’azithromycine, Jean-Jacques Erbstein a allié le Singulair, une molécule utilisée dans le traitement de l’asthme pour son action anti-inflammatoire. « Ensuite, on a pensé à incorporer du zinc dans le protocole pour renforcer l’action de l’azithromycine », poursuit le médecin. Puis, en dernier lieu, afin de juguler les complications de type phlébite et embolie pulmonaire, il a été ajouté au protocole une injection quotidienne d’un anticoagulant, l’héparine, à « dose préventive ».
« Depuis qu’on applique ce protocole, c’est simple, on n’a plus d’hospitalisation. J’ai un retour positif sur une trentaine de patients. Le docteur Gastaldi, sur une bonne centaine. Et le docteur Olivia Van Steen Berghe, sur une trentaine également », dénombre Jean-Jacques Erbstein tout précisant bien que ses conclusions ne reposent pas sur une étude scientifique consolidée : « C’est sûr, on n’a pas de comparaison. Notre méthode est très empirique. Mais, le résultat est là. »
Le traitement est administré au début de la maladie, lorsque l’infection est diagnostiquée. « Coïncidence, fruits du hasard, je ne sais pas… En tout cas, ça a l’air de bien se passer »
Nul doute que des rats de laboratoire et spécialistes des média vont nous sortir : « c’est pas randomisé… Mais le médicament a 40 ans.
Cette expérience est aussi celle de milliers de généralistes, dont celle de la mienne à Versailles !
Elle est confirmé par cet appel à témoignage lancé sur mesopinions
VOUS AVEZ PLUS DE 60 ANS OU VOUS ÊTES DANS UNE CATÉGORIE À RISQUES : UN MÉDECIN VOUS A DIT QUE VOUS ÉTIEZ POTENTIELLEMENT ATTEINT PAR LE COVID-19 (VOUS POUVEZ RÉPONDRE À LA PLACE D’UN PROCHE MALADE) DANS QUELLE CATÉGORIE SUIVANTE ÊTES-VOUS ?
Plus d’une centaine de malades ont répondu et depuis le début les résultats n’évoluent pas : Potentiellement à risque ils ont consulté COMME ILS ONT PU. Avec la prescription « rien ou doliprane « plus de la moitié ont vu leur état se dégrader. Avec la prescription de l’azithromycine, un peu plus de 5%…
Nos médecins ne sont pas irresponsables, ils prennent des précautions en prescrivant, les antibiotiques mais ils n’attendent pas une dégradation pour les patients à risque
Heureux français qui ont un généraliste à l’ancienne, acceptant de consulter souvent sans protection, prescrivant comme autrefois de l’azithromycine aux patients de plus de 60 ans ou à risques dès les premiers symptômes … Hélas il y a tous les autres, victimes de messages criminels venant des autorités de santé, laissant croire qu’il n’existait que deux solutions : la maladie se guérit toute seule ou alors, c’est l’hôpital et la réanimation.
Combien de morts à cause de ces slogans imbéciles !
La haine à l’encontre du professeur Raoult a complètement occulté la place des antibiotiques dans la maladie ! Au point de refuser d’ajouter l’azithromycine dans les essais officiels et de refuser de la tester seule…
La haine des antibiotiques nous a fait régresser des décennies en arrière !
Il faut bien dire que l’on ne pardonnait pas à Raoult sa position en faveur des antibiotiques qui peuvent en plus être anti viraux.
Que nous dit Raoult ? En médecine de ville les antibiotiques peuvent être plus largement prescritd en cas de diagnostic d’infection respiratoire virale.
Depuis 2002, chacun connaît le slogan « Les antibiotiques, c’est pas automatique », mis en avant par l’Assurance maladie en France pour diminuer l’usage des antibiotiques en cas d’infections virales. L’argument paraît irréfutable : la prescription désordonnée d’antibiotiques augmenterait la résistance des bactéries ; les virus responsables de certaines infections respiratoires (grippe, VRS, rhinovirus) ne sont pas affectés par les antibiotiques ; il serait donc inutile, et même dangereux, de prescrire des antibiotiques lors d’épisodes infectieux causés par ces virus. Les équipes de l’IHU Méditerranée Infection souhaitent pondérer cette vision.
Tout d’abord, il n’est pas établi que la prescription d’antibiotiques par la médecine de ville ait le moindre impact sur la résistance. L’utilisation massive d’antibiotiques dans des milieux clos comme les hôpitaux ou les élevages d’animaux exerce une pression sélective qui favorise le développement de souches résistantes. Cependant, cette pression sélective n’est pas suffisamment importante dans le cadre de la médecine de ville pour que des souches résistantes puissent réellement se développer. Les données de terrain que nous recueillons de manière hebdomadaire l’attestent (100.000 souches testées).
Ensuite, les virus favorisent des co-infections par des bactéries qui peuvent être mortelles. Il a été montré que la plupart des victimes de la grippe espagnole étaient atteintes par des surinfections bactériennes. Ces deux dernières semaines, 5 personnes sont mortes de surinfections à streptocoque sur grippe dans la Région, dont une jeune fille de 13 ans décédée. La présence d’un virus ne s’oppose pas à celle de bactéries : au contraire, elle la favorise.
» Les données épidémiologiques de la 5ème semaine de 2019 montrent qu’il y a urgence : à l’AP-HM, la semaine dernière, nous avons diagnostiqué 406 grippes, 24 infections à virus respiratoire syncytial et 80 rhinovirus en une semaine. Dans le même temps, nous avons retrouvé dans des prélèvements de patients de la Région Sud un nombre significatif de bactéries associées aux infections respiratoires virales : streptocoques, pneumocoques et Haemophilus.
En conclusion, le diagnostic d‘une infection respiratoire virale ne doit pas contre-indiquer l’usage d’antibiotiques, car elle favorise le développement de surinfections bactériennes.
Le professeur Raoult insiste : certains antibiotique joue également un rôle antiviral :« Tout ce qui est simple est faux. Parfois, la simplification devient franchement dangereuse. C’est le cas des antibiotiques. Le fait qu’ils puissent aussi agir sur des virus est ignoré par beaucoup. Ceux-là ne se savent pas ignorants et pensent même que les autres sont plus ignorants qu’eux. Quasi tous les généralistes ne traitent donc pas les infections virales avec des antibiotiques. C’est déraisonnable
La reconnaissance sur le terrain du rôle des antibiotiques n’est en rien contradictoire avec le recours à l’hydroxychloroquine qui ne peut intervenir qu’après test et électrocardiogramme.
Mon combat ne se limite pas à la « chloroquine » mais à la défense des médecins de ville et à la confiance dont ils ont besoin .
La pétition officielle des professeurs sur le site change
La pétition additionnelle sur le site mes opinions
https://www.mesopinions.com/petition/sante/faut-ecouter-professeur-raoult/82737