Dieu a créé l’homme ? Les hommes ont inventé les dieux, puis les ont rejetés pour s’instaurer Dieu !

par hugo BOTOPO
samedi 29 janvier 2022

 

L'homme est un être social qui s'épanouit en communautés, peuples ou nations. L'homme, animal doué de la connaissance du temps et doté de conscience, s'est vite interrogé sur ses origines et sur des phénomènes le dépassant tels que le feu, la foudre, le tonnerre, les vents, les tempêtes, les sentiments amoureux, la guerre, la paix et la fraternité, la vie des plantes et des animaux, la mort et finalement l'existence de l'âme et son devenir, composante intime inexplicable de l'homme. La notion de Dieu pour justifier l'inexplicable naturel et surnaturel, a pris rapidement corps et s'est répandue dans l'humanité. Cette notion moyen de justification a été et est encore utilisée par certains hommes pour asseoir leur domination : ce processus sous des formes renouvelées reste aujourd'hui très vivace et efficace !

 

Pour les tribus primitives et les peuples plus évolués de l'Antiquité une organisation à base de chamans ou de prêtres, intermédiaires auto-proclamés avec les dieux affectés à chaque phénomène inexpliqué, s'est instaurée en complément de l'organisation autour d'un chef protecteur et dominateur. Cette configuration polythéiste existe encore dans certaines contrées, même si les adeptes ont abandonné quelques divinités liées à la mer, au vent, au tonnerre... donc à des phénomènes naturels bien expliqués. Ce qui n'empêche pas des groupes d'humains de diviniser des animaux comme les singes, les rats, les éléphants.

Des civilisations anciennes et actuelles associées à une religion propre sont liées à des créations et cultes de divinités.

 

La civilisation égyptienne s'étendant sur 4 millénaires avant JC a d'abord relié les animaux, supérieurs aux hommes, à des proto-divinités. À partir du IIIième millénaire les hiéroglyphes explicite les liens entre des dieux représentés par des animaux (faucon, vautour, chacal, chien, taureau, bélier...) zoomorphes seuls puis portés par des corps humains en remplacement de la tête, anthropomorphes. En outre, le Dieu Rê solaire est associé au fil des millénaires à Horus, Amon, pour un enrichissement de ses pouvoirs et de ses attributions. Les égyptologues ont relevé des milliers d'expressions de dieux de la vie courante, de la mort et de ses suites. Tout ce joli monde de divinités était sous la "haute bienveillance" d'un nombreux clergé de prêtres et assistants, des intermédiaires ou intercédants, vivant principalement des dons de fidèles. Les forces vives du peuple égyptien construisant de magnifiques temples à ses meilleurs dieux.

Tout allait pour le mieux jusqu'à ce que le pharaon du nouvel empire Amenhotep IV régnant de -1553 à -1537 se mit non seulement à fortifier le culte du dieu solaire Aton, mais encore à se muer en Akhénaton (serviteur exclusif d'Aton) et surtout à proclamer Aton (et Aton/Amon-Rê) Dieu solaire, unique Dieu, et donc ordonner la destruction des "idoles, statues, hyéroglyphes" références à la kyrielle des dieux ; il entreprit la construction d'un grand temple, une cité même, pour Aton à ARMANA, sans ordonner la destruction des temples existants, surtout le principal de Karnak dédié à Amon : certains grand-prêtres firent de la résistance, tout en"suivant" le pharaon pour survivre. De représentant du Dieu unique, Akhénaton se considéra comme habité par Aton, son double ou son fils spirituel, et il transféra le pouvoir matériel de pharaon à sa célèbre épouse la reine Nefertiti qui régna à ses côtés. Sans créer le dieu Aton qui existait depuis des siècles dans la panoplie des divinités, Amenhotep IV se mua progressivement en un dieu unique Akhénaton/Aton-Rê. À sa mort les grand-prêtres reprirent leurs pouvoirs et leurs divinités, détruisirent Armana, effacèrent tous les hyéroglyphes et statuaires d'un pharaon qui ne devait pas apparaître dans la continuité de l'Histoirre. Le successeur, le jeune Toutankhamon restaura tous les pouvoirs d'Amon et autres divinités, en partageant le pouvoir avec un clergé redevenu puissant. Ainsi le monothéisme associé à Akhénaton sombra dans les oubliettes de l'histoire égyptienne. Les cultes des dieux égyptiens continuèrent pendant plus d'un millénaire pour sombrer sous les coups de boutoirs des Perses (Assyriens), des Grecs d'Alexandre puis des "César" de Rome.

 

Le judaïsme, monothéiste dès le départ évolue en parallèle avec les empires égyptiens. S'il subit le même traumatisme de l'invasion romaine, avec des destructions et des migrations de sauvegarde, il ne sombrera pas. Les historiens et archéologues n'ont pas de sources matérielles comparables à celles des empires égyptiens. Les premières écritures sur parchemins (pas de gravures sur pierres, pas de tablettes d'argile existantes cependant depuis plus de 2 millénaires avant JC). Les manuscrits de la Mer Morte ne dateraient que de 2 à 3 siècles avant JC et "on" admet cependant que le Prophète Isaïe, quelques siècles auparavant, et ses successeurs ont laissés des écrits probablement dégradés et détruits par le temps, l'humidité et les insectes.

Donc les premiers chapîtres ou livres de la Bible ont été transmis oralement de génération en génération, comme des légendes avec de possibles altérations et enjolivures. Le livre de la Genèse, celui de la création du monde et de l'homme est intéressant : selon des estimations de docteurs en Judaïsme, qui avec les durées de vie à l'année près (jusqu'à plus de 900 ans) des descendants d'Adam et l'âge de leur première paternité du descendant officiel, la création d'Adam puis d'Eve aurait eu lieu il y a 5760 ans (à quelques années près cependant) soit au cours du IVième millénaire avant JC, au moment où se développait la civilisation dite égyptienne en Egypte, Soudan, et Lybie. C'est merveilleux : les proches descendants directs d'Adam savaient compter au moins jusqu'à 1000, surtout dans des pays où les saisons sont moins marquées, où l'astronomie capable de définir les années restait à découvrir, sauf à croire que Yahve et ses Elohim, fils du ciel, avaient déjà instruit Adam, en toute science, par sa dégustation des "fruits de l'arbre de la connaissance" ! Sans prêter attention aux dires de ceux qui prétendent que Yahve est un mot à la fois singulier et pluriel, et donc qu'il y a une confusion entre Yahve (pluriel) et les Elohim, nous retenons que pour les Juifs la création du monde et de l'homme est l'oeuvre d'un Dieu unique, physique, accompagné des Elohim, des fils du ciel (anges, visiteurs extraterrestres, espèces préhumaines ultra développée ?). Ces Elohim entrèrent parfois en contact physique rapproché avec les filles de la terre donnant lieu à progénitures (les titans), parfois intervenaient sur terre comme pour des massacres punitifs ou pour enlever "au Ciel" Enoch dans un char de feu (fusée, vaisseau spatial ?). Le peuple des hébreux ont connu des périodes où existaient des idoles (du polythéisme) puisque pendant le long séjour de Moïse sur le Sinaï pour recevoir les tables de la Loi, gravée sur la pierre, le peupe des hébreux se sont mis à construire une idole, un veau d'or, pour la vénérer et l'adorer, comme cela avait lieu dans l'Egypte qu'ils venaient de quitter : il est probable que certains ont parfois pratiqué le culte des idoles, le polythéïsme.

Tant bien que mal, les religieux (les Lévites) maintiennent le culte de Yahvé, le Dieu unique, plutôt punisseur, vengeur, massacreur même, que compatissant, compréhensif, pardonnant parfois les péchés. Après de nombreuses vissicitudes (exils, massacres, occupations, mises en esclavages) Yahvé avait promis la venue d'un Messie qui libérerait le peuple Juif : les Juifs se l'imaginaient en un prince ou un roi puissant, protecteur, libérateur. Lorsque qu'un prédicateur habile, réputé faiseur de miracles, fils d'un simple charpentier, attirait les foules par ses prêches il était impossible qu'il soit le Messie tant attendu. De plus, oh sacrilège ! Il se prétendait le fils de Dieu, donc de Yahvé ! Quel blasphème ! alors les Grand-Prêtres du Sanhédrin, se débarrassèrent de cet intus fort populaire et créateur d'un "polythéisme" (Dieu le Père et Dieu son fils Jésus), en le faisant condamner à mort par les Autorités Romaines (sous Ponce-Pilate). Dans le Judaïsme cet épisode n'était qu'une élimination d'un juif prêcheur fou et illuminé, et ne modifia point la bonne marche de la Communauté. Cette "élimination définitive" requise par les Autorités Religieuses Juives ou Hébraïques n'était que la conséquence d'une dérive : les grands-prêtres avaient abandonné depuis longtemps leur mission fondatrice et fondamentale de faire respecter (au minimum par tout Juif) les Tables de la Loi, les dix commandements délivrés par Yahvé à Moïse dans le Sinaï. Implicitement Jésus était le révélateur de leurs dérives ! Parmi les 10 commandements, il en est un particulièrement important : "tu ne tueras pas" valable pour chaque Juif. Or Jésus, un Juif bien éduqué en religion ne trangressait pas les 10 commandements, ni les règles de vie établies par des hommes prétendus inspirés par Yahvé ! La transgression de la Loi Divine par les grands-prêtres, loi qu'ils avaient adaptée et dénaturée, soucieux de leur pouvoir spirituel et matériel, n'est que la manifestation tangible de l'instauration des grands-prêtres du Judaïsme en tant que "co-décideurs et porte-paroles de la pensée et des décisions divines ! Quel péché d'orgueil ? Quel blasphème suprême de se substituer à Dieu, de prendre des décisions à sa place !

Cette attitude des Autorités Religieuses Juives sur la Vie et la Mort d'autrui se retrouve au cours des siècles où l'on massacre allègrement amis juifs (guerre entre les rois de Judas et d'Israël) et ennemis (conquêtes, représailles...) que ce soit en Palestine, juive par essence, ou en dehors dans les quelques royaumes juifs sporadiques (en péninsule arabique, en Afrique du nord, en Khazarie...). Si les religieux influents avaient des difficultés à s'opposer à la loi coutumière et tribale dite la "loi du talion" pour laquelle un crime devait "être lavé" par un crime identique, et prôner ainsi la stricte application de la Loi Divine, ils ont depuis, en notre temps, non seulement trangressé cette Loi Divine, mais encore ils ont amplifié démesurément la loi du talion (oeil pour oeil, dent pour dent selon le langage populaire) en passant de 1 pour 1 à 100 pour 1 ! En effet lors de l'opération mi-défensive, mi-punitive contre les Palestiniens, dite "Plomb durci" (du 27/12/2008 au 18/01/2009) les bilans sont de 13 morts israëliennes (dont 3 civils) et 1315 morts palestiniennes (dont environ la moitié de civils). Si certains partis politiques pacifiques ont dénoncés cette politique punitive (créatrice de martyrs palestiniens), les religieux et ultra-religieux n'ont loué que la vaillance et le sacrifice des victimes israéliennes, sans réclamer la recherche d'une politque pacifique négociée !

 

Le Christianisme, dérivé du Judaïsme, avec le même Dieu Créateur, Dieu le Père ou Yahvé et la même soumission fondamentale aux 10 commandements, n'a rien à envier au Judaïsme pour ce qui est des dérives. Le Christianisme se veut la religion d'Amour et de Fraternité selon la volonté du Christ Jésus. Pour se substituer à la Puissance Divine, les Pères de l'Église, ont créé et imposé la troisième personne en Dieu, l'Esprit-Saint (dit aussi le Saint-Esprit), personne divine chargée dans les conciles d'Évêques et de Pères, d'éclairer la sainte assistance et le Très Saint-Père (infaillibilité du Pape), pour qu'ils délivrent les instructions, pensées et décisions divines : la transgresssion est ainsi institutionnalisée. Si son action sur le droit canon est une salade interne (célibat des prêtres, excommunication des divorcés, consécration eucharistique, cathéchèse et confession obligatoires...) par contre, les tortures, les massacres, ("avec la bénédiction de Dieu !!!!") lors de la "Sainte Inquisition", les croisades, les guerres de religion,... ne sont que des crimes ordonnés, soutenus, provoqués par des "hommes d'Église", des "hommes de Dieu" agissant "au nom de Dieu" et se substituant à Lui ! On a vu les prêtres bénir les soldats et les armements lors de conflits entre chrétiens, les mêmes bénédictions ayant lieu dans les deux camps ! Bien vu pour une religion de Paix et d'Amour Fraternel : Jésus reviens ! Ils sont devenus fous ! Ils cautionnent, en ton nom, des crimes des humains ! À leur décharge, des chefs de gouvernements, des chefs militaires ordonnent, la conscience tranquille et en toute impunité, des bombardements et des assassinats d'ennemis avec des "dégats collatéraux". Quel doux euphémisme pour le massacre de populations civiles, de femmes et enfants ! Mais les chefs politiques ci-dessus ne prétendent pas être des représentants de Dieu sur terre, pour délivrer son message de Paix et d'Amour.

Le Christianisme a repris à son compte le péché originel effaçable par le bâptème. La caractérisation de ce péché est fluctuante : manger un fruit interdit (la pomme pour les jeunes enfants au catéchisme), au péché de chair pour les adolescents et adultes (soit un acte sexuel hors mariage) et pour quelques-uns il y a une référence à l'arbre de toute connaissance (un dispositif regroupant tous les logiciels des connaissances du monde matériel et spirituel), la tentation de comprendre toute chose et de disposer des pouvoirs et des savoirs des Elohim si ce n'est de Yahve. Avec en toile de fond, lors de l'expulsion du jardin d'Eden, l'injonction de se multiplier en enfantant (dans la douleur !), de croître en nombre et en sagesse pour devenir (ou tenter de devenir) des égaux des Elohim, (ou de Dieu) !!! Ainsi suprême contradiction Yahvé instaure l'acte de chair (dans le mariage selon les prêtres) à répétition pour se multiplier et la curiosité scientifique et intellectuelle (celle à l'origine du péché originel) !!!

La volonté de pouvoir et de domination des chefs religieux des Christianismes (les protestantismes, les orthodoxes... sont à mettre dans le même sac) les amènent à se substituer à leur Dieu, à permettre ainsi aux forces du Mal, logées au plus profond de chaque individu, de se révéler, en corrompant leur âme, dans le comportement des hommes d'Église. Par le sacrement de Pénitence les chefs religieux ont mis en place une disposition d'amnistie par effacement des péchés et même des crimes (Inquisition, viols des enfants, adultères comme récemment mis en pleine lumière médiatique. Les chefs religieux ont dû progressivement abandonner et partager le pouvoir matériel et se limiter au spirituel.

 

L'Islam et l'Islamisme (version pure et rigoriste de l'Islam) se déclinent en plusieurs variantes (Sunnisme, Chiisme et autres écoles de moindre importance numérique) les deux plus importantes se voulant la seule vraie religion révélée par le Prophète Mahomet. Ce sont des monothéismes admettant une "filiation" avec quelques personnages du Judaïsme et du Christianisme (Abraham, (arch)ange Gabriel, Jésus (en tant que prophète) ...) Les dignitaires de l'Islam s'arrogent, au nom d'Allah le très bon et très miséricordieux, d'édicter non seulement des règles de vie religieuse, mais encore des régles d'organisation sociale et politique sous leur autorité, avec des sanctions allant jusqu'à la peine de mort (des infidèles et des fidèles ne respectant pas la loi islamique). L'islam est une religion de conquête pacifique avec les conversions non imposées, et militaires avec les conversions imposées ou les massacres ou expulsions. Dans les heures sombres du Christianisme les comportements des 2 religions sont comparables ! En terre d'Islam, soumis à la loi islamiste (la Charia), le pouvoir politique reste dépendant du pouvoir religieux, et donc, respecter le pouvoir politique c'est respecter le pouvoir religieux et subir ses lois. Les sciences, les arts, l'architecture, la littérature, les représentations (images, sculptures..), la nourriture, les finances, le commerce .... sont soumis au respect des prescriptions religieuses intangibles ! Même si les "grands prêtres de l'Islam" sont les gardiens des révélations reçues par Mahomet, et leurs interprétateurs, en aucun cas ils ne sauraient se substituer à Allah, à leur Dieu unique !

 

Les Dieux modernes, création des hommes :

 Si dans les temps anciens les Dieux des polythéistes étaient des créations humaines, le Dieu des monothéismes se veut être un Dieu révélé par de très grands prophètes, par contre dans l'Occident principalement de culture (et religion) chrétienne, des Dieux modernes, auxquels leurs grands prêtres et les peuples doivent se soumettre, sont apparus depuis la révolution industrielle : C'est le DIEU-ARGENT (descendant du veau d'or), c'est le grand culte du SAINT-PROFIT, c'est les commendements de la RENTABILITE, c'est aussi la FOI en un PROGRES apporté par les sciences et les technologies : la part du spirituel, du transcendantal, de l'humanisme (homme enfant ou créature de Dieu) est en voie d'extinction ! Ces dieux modernes déstabilisent l'humanité ! Leurs malheurs, leurs avenirs, leurs bonheurs, le futur de l'humanité, les déréglements climatiques, la disparition de la biodiversité, ne seraient plus dans les mains de leurs dieux, de Leur Dieu, mais dans leurs mains propres ! Mais le collectif, le "prochain" à prendre en considération, disparaissent des mentalités humaines accaparées par le développement de leur individualité : Je est devenu le Dieu de chacun ! Le respect du prochain, faible ou fort, l'harmonie sociétale, prônés par Cofucius simple philosophe, et par le Christ Fils de Dieu, soont obxolètes !

L'exercice de la "nouvelle religion moderne" s'épanouit dans la consommation d'objets, de plaisirs matériels et immatériels (jeux vidéo...). Les "prescriptions religieuses" sont les périodes de soldes, d'achats de Noël (cadeaux), le "black friday américain" ; les prescriptions religieuses modernes sont portées par les publicités et les éléments de langage de nos politiciens au pouvoir. Leurs objectifs minables sont la poursuite d'une jeunesse éternelle, d'une longue vie "quoiqu'il en coûte !", de la beauté selon les canons d'entreprises régnant sur les apparences et portées par des célébrités adéquoites influenceuses gonflées par la profondeur abyssale de leur suffisance !

Dans la religion moderne la part du surnaturel, de la transcendance, de la place de l'homme dans la société et dans le monde vivant, ayant quasiment disparu (il ne reste que quelques traces dites rétrogrades ou d'archéologie sociétale), l'homme et l'adolescent d'aujourd'hui ne savent plus comment se construire et alors certains s'échappent dans le monde des drogues et/ou des sectes religieuses ou sociétales, d'autres sont prêts à s'intégrer dans des groupes dits révolutionnaires idéologiques, anarchiques ou religieux violents ! La violence -sans justifications pour la contenir- se répand dans nos sociétés prétendues civilisées !

Pour finir de déséquilibrer les humains, des idéologues de l'égalitarisme niant les différences tout en les mettant en exergue, sont des déconstructeurs-démolisseurs adeptes du "wokisme" ayant pour but de réécrire l'histoire, de couper les liens civilisationnels tissés pendant des millénaires, bref "faire table rase du passé" pour laisser la place au vide civilisationnel et aux dictatures imposées par de "grands chefs" hier Staline, Hitler, Pol-Pot.. ; et aujourd'hui des meneurs éclairés de "démocrature" prétendue populaire !

Si les Lumières, précédant la révolution française, ont développés les sciences et techniques, par la raison triomphante pour aboutir à la révolution industrielle, du développement économique et des destructions massives des humains et de la biodiversité, par contre, leur lutte contre l'obscurantisme des religions reste toujours d'actualité, et leurs manques de solutions de remplacement restent d'actualité !


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