Effets du vaccin ROR : des parents en détresse jettent une bouteille à la mer

par Initiative Citoyenne
jeudi 8 août 2013

Les parents du petit Nello nous ont fait part du drame qui leur est arrivé : leur fils, Nello, né le 17 octobre 2010, et qui était en parfaite santé jusque là, a vu sa santé gravement se détériorer après la deuxième dose de vaccin ROR (Priorix). Malgré de multiples examens qui ont mis en lumière des troubles neurologiques, Sandrine et Lionel ont pu se rendre compte de l'énorme tabou en matière d'effets secondaires vaccinaux. A l'heure actuelle, Nello ne sait toujours pas parler, marcher, tenir des objets ni soutenir sa tête et son dos. Il présente aussi une gastrotomie percutanée, soit un trou dans son estomac parce qu'il ne sait pas être alimenté normalement. Ses parents, désemparés, se demandent ce que leur enfant va devenir. C'est pourquoi, ils lancent un appel en vidéo, une "bouteille à la mer", dans l'espoir que les parents d'autres enfants victimes puissent les contacter pour les informer d'effets similaires ou tout simplement partager leur expérience.

En tant que collectif citoyen bénévole consacré à la thématique des vaccins, nous ne pouvons que nous poser la question suivante : qu'arriverait-il si les parents de TOUS les autres enfants victimes de vaccins de par le monde se mettaient à faire comme Sandrine & Lionel et témoignaient eux aussi en vidéo ?

Il convient tout de même de se rappeler à ce sujet que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont effectivement notifiés et donc comptabilisés. C'est ce qui ressort d'un article faussement rassurant paru en novembre 2011 dans la Revue du Praticien (une revue médicale professionnelle). Voyez par exemple aussi ci-dessous comment l'ancienne Afssaps représentait cette "sous-notification inévitable" des effets secondaires vaccinaux dans un document de 2007 consacré à la pharmacovigilance de ces produits (cfr p.5)

Par ailleurs, cet article de la Revue du Praticien comporte d'autres aveux assez accablants en défaveur de la prétendue sécurité vaccinale :

- En page 2 de cet article, on peut en effet notamment lire qu' "il n'y a pas de consensus sur les éléments chronologiques ou sémiologiques de l'imputabilité d'un vaccin dans la survenue d'un effet indésirable (EI)." En d'autres termes, cela signifie donc qu'il n'y a aucun accord au sein même du monde médical sur le timing de survenue ou sur la nature des symptômes à réunir pour pouvoir incriminer l'un ou l'autre vaccin. De là, certains idéologues tentent habilement d'opérer le glissement selon lequel "pas d'accord" signifie "effet secondaire non prouvé" et donc de là aussi le fait qu'on ne parle jamais aux parents que des seuls effets sur lesquels la communauté médicale serait tombée d'accord, à savoir la fièvre ou la douleur au point d'injection ! Nous avons toutefois dévoilé le dessous des cartes lorsque nous avons publié sur notre site internet des documents confidentiels des fabricants de l'Infanrix Hexa et du Prevenar (respectivement GSK et Pfizer) tels qu'ils ont été communiqués aux autorités (qui sont donc tout à fait au courant) : des documents qui démontrent noir sur blanc que les effets secondaires des vaccins sont autrement plus graves, plus fréquents et plus variés que ce qu'on dit aux parents et que ceux-ci se comptent en centaines.

- Un deuxième aveu non moins important, tel qu'on peut le lire dans cet article de la Revue du Praticien, et qui figure en page 1 est formulé de la façon suivante : "Au moment de l’AMM, les données issues des essais cliniques ayant inclus quelques centaines ou milliers d’individus sélectionnés permettent de préciser l’efficacité du vaccin sur des marqueurs souvent biologiques (taux d’anticorps protecteurs) mais rarement sur le marqueur clinique pertinent qu’est la prévention de la maladie. Le profil de tolérance est décrit, mais seuls sont identifiables les effets de survenue précoce, d’incidence relativement élevée (réactions locales, fièvre). Les effectifs des essais pré-AMM sont insuffisants pour identifier les risques rares. La pharmacovigilance du vaccin est donc indispensable après l’AMM." Cela signifie donc, en d'autres termes, que les autorités sont au courant, dès avant l'attribution d'une autorisation de mise sur le marché à un vaccin, que les effets secondaires statistiquement plus rares mais pouvant être très graves restent non étudiés et leur fréquence non évaluée ! Tout fonctionne donc de façon expérimentale, "on pense que" mais on n'a aucune preuve, on prétend aux gens que le rapport bénéfices/risques est favorable alors qu'on n'en a strictement aucune idée. Et à ce sinistre petit jeu-là qui consiste à agir d'abord puis à réfléchir ensuite, il semble bien possible que les effets secondaires graves, y compris les décès, s'avèrent nettement plus élevés, si on veut bien tenir compte de la sous-notification, que le nombre de complications naturellement normalement attendues en l'absence de la moindre vaccination...

Ainsi, si on ne prenait QUE le seul cas de Nello, mais il y a bien d'autres effets secondaires graves du ROR chaque année en France, on arriverait, si on tient compte de la sous-notification, à un nombre 10 à 100 fois plus élevé de victimes. Imaginez tous les gens qui ont déclaré ces effets et qui se comptent sûrement en dizaines et même en centaines, et multipliez cela par 10 ou par 100. Il n'est guère difficile de se rendre compte que même sans aucune vaccination, il n'y aurait jamais autant de victimes de complications naturelles de la rougeole dans un état industrialisé comme la France. Pays où, rappelons-le tout de même, la mortalité par rougeole avait déjà baissé spontanément de 99,5%, sans le moindre vaccin, entre 1906 et 1983, selon les données de l'annuaire statistique de France.

Evolution de la mortalité rougeoleuse en France
Extrait du livre « Vaccinations, les vérités indésirables » de Michel Georget, Editions Dangles.

En outre, il faut aussi, selon nous, prendre en compte l'absurdité de revacciner aussi précocement et aussi aveuglément des enfants qui ont déjà eu une dose de vaccin ROR. Pourquoi ? Parce que, comme cela est très bien expliqué dans le dernier livre de Virginie Belle, "Faut-il faire vacciner son enfant ?", selon l'étude de Daï Bin (*) menée pendant 15 ans en Chine, il n'y a pas d'effet de rappel, quel que soit le temps écoulé après une première dose. En effet, le taux d'anticorps atteint après une seconde dose est environ 10 fois inférieur en moyenne à celui obtenu après une première dose. Mieux, plus les doses sont rapprochées, plus la concentration en anticorps diminue rapidement. La proportion d'individus qui deviennent séronégatifs quelques années après la seconde dose est d'autant plus importante que les taux initiaux d'anticorps étaient faibles. Par exemple, 76% des 25 enfants revaccinés deux à trois ans après une première dose et qui avaient des titres d'anticorps inférieurs à 2 sont devenus séronégatifs. La seconde dose ne prolonge donc pas la durée de l'immunisation conclut Daï Bin. Alors, pourquoi existe-t-elle ? Pour être en adéquation avec les objectifs fixés par l'OMS en vue de l'élimination de la rougeole. En France, cet objectif a été formalisé en 2005. On pense en effet que 5 à 10% des nourrissons vaccinés ne seraient pas immunisés après la première injection. A cette proportion d'enfants s'ajoutent 10% de nourrissons non vaccinés. [... ] Cette seconde dose (de vaccin) n'est en fait pas présentée comme un rappel mais comme une deuxième chance d'immunisation pour les 5 à 10% de sujets qui n'ont pas été immunisés par une première dose. Cette seconde vaccination est donc INUTILE pour les 90 à 95% d'enfants déjà immunisés avec la première dose." En d'autres termes, lors d'une seconde dose de ROR, les parents qui n'en sont hélas jamais informés doivent savoir que c'est seulement (dans le meilleur des cas !!) 5 à 10% de bénéfices, et encore, parce que tout rougeoleux ne développerait pas forcément des complications graves, contre tout le vaste champ des effets secondaires qui est à nouveau de mise à chaque injection du moindre vaccin, tel une sinistre roulette russe. Tout cela, parce que les autorités jugent "trop coûteux" de systématiser un dépistage sanguin préalable à une seconde dose de ROR, un test qui ferait perdre des millions d'euros aux fabricants de vaccins avec des millions d'enfants à ne pas revacciner. Au lieu de cela, des enfants, comme c'était peut-être le cas de Nello, auront un effet contreproductif, même au niveau du taux d'anticorps avec une seconde dose : une sorte de tout à perdre et rien à gagner ! Sans compter que tout est ici misé sur la seule présence d'anticorps alors que de récentes recherches tendent à montrer que les anticorps ne seraient pas du tout indispensables pour se défendre contre divers virus.

Ce que les parents de Nello ont fait, ce témoignage-vidéo, c'est à la fois courageux et constructif. Cela rappelle ce que les enfants risquent sans le savoir, parce que leurs parents ont été désinformés et surtout culpabilisés. Ce genre de témoignage est fondamental, tout spécialement à une époque où divers pays (Suisse, Pays-Bas et même la France) ont envisagé de rendre le vaccin ROR obligatoire !

Alors que de prétendus "experts" très renommés comme Paul Offit, et qui trouvent hélas un écho dans le monde entier, osent affirmer que "les vaccins sont la chose la plus sûre que nous puissions introduire dans nos organismes (encore plus sûrs que les vitamines a-t-il dit !)", il importe de nous rappeler que les enfants accablés par une batterie consternante de vaccins, sont tout bonnement incapables de verbaliser et de décrire en détail le malaise et les effets de tous ces vaccins qu'on leur administre en série. Un atout évidemment considérable pour Big Pharma qui rêve pour cette même raison de voir ses vaccins anti-HPV (papillomavirus ou fausse appellation de "vaccins contre le cancer du col de l'utérus") être administrés à de fragiles nourrissons, ce qui pourrait constituer alors une sorte de "palliatif" au tollé croissant que suscitent ces vaccins risqués chez les adolescentes qui sont d'ailleurs de plus en plus nombreuses à témoigner du désastre.

Les victimes de vaccins, et les parents d'enfants victimes de vaccins gagnent réellement à se faire entendre partout, dans tous les pays, et en différentes langues. Il est essentiel que ces victimes puissent échanger entre elles, prendre contact avec la presse, se fassent entendre en vidéo ou par écrit et qu'elles échangent entre elles sur les possibilités d'action en justice qui sont les leurs. Il n'y a en effet QUE de cette façon que le monde entier pourra se faire une plus juste idée du rapport bénéfices/risques REEL des vaccins "sauveurs de vie."...

(*) BIN (Daï), ZHIHUI (Chen), QICHANG (Liu), TING (Wu), CHENGYING (Guo), XINGZI (Wang), HANHUA ( Fang), YONGZHONG (Xiang), "Duration of Immunity Following Immunization With Live Measles Vaccine : 15 Years of Observation in Zhejiang Province, China.", Bulletin of the World Health Organisation, 69 (4), 1991, pp. 415-23.


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