Entre le 1ᵉʳ mai et le 24 août 2020, 1 % de décès moins qu’en 2019 et le même niveau qu’en 2018

par doctorix, complotiste
lundi 14 septembre 2020

Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'INSEE. Et encore, ces chiffres auraient pu être plus faibles sans les épisodes de canicule dont on ignore pour l'instant le rôle exact.

On nous parle volontiers des nouveaux "cas", qui ne sont en augmentation que parce qu'on multiplie les tests (ces tests qui ne mesurent donc que les taux de contamination de la population, pas loin de 10%, mais en aucun cas la morbidité -taux de malades parmi les positifs-, ni la mortalité ni la létalité actuelles). Si on testait tout le monde, dans ces conditions, en une semaine, on trouverait donc pas loin de 5 ou 6 millions de cas, ce qui ne voudrait strictement rien dire. Les 10.000 cas journaliers actuellement publiés ne sont donc qu'un gadget publicitaire.

Mais si on parle des nouveaux morts, les chiffres sont bien différents : ce sont pourtant ceux qui nous intéressent. En effet, sur les derniers 14 jours, on compte un mort pour 250.000 habitants sur cette période. C'est-à-dire un mort pour une ville comme Montpellier ou Nantes, tandis que sur cette même quinzaine, environ 180 personnes sont mortes d'autre chose dans chacune de ces deux villes prises comme exemple, comme le prouve cette statistique officielle européenne :

https://www.ecdc.europa.eu/en/cases-2019-ncov-eueea

De tout cela, il faut retenir que cette épidémie est terminée depuis le 1er Mai, et que depuis plus de quatre mois on nous mène en bateau. Les mesures sanitaires actuelles qui persistent malgré tout ne sont que de la poudre aux yeux destinée à entretenir la panique et à diviser les Français entre adversaires et partisans du masque (bien plus dangereux qu'utile dans les conditions où il est utilisé massivement), autrement dit entre ceux qui savent et eux qui ne savent pas, ou ne veulent pas savoir.

On peut noter qu'il n'y a pas de différence de mortalité sur cette période de quatre mois entre la phase qui précède le décret du 10 Juillet et celle qui la suit, confirmant ainsi que les masques ne servent à rien.

L'avenir nous apprendra probablement que le pic de Mars et Avril était du à la gestion catastrophique de l'épisode, avec en particulier un confinement mortifère et un arrêt des soins, et non à un virus finalement guère plus mortel qu'un autre si la science n'avait pas laissé la place à l'hystérie, à l'incompétence et la coruption des "élites".

Un mot sur l'Hydroxychloroquine-azythromycyne-zinc : ce sont maintenant plus de cent études qui prouvent son efficacité, et son interdiction a été et restera dans l'HIistoire comme un crime d'Etat.

Un autre mot sur les motivations de ces prises de position étranges : pour l'Etat, contrôle des populations, empêchement des manifestations de protestation contre une politique désastreuse, en un semblant de paix civile très provisoire. Pour les lobbies vaccinaux : de juteuses perspectives, fruits de leur patient et coûteux travail de corruption auprès des "élites".

L'urgence actuelle est donc d'arrêter ce cirque politico-médiatique, et de retrouver notre vie normale et nos libertés, avec notre bon sens momentanément confiqué.

Extrait de la statistique de l'INSEE publiée le 4 Septembre, dont on trouveraz l'intégralité ici :

https://www.insee.fr/fr/statistiques/4487861?sommaire=4487854

(Je recommande en particulier l'étude du GRAPHIQUE qui prouve l'arrêt de l'épidémie depuis le 1er mai.)

Merci de votre attention. Doctorix.

Évolution du nombre de décès depuis le 1er mai 2020

Tableaux, cartes, graphiques et commentaires

 

BASES DE DONNÉES

 

Paru le : 04/09/2020

Entre le 1ᵉʳ mai et le 24 août 2020, 178 598 décès sont enregistrés en France à la date du 4 septembre, soit 1 % de moins qu’en 2019 et le même niveau qu’en 2018. Ce nombre est toutefois encore provisoire et sera révisé à la hausse dans les prochaines semaines.

Ainsi, sur la période allant du 1ᵉʳ mai au 20 juillet, le nombre de décès qui était de 123 104 lors de la diffusion du 31 juillet est revu à la hausse pour s’établir à 124 917 à la date du 4 septembre, soit une révision de + 1,5 %. La baisse qui était estimée à - 3 % sur la période du 1ᵉʳ mai au 20 juillet 2020 comparativement à la même période de 2019, est donc révisée à - 1,1 %.

Depuis le 1ᵉʳ mai, comme le confirment les données récentes, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport aux deux années précédentes. Le constat est similaire lorsque la fenêtre d’observation est restreinte aux mois de juillet et d’août, pour lesquels il faut prendre en compte les épisodes de canicule. Si les décès survenus en juillet 2020 sont inférieurs à ceux survenus en juillet 2019 (de - 2,8 %) ou en juillet 2018 (de - 3,2 %), ceux enregistrés du 1er au 24 août sont supérieurs de 1,9 % à ceux survenus sur la même période en 2019 (mais demeurent inférieurs de - 0,5 % à 2018). À l’été 2018, un excès de décès de l’ordre de 1 500 avait été enregistré entre le 24 juillet et le 8 août. À l’été 2019, deux épisodes de canicule avaient été observés (entre le 24 juin et le 7 juillet, puis entre le 21 et le 27 juillet) entraînant environ 2 000 décès supplémentaires. En 2020, une vague de chaleur a débuté le 5 août, sans que les éventuels décès supplémentaires occasionnés soient encore connus.

Affichage de l’onglet contenant le tableau ou de l’onglet contenant le graphique

Nombre de décès par jour jusqu’au 24 août 2020

06001 2001 8002 4003 00001-mars31-mars30-avr.30-mai29-juin29-juil.24-août202020192018lib1lib1blib2lib2blib31 496 décès-----1 496 décès-----1496-----149601-mars24-août


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