Est-il est possible de stopper le cancer ? La recherche en marche !

par Bernard Dugué
mardi 20 juin 2017

Les solutions thérapeutiques contre le cancer n’ont guère progressé ces dernières décennies, excepté la détection plus précoce et la chirurgie. Il est des cancers qui nous condamnent vers une issue fatale plus ou moins rapide. D’autres qui laissent du répit en permettant une vie « normale ». Il existe enfin des guérisons de cancer inexpliquées. Un ouvrage récent raconte ce type d’expérience au cours de laquelle une femme s’est trouvée entre la vie et la mort, faisant l’expérience de l’autre monde, pour ensuite revenir guérie de son cancer, la tumeur ayant disparu comme par miracle. Je connais un ami qui a pu bénéficier d’une pratique non conventionnelle ayant stoppé son cancer. Lui qui était condamné par la médecine il y a plus de dix ans se porte bien et mène une activité normale. Son destin l’a fait rencontrer un guérisseur africain et par ailleurs médecin. Trois séances de magnétisme en profondeur et la tumeur réduite au silence pour des années. Il devrait être possible de stopper la progression des cancers sans passer par la chimiothérapie.

Ces phénomènes sont autant rares qu’inexpliqués. La science peut toujours considérer ces faits comme des cas inexpliqués et non reproductibles, voire des miracles. La science n’étudie pas les miracles mais les solutions efficaces dont l’efficacité repose sur une explication causale certifiée par les méthodes empiriques. Un effet déterminé repose sur une cause elle aussi déterminée. Les échecs de la médecine conventionnelle incitent nombre de malades à se tourner vers des thérapies alternatives avec le risque de tomber sur des charlatans. Inversement, la crainte d’imposteurs pousse le corps médical à se replier sur ses certitudes scientifiques malgré les échecs rapportés aux moyens dépensés depuis 50 ans.

Au stade des avancées en cancérologie, on ne peut exclure l’impasse dans le traitement des tumeurs par la voie chimiothérapique, y compris avec les nouvelles pistes de l’immunothérapie. Les annonces médiatiques dans ce domaine doivent être entendues avec le recul nécessaire pour ne pas se laisser affecter par de faux espoirs. Tant que le cancer ne sera pas élucidé dans ses racines profondes il ne faudra pas espérer des avancées majeures dans le traitement. La recherche est actuellement prise dans les mailles de la conception mécaniste et génétique. Il faut changer de cadre. Ce qui passe éventuellement par l’étude de ces cas étranges de guérisons qui échappent aux explications conventionnelles.

D’ailleurs, le cancer dans son ensemble nécessite d’être repensé avec des pistes nouvelles. Rien ne garantit que l’on trouve des choses utiles mais la recherche ne peut contourner ce principe universel : tous ceux qui ont trouvé ont emprunté un chemin et surtout, ont tracé une voie. Mais bien souvent, le système institutionnel place les chercheurs face à une feuille de route et un plan de carrière dont les résultats sont scrutés à la loupe régulièrement par la bureaucratie des agences d’évaluation. Un chemin de recherche déphasé met souvent plus de dix ans pour aboutir. Or, le monde est pressé. Et n’a pas la patience pour attendre ou réaliser des œuvres nécessitant un long cheminement. Le peuple veut des résultats rapidement.

Je n’ai rien d’autre à ajouter si ce n’est que je développe des chemins de pensée alternatifs en sciences et que j’ai quelques compétences pour aborder les recherches sur le vivant et le cancer. J’attends des propositions pour œuvrer de la part de scientifiques et praticiens ayant un pied dans le système et un autre dans la dissidence.

Mon adresse mail est accessible.

Bien cordialement, sans enthousiasme !


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