....Et Mahmoud Ahmadinejad humilia Nicolas Sarkozy !
par Allain Jules
jeudi 20 mai 2010
Telle une larve pataugeant dans la bouse, comme un coq chantant toujours, les pieds dans sa merde, la France de Sarkozy vient d’être copieusement humiliée par l’Iran de Mahmoud Ahmadinejad. En beauté en plus. Clotilde Reiss est libérée après que la France ait payé…..450 000 euros. Pour sa liberté conditionnelle, une caution de 210 000 euros avait déjà été payée. Pour son retour en France, 240 000 euros supplémentaires. C’est cher payé pour le contribuable français, vache à lait qui ne dit mot.
Nicolas Sarkozy est nu. Le roi est à poil, et ce n’est que le début, avec maintenant les soupçons de plus en plus criards sur son implication dans le Karachigate. Quand on pense que les grands médias édulcorent tout pour ne pas froisser le locataire élyséen, on se doute bien des collusions incestueuses entre cette presse-là, et le pouvoir, au détriment de la vérité. C’est risible. Dans une tribune publiée sur AgoraVox le 29 août dernier intitulée Clotilde Reiss, Florence Cassez, Salah Hamouri : la grande diplomatie hypocrite, dans laquelle je parlais donc des prisonniers français “embastillés” hors de France, de Salah Hamouri dont on ne parle jamais en passant par Clotilde Reiss et Florence Cassez, j’avais déjà de vrais soupçons sur l’amour immodéré que Clotilde Reiss portait à l’Iran. Les faits sont effectivement troublants. Découvrez ou redécouvrez la vidéo d’un bonimenteur : Nicolas Sarkozy en dessous, et l’extrait de ma tribune sur AgoraVox…en attendant la prochaine humiliation de la France.
Le mystère élucidé
Sans douter un seul instant de l’innocence de Clotilde Reiss, il est tout de même important de préciser certaines choses que la presse occidentale en général cache. Ces dernières pourraient, en effet, inquiéter un pays qui est sur le qui-vive comme l‘Iran. A juste titre d’ailleurs. Un parcours de recherche abracadabrantesque comme le dirait Chirac mais, encore une fois, il est possible de faire plusieurs cursus à la fois.
- Le père de Clotilde Reiss travaille au Commissariat à l’Energie Atomique (CEA).
- Clotilde Reiss, titulaire d’une licence en histoire a fait finalement Science Po. Tout est encore normal. Mais, elle ira en Iran faire un stage, il y a deux ans, pour le compte du CEA. Elle rend un rapport sur… le nucléaire iranien. Etonnant pour une non-scientifique.
- Clotilde Reiss se retrouve aujourd’hui en Iran en tant que “lectrice de français” à l’Université d’Ispahan, siège d’une des centrales nucléaires iraniennes. Fait troublant. Pourquoi l’Iran ? Ne nous embrouillons pas l’esprit.
En conclusion, on comprend sans ambages que, il y a des Français à part entière, et d’autre, à part. Aussi, il y a des pays intouchables, et d’autres, voués aux gémonies. Quelle honte en effet, quand on se souvient un tant soi peu des coups de gueule de certains :
- “Clotilde Reiss doit être libérée sans condition”
- “Nous demandons immédiatement la libération de Clotilde Reiss” et tutti quanti.
Une vraie diplomatie de pacotille. En définitive, la France paye donc 210 000 euros pour sa liberté conditionnelle, aidée par la… Syrie, ce pays jugé terroriste par nos médias et tous les penseurs et désinformateurs autorisés, qui squattent les médias hexagonaux depuis 30 ans. Comme un couperet, la vérité finalement, les affranchira...