Gilles-William Goldanel, ce mouton noir s’insurge du racisme anti-blanc
par Moi ex-adhérent
jeudi 20 octobre 2022
G. W. Goldanel, ce mouton noir s’insurge du « racisme anti-blanc ».
Mais quelle impudence d’oser affirmer une chose pareille, une provocation, que dire d’une telle insanité pour la bien-pensance établie de gauche. Celle-ci a ses codes, son intégrisme moralisateur ! D’ailleurs le racisme anti-blanc n’existe pas, ne peut pas exister, puisque le mot race a été supprimé de la Constitution.
L’Assemblée des députés, à l’unanimité, a supprimé le mot « race »
et interdit toute distinction de sexe, de la Constitution, résolvant ainsi d’un coup d’un seul, tous les problèmes, passés, présents, à venir. Il fallait y penser, et l’adopter, ce fut chose faite en 2008 sous le quinquennat surprenant de Nicolas Sarkozy.
Mais en France, rien n’est simple
« bien-pensance » renferme déjà le germe de la polémique. Cette expression a une connotation péjorative pour ironiser sur l’interlocuteur indélicat.
Ce mode opératoire réciproque se découvre avec le monde politico-médiatique des censeurs, on s’interjette les accusations avec vigueur, car qui dit bien-pensance, dit bien-pensant, insulte suprême n’étant pas loin de la dictature.
Elisabeth Levy a trouvé le remède avec son livre, Les Rien-pensants, ou la confusion des ressentiments
« A quelle étrange inversion assistons-nous, quand ceux qui dénoncent l’islamisme et le néo-antisémitisme sont accusés d’attiser la haine »
Bon, elle a oublié de citer les anti-français-blancs-hétéros-cathos-forcément réacs.
Les anti-français ne devraient pas dire ça
Tandis qu’en 2005, un certain Monsieur R interprétait un rap La FranSSe
« La France est une garce, n’oublie pas de la baiser jusqu’à l’épuiser comme une salope, mec. Mais n’oublie pas qu’ici, c’est chez toi, mets-toi à l’abri, mets-toi »
Pour la petite histoire, une plainte fut déposée contre Richard Makéla, alias Monsieur R, pour délit d’injure publique envers un groupe de personnes à raison de leur appartenance à la nation française le 24 Aout 2005.
Le 27 Avril 2006, le jugement rendu a estimé que cette chanson visait la France et ses dirigeants, sans que ne soient à aucun moment stigmatisés les individus membres de la nation française ou leur comportement, et l’incriminé fut relaxé.
Il n’est pas facile pour un novice d’apprécier la subtilité
Aurions-nous tous quelque chose du mouton noir ?