Guérison ou oppression ?

par Marc Nehdrys
lundi 6 septembre 2021

GUERISON OU OPPRESSION ?

En direct de la Panurgie traumatisée :

En regardant et écoutant attentivement, sans a priori ni arrière-pensées, on trouve à minima EN FRANCE :

- 250 à 300 médecins qui demandent, sur une tribune internet, à pouvoir SOIGNER les gens (et semble-t-il il n’en aurait pas le droit ???) ;

- plus de 1500 signataires (en nombre croissant), intellectuellement « sains », d’une autre tribune CONTRE un pass manifestement illégal au regard des lois européennes et internationales ;

- plus de 250 avocats qui ont lancé des procédures judiciaires au PENAL ou devant la CEDH, contre ceux qui les imposent et les vaccins obligatoires ET le pass sanitaire ;

mais aussi et surtout dans le MONDE :

- des centaines de milliers de témoignages d’effets indésirables par des professionnels de santé, des vaccinés eux-mêmes pour eux-mêmes ou des proches également vaccinés, aux conséquences parfois très graves voire mortelles ;

- ainsi que des témoignages des contraintes nouvellement appliquées par l’injection et le pass sanitaire afférent dans le monde du travail, contraires à toutes les Lois en vigueur ;

- et enfin ces témoignages effarants où la « médecine » nie farouchement toute implication du vaccin utilisé dans les effets graves ou mortels (en fait, effectivement le vaccin ne tue pas, ce sont les effets induits par son injection sur un terreau souvent défavorable (appelé du terme écœurant de « comorbidités ») qui entraînent POSSIBLEMENT et/ou PROBABLEMENT les myocardites, péricardites, thromboses, AVC, zonas et autres attaques sur les organes du corps des personnes qui SE SAVAIENT en bonne santé et état de forme. Dès lors comment différencier ce qui découlent des réactions des vaccins ou de la dégradation « naturelle » et tout de même subite du corps humain ? « Nier ne voudra jamais dire que c’était impossible » et que fait-on aujourd’hui du « jugement médical mesuré » plutôt que choisir l’ « affirmation péremptoire » ? En dernier lieu ne serait pas cela les études de sécurité et de tolérance qui devaient être faites AVANT d’injecter l’humanité ? _ J’entends l’objection : « on avait pas le temps », le temps de quoi ? De tenter de soigner les gens au lieu de les enfermer avec du « Doliprane » jusqu’à l’aggravation irréversible de leur état de santé ? Ou le temps de déclarer un décès dû à la Covid-19 (et pas autre chose) quand la statistique arrange la croyance vaccinale ou d’attribuer à la Covid-19 ou n’importe quelle autre cause un décès dû aux effets potentiels, directs ou non, des sérums géniques expérimentaux ? ...) ;

- des centaines d’études et témoignages in vivo sur des produits de soins précoces éprouvés et UTILISES positivement dans plus de 50 pays dans le monde (et farouchement rejetés dans d’autres, les mêmes qui imposent vaccin et pass) ;

- des dizaines de signaux d’alertes-danger d’organismes officiels (OMS en tête), d’éminents spécialistes mondiaux y compris de certains découvreurs des techniques utilisées pour les créations hâtives des sérums injectés à l’humanité (ARNm, protéines « Spike », orage cykotinique, surdosage de rappels, ...), sur les dérives d’utilisation PROBABLES ou CONSTATEES de celles-ci ;

- des centaines de milliers de cas d’infections ou réinfections, parfois aggravées, malgré les injections (certes sur des centaines de millions de doses injectées sans conséquences apparentes, DANS L’IMMEDIAT) ;

- sur l’apparition successive de variants, mutants de la « souche d’origine » (à voir), désignés grands responsables de la baisse d’efficacité des sérums et dont on attribue si facilement l’origine aux non-vaccinés (expliquez-moi COMMENT créer quelque chose à partir de rien !?) ;

- des statistiques avérées d’une TRES GRANDE MAJORITE DE GUERISON sur les bientôt milliards de « cas » déclarés (sachant que les tests incertains révèlent de bien trop nombreux faux positifs) _ sans oublier les asymptomatiques (malades sans le savoir et donc GUERIS sans même sans rendre compte !)_ ;

On ne peut objectivement et humainement rejeter tout cela au simple fait naïf de l’attribuer à des « anti-quelque chose » et/ou des « illuminés complotistes ». Tous ces gens sensés n’en sont pas.

La pédagogie de communication actuelle des spécialistes, de leurs intermédiaires médiatiques, des politiques, des ‘’sapiteurs’’, est étrangement unilatéralement orientée sur le mépris envers ceux qui doutent, sur l’accusation diffamatoire envers ceux qui choisissent d’autres voies que celle imposée, très souvent illégalement y compris par des Lois bâclées et bancales (attaquées en justice et mises à mal par de nombreux observateurs), sur une culpabilisation extrême (« irresponsable », « criminel », « scélérat », « voyou », « charlatan », ...) et des brimades insupportables, en terme fort : sur l’oppression avec perte de droits, perte de travail, perte d’accès aux soins, perte financière, avec interdiction d’être et d’exister hors ce qui est imposé (un traitement JAMAIS infligé à un quelconque délinquant ou criminel de droit commun) envers ceux qui résistent encore à l’Ordre et/ou qui expriment leur refus.

Tout çà mis bout à bout devrait justement IMPOSER de réfléchir à minima sur la justesse* et l’équité* des stratégies mises en place contre la plus grande pandémie du début du XXIème siècle, aux origines naturelles plus que douteuses, et sans céder aux lobby d’un côté ou à une sidération démesurée et un aveuglement certain de l’autre (dissonance ou distanciation cognitive encore et toujours), au regard de sa contagiosité et ses conséquences réelles.

Pendant ce temps sans réflexion ni dialogue, l’injection reste LA règle obligatoire et forcée, définitivement contraire aux règles de la démocratie, au même titre que l’application d’un laisser-passer qui a brutalement et peut-être définitivement scindé en deux parties inégales une population, vaccinée ou non, contrainte et psychologiquement démesurément ébranlée. Les dommages résultant de ce diktat sont incalculables et surtout irréparables, bien plus que ceux produits par l’atteinte épidémique elle-même. Pour rappel, il n’y pas si longtemps le QR Code ne concernait que des objets ou des lieux, aujourd’hui il se colle à UN être humain, comme un certificat (de vaccination) ou une attestation de devoir civique bien rempli (un futur critère de discrimination supplémentaire ?…).

« Tu l’as pas, tu n’es pas ! » dans un clip propagandiste du gouvernement, çà ferait une belle devise non ?. En dernier lieu, à quand le tatouage indélébile servant de pass’partout ?

La seule question qui reste n’est plus de savoir qui est responsable de l’épidémie (c’est sûr que la Chine et ses complices ne donneront JAMAIS l’occasion d’en savoir plus) mais de savoir qui sera RESPONSABLE des dommages infligés aux humains par les choix économico-politiques qui en auront découlé ( dans l’hypothèse optimiste que tout cela ne soit pas orienté depuis bien plus longtemps qu’on ne le croit...).

...

Un début de réponse peu confiant : « Personne évidemment, une « guerre » fait toujours des victimes, les malades ne sont que les blessés. Les réfractaires sont poursuivis pour trahison et souvent exécutés. Les VRAIS coupables, toujours en fuite où exonérés de toute sanction ».

L’Histoire nous ressert-elle pour une énième fois un plat avarié ?

 

votre pigiste en Panurgie

Marc Nehdrys

* ni juste, ni équitable...


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