Hardi comme Ardern

par lisca
mardi 24 août 2021

 

Il y a dans le monde des gens persuadés que les extra-terrestres nous gouvernent à distance. Ils ont, selon eux, imposé le covidisme, le réchauffement et autres fantaisies comme exercice disciplinaire et réducteur, afin de préparer leur installation triomphante et définitive sur notre planète. Mais sans fanfare, depuis leurs soucoupes volantes, une fois les grenouilles assez mijotées – selon un plan Davos écrit et répertorié, aujourd'hui bien connu.

 

Les ET ont l'air humains à première vue, quoique très laids, avec des traits irréguliers et disharmonieux, souvent aggravés par toute une vie peu recommandable ; mais leur mental n'est ni terrien, ni céleste ni aquatique. Tordu comme une échelle ADN endommagée, il commande des actes cruels, grotesques, impensables par d'autres qu'eux, bref inhumains.

Ces ET se distinguent par un culot monstre et une totale absence d'empathie pour leurs administrés, censés être pourtant des compatriotes.

Pour les voir tels qu'ils sont sous leur laideur apparemment ordinaire, il faut des lentilles de contact jamais vendues sur Amazon. Par contre, nul besoin d'appareil auditif magique pour entendre le vrai discours , car toute pommade en a disparu. Ce qu'on entend – qui est extraordinaire – n'a plus besoin d'être décrypté. La plupart du temps, il s'agit de déclarations assez ridicules mais elles ne font plus pouffer personne, à cause de leur odeur de fumier. Les mots et injonctions tombent sur la populace comme les déjections d'un astre écroulé.

 

Qui sont ces extra-terrestres ? Des noms !

Il y en a fort peu, si on considère les 7 milliards de locataires terriens, mais trop pour s'en divertir ici. Nous nous contenterons en illustration d'évoquer un homme, et d'aborder une femme. Ils sont des ET importants, mais de seconde zone ; c'est pourquoi nous pouvons en parler.

 

Par courtoisie, dans notre monde inversé, nous commencerons par l'homme, celui-ci étant un vieillard. Le révérend Bergoglio ne veut pas être le vicaire du Christ, et l'affirme. Il apparaît habillé comme un pape, bien qu'une de ses croix pose problème (lien).

Il aurait agi avec une duplicité byzantine du temps de la junte à Buenos Aires. Il aurait signalé aux autorités deux prêtres soupçonnés de faire de la politique, ou simplement refusé d'intervenir en leur faveur (les versions diffèrent), puis aurait aidé à les faire libérer, après cinq mois de taule. Une histoire pas très catholique. (lien)

Aujourd'hui ce Francisco encourage tout le monde à se faire vaccider, alors qu'il n'est pas qualifié pour parler de seringues, sauf si la chrétienté se trouve en danger de mort clinique. Il sait plaire aux grands patrons et détricoter ce qui vous tient chaud.

Du mal, me dit-on, peut sortir un bien. Exemple les Borgia, qui laissèrent au monde, par le mécénat, une architecture, des peintures et des sculptures universellement admirées (lien). Que laissera Bergoglio, pape en second et donc non-pape – le pape au-dessus étant toujours en vie ? Une drôle d'impression dans une drôle d'époque. Poussière, poussière.

Au moins est-il des nôtres, ce personnage ? Verdict : c'est soit un ET, soit une moitié d'ET, soit un suppôt d'ET ; à moins qu'il ne soit victime du nec plus ultra, pardon de MK Ultra (lien) ? C'est si courant de nos jours, même chez les personnes âgées.

D'où nous est-il tombé ? D'une des lunes blêmes de Bételgeuse, à mon avis.

 

Passons aux dames. Voir Jacinda Ardern, même en photo retouchée, ne peut que conforter la croyance aux soucoupes volantes. Cette politicienne arrive de moins loin que le pape en second ; de Pluton, dirais-je.

Les gens murmurent (lien) qu'elle prétend livrer la Nouvelle-Zélande au Parti Communiste Chinois, allié au big business mondialiste relocalisé en Chine. C'était une mao dans sa prime jeunesse d'arriviste, alors pourquoi pas. Force est de constater que cette dame montre les dents à tout moment, sans crainte d'effrayer le chaland. (lien) En attendant la livraison, elle entraîne activement la population NZ sous diktat incessant, aux mœurs et coutumes surveillées de son puissant voisin d'Asie (lien).

Répétez tous en choeur : Ô Jacinda notre soleil vert ! Gloire et Permanence à tes décrets les plus décriés, à ta puissance financée matraqueuse, à tes petits arrangements ! Ô déesse Chauve-Souris ! Stupeur et tremblements quand tu déploies tes oreilles. S'envoleront-elles vers des sphères inconnues (enfin !) ?

Les manifestations en Nouvelle Zélande doivent être difficiles à organiser, car nulle nouvelle ne filtre à ce sujet, comme dans tout régime totalitaire. En Australie, en revanche, les jeunes hommes s'insurgent vigoureusement contre la mise en cage activable à volonté (lien). Honte à vous ! crient-ils aux policiers matraqueurs.

 

Une extra-terrestre, Ardern ? Elle, l'archétype même de la féminité minaudière, gant de velours sur main de fer ?! se récrie sa cour de journaleux mondains, la photographiant complaisamment enceinte ou « embarrassée » comme on dit chez nos voisins ibériques.

Les attitudes extraverties de la PM, sa structure osseuse, son absence de formes (lien) et son prénom qui n'existe pas – comme féminisé exprès – ont intrigué des gens qui ont vraiment l'esprit mal placé.

Ils vont jusqu'à supposer que Jacinda est un homme déguisé prénommé Jacinto (lien). Ne nous gênons pas, en spéculant que la Begoña du président espagnol Pedro Sanchez serait, elle aussi un transfuge, au vu de son extrême platitude (lien).

Décidément, on part d'un(e) extra-terrestre, et on tombe sur un cluster ? Les politiciens ont souvent d'étranges goûts matrimoniaux et relationnels ; leurs femmes ressemblent à des pensums. Ambition quand tu nous tiens !

 

Voici Pedro Sanchez et la maigrelette Ardern, papotant en anglais avec Bill Gates et son ex-femme en septembre 2019. (lien) Devinette : combien d'hommes, combien de femmes dans l'assemblée ? Ces politiciennes et affairistes ont l'air si viragos, voire possédées. C'en est déstabilisant et on ne prête qu'aux riches. D'ailleurs les commentaires sont désactivés. Ce qu'en pense le bon peuple doit demeurer à jamais mystérieux. Fermes rondeurs, doux visage et délicatesse des sentiments ; on ne fait pas de politicienne avec ça. Tu seras une pète-sec, Jacinda !

 

En janvier de la même année davossienne, nous retrouvons Ardern écoutant le prince William (lien) parler de fous, de folie, et des traitements médicamenteux à fournir aux siphonnés avant, pendant, après crise, ad vitam aeternam, merci les labos. On ne sort pas de l'hôpital (lien). Notre destin de perpétuels malades virtuels, à fabriquer, à tourmenter, se peaufinait cette année-là.

 

Notons qu'entre 2019 et 2021, Jacinda Ardern a séché comme un coup de trique. La finance en demande peut-être un peu trop à ses mannequins. Ils ont un cœur, quand même !

 


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