Il existe un remède contre la COVID
par Jules Seyes
jeudi 22 avril 2021
Parfois il faut savoir trancher le noeud Gordien.
La situation sur la COVID est arrivée à un stade où la manoeuvre est voyante.
Donc l'heure est venue de trancher dans le vif.
Il existe un remède contre la COVID.
Si si, je vous l’expliquerais à la fin.
Maintenant pour nous amuser, je vous mets une étude faite en 2020 sur la mortalité due au COVID dans les chambres (Députés, Sénat, Bundestag Allemand) Il s’agit de populations relativement âgées, suffisamment nombreuses pour permettre une étude statistique et présentant en général des facteurs de risques.
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Nombre |
Mort COVID |
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France |
Chambre des députés |
577 |
1 |
0,17% |
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Sénat |
348 |
0 |
0,00% |
Allemagne |
Bundestag |
709 |
0 |
0,00% |
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1634 |
1 |
0,06% |
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Mortalité chambre des députés appliquée à la France entiére |
67.000.000 |
116.118 |
0,17% |
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Mortalité des trois chambres appliquée à la France entiére |
67.000.000 |
41.004 |
0,06% |
Le tableau est ahurissant. Pas de changement depuis ma première étude. J’ai revérifié deux fois.
Un seul mort sur 1634 élus peut être reliée á la COVID. On peut donc faire justice la COVID n’est pas la peste noire c’est une grippette lorsque c’est pris en charge.
Or c’est bien là que le bât blesse. Depuis le début de la COVID les autorités sanitaires n’ont cessées d’inciter á hospitaliser en cas grave et à décourager les prise en charge légère.
comme le disait très justement il y a quelques semaines Didier Fassin dans le Journal du CNRS : « le Covid-19 n’est exceptionnel ni par son infectiosité ni par sa létalité. (…) Le caractère unique de la situation actuelle ne tient donc pas tant à la maladie elle-même qu’à la réponse qui lui a été apportée ».[1]
Dans son avant dernier conseil de prise en charge la HAS déconseille les traitements antibiotiques en cas de COVID :
Etonnant lorsque l’on a entendu parler de l’utilité de l’azithromycine dans les études du Professeur Raoult et d’autres médecins généralistes qui en ont dit le plus grand bien.
En parallèle la communication sur les traitements est là encore anxiogène :
L’ordre des médecins insiste sur le risque pris par le patriciens lors des prescription hors AMM.
Hors une telle prescription est possible lorsqu’il n’y a pas d’alternative thérapeutique, mais ceci n’est pas rappellé. De non-rappel en menace on sabote la prise en charge de la COVID par les médecins.
De même l’on demande pour les dits traitements de fournir des études de haut niveau sur les cohortes massives, oubliant que pour les traitements génériques il n’y a pas de financeur les états ne jouant pas ce rôle pour des raisons budgétaires et les laboratoires n’ayant bien évidement pas d’intérêt à financer. Maitre Di Vizio rappelait pourtant que les autorités de santé avaient su dans d’autres cas se montrer infiniment plus complaisantes. (Di Vizio hebdo 2).
Donc la prise en charge de la COVID en médecine de ville n’est pas au niveau où elle doit être.
Au niveau de l’hôpital ce n’est pas mieux. Il faudrait prendre en charge et depuis un an on nous explique qu’en cas d’explosion des cas il faudra trier les patients. Bien, mais nous gaspillons des dizaines de milliards d’euros par mois en aides pour maintenir les entreprises à flot.
Avec tant d’argent il aurait été possible de revaloriser les salaires hospitaliers et de créer des lits. On aurait pu même réduire la pression administrative pour rendre le métier un peu plus attractif et aussi réduire les coûts de ces fonctions administratives hypertrophiées. Mais bon on a préféré matraquer les soignant en sortie de confinement.
Alors que faut-il en conclure ?
- L’administration de la santé a perdu la bataille de la propagation en mettant des affiches dans les aéroports. La Stratégie Zéro COVID relève aujourd’hui de l’impossibilité avec un virus qui est partout. Il faudrait complétement fermer le pays pendant une longue durée et nettoyer toutes les surfaces. Cela devrait être assumé c’est impossible.
- On nous promet une solution avec le vaccin. Mais pourquoi des produits peu testé (un test dure normalement des années), dont les fabricants disent qu’ils ne font que réduire le risque mais ne réduit pas la transmission, serait-il la solution ? Le soutien enthousiaste des labos et le technologisme de nos élites, plus le fait que l’OMS et les autres pays aient adopté ces stratégies ne créeraient-ils pas un tel biais ?
- On refuse les traitements et on ne se donne pas les moyens de faire les tests à grande échelle que les administrations réclament pour valider les alternatives thérapeutiques.
- Il semble que l’on sache en haut lieu que la COVID n’est pas réellement dangereuse sinon comment comprendre que les élites se pressent dans les restaurants clandestins tandis que l’on refuse de mettre en place des moyens dans les hôpitaux ce qui serait pourtant cohérent pour s’adapter et vivre à long terme avec le virus.
- Les mesures sanitaires ne semblent pas pouvoir être reliées à une efficacité sanitaire par contre économiquement elles semblent avoir pour objectif de favoriser certains acteurs au détriment d’autres. Leur légitimité peut donc être questionnée.
Bref notre stratégie anti COVID est tout simplement incohérente. Ceux qui la dirigent ont failli et ne cessent de faillir. Il est temps de leur retirer les leviers de commande.
- Référendum Révocatoire immédiat : Faut-il garder Messieurs Veran, Castex et Macron.
Pour adapter le vote sera fait avec le site d’ADP du ministère de l’intérieur. La solution est loin d’être parfaite, mais elle a le mérite d’être immédiatement disponible et compatible avec la narrative du virus.
- Sur la base du référendum, les médecins reçoivent des notices claires sur les alternatives de traitement anti covid.
- Sur la base des études disponibles l’ANSM accorde immédiatement des autorisations temporaires d’utilisation pour tous les traitements où il existe plus de vingt études montrant des effets favorables.
- Sur la base du référendum, l’ensemble des fermetures administratives est immédiatement révoqué. Les amendes administrées pendant la COVID sont immédiatement annulées.
- Après la COVID un second référendum pour que la cours de justice de la république puisse prononcer la peine de mort en cas d’atteinte grave à l’état, cas où nous nous trouvons objectivement
- On réouvre des places structurelles dans les hôpitaux.
Et là vous verrez en quelques semaines vous n’entendrez plus parler de la COVID puisque vous aurez éliminée la source de la Maladie : Nos GOUVERNANTS.