islamisme : Islamaladie ou Musulmenace ?

par MANESTRIA
mercredi 8 juillet 2015

Allah est l'Alibi des islamistes pour justifier propagande et exactions

La prise en otage de notre Dieu (même si on le nomme autrement)

par les islamistes est-elle une Musulmenace ou une Islamaladie ?

Que pouvons-nous, grâce à notre liberté d’expression, critiquer ?

Le contenant ou le contenu ? C’est-à-dire les musulmans ou l’Islam ?

Les uns se remplissent de l’autre qui, Lui-même, savoure s’y répandre.

Quand on critique les musulmans en tant qu’individus, on se trompe de combat : il s’agit d’une attaque ad hominem et c'est soit du racisme soit de la xénophobie trop primaire.

En revanche, une critique constructive n’empêchant pas le respect : respecter les contenants, analyser le contenu : une démarche scientifique, en fait, peut nous aider.

Quand on critique les idées religieuses des musulmans, c’est-à-dire l’Islam, on « s’attaque » au contenu, c’est-à-dire au programme qui est (déjà ou veut être) présent dans les cerveaux des musulmans afin de leur donner des modes d’actions (tout comme les chrétiens ont leur propre programme, tout comme les juifs..., les hindous..., etc.)

On commence à bien connaître l’Islam maintenant : religion de paix selon les uns, religion de guerre selon les autres. Et c’est grâce à cette ambivalence dégagée par ces deux versions exprimées par les deux populations programmées via Lui, que l’Islam est maintenant assez connu pour ne plus faire nous faire peur. Notons donc au passage que critiquer l’Islam ne peut être quailifié d’islamophobie (qui n'est qu'une maladie inexistante juste inventée pour faire taire la critique) car nous n'avons pas (ou plus) peur de l'Islam. Nous n'avons pas peur du contenu d’un livre de programmation cérébrale, car il est inoffensif, quel que soit son niveau d'exigence, dès lors qu’il n’est pas encore implanté au fond des têtes par l’éducation, par la culture. En revanche, bien qu'on n'ait pas peur de l'Islam en tant que tel, si ceux qui s’en inspirent deviennent offensifs c’est qu'ils ont été infectés par un contenu apprécié vicieusement et de ceux là on peut avoir peur. En effet, même si un contenu vicié peut encore être considéré comme inoffensif dès lors qu’il n’a pas encore entamé les cerveaux (comme le ferait un virus informatique dans la mémoire interne d’un ordinateur), le danger est présent dans les contenants qui se seront remplis d’un contenu nocif (et pire quand c'est sans s’en rendre compte comme avec une drogue rendant fou).

Ce contenu nocif c'est l'islamisme.

Alors à quoi faisons-nous face avec l'islamisme ?

Sommes-nous face à une musulmenace ou à une islamaladie ?

Si le contenu issu de l'Islam est vicié et, donc, nocif : c’est une islamaladie

Si les contenants s’empoisonnent avec cette nocivité : ils deviennent islamalades

Et c'est ainsi où réside l’islamisme qui veut se développer : c’est une maladie de l’Islam

Et les premiers guérisseurs de l’islamaladie peuvent (et doivent) être les musulmans non encore contaminés : notamment ceux qui ont brandi les valeurs républicaines en janvier. 

C’est dans leur intérêt propre (et ils le savent) car ce qui les guette, si l'infection veut se généraliser, c’est d’être victime (en plus) de l’amalgame de la part des anticorps. Et, donc, de prendre le risque d’être considéré, en raison de leur faiblesse à combattre leur mal, comme un des vecteurs favorisant l’islamaladie et ainsi développer l’amalgame que tous les musulmans ne seraient que les éléments d’une musulmenace plus grande qu’eux.

Bien sûr, les musulmans encore sains ne devront pas être seuls dans ce combat pour leur propre survie : nous devrons les aider en leur fournissant tous les moyens nécessaires pour empêcher l'infection et les aider sera aussi nous aider nous-même en empêchant le développement de tous les foyers pathogènes qui voudraient apparaitre ou prospérer via des imams radicaux tel que l'extrêmement nuisible Anjem Choudary et ses semblables.

Afin qu'Allah, notre Dieu à tous commun, ne puisse être pris en otage par ceux qui s'en servent comme l'Alibi de leurs funestes projets de transformer notre terre, notre cadeau de vie, en simple lieu de passage sans intérêt au profit d'une "vie meilleure dans la mort", nous devrons tous, enfants intelligents d'Allah, nous mobiliser pour favoriser nos vies.

Et que l’islamaladie ne mue pas en musulmenace généralisée, pourvu qu'Allah le veuille.


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