James Mattis et Robert Ford reconnaissent officiellement les mensonges et la turpitude du gouvernement américain à propos de la Syrie

par doctorix, complotiste
vendredi 16 février 2018

Le Secrétaire américain à la Défense, James Mattis, reconnait que le gouvernement syrien n'est pour rien dans la attaques de la Gouta ni dans la tragédie de Khan Cheikhoun survenue en avril 2017.

L’ancien ambassadeur américain en Syrie, M. Robert Ford, déclare de son côté devant le comité des Affaires étrangères de la Chambre des représentantsque l’administration américaine a dépensé pas moins de 12 milliards de dollars ces quatre dernières années pour déstabiliser le gouvernement de Damas.

Ce qui était évident pour les lecteurs d'Agoravox devient une énorme claque à la figure de nos Ministres des affaires étrangères, de Fabius à Le Drian, et de nos deux présidents successifs.

Le dernier, Macron, est en train de nous gaver avec son fameux fil rouge et sa menace d'intervention, comme s'il n'espérait qu'une chose : une bavure chimique du pouvoir syrien qui n'arrivera pas ; mais il encourage ainsi Daesh et les autres forces d'opposition à fomenter une attaque chimique sous faux drapeau qui servirait de prétexte à notre intervention (même technique qu'Obama et Trump).

On en profitera pour souligner l'indignité de la presse française, qui a passé toutes ces années à nous désinformer. Et on ose nous parler des fake-news ?

Ce qui ressort de tout cela est l'extraordinaire lucidité de François Asselineau, pourtant largement villipendé quand il disait exactement la même chose que les américains aujourd'hui.

On l'accusait d'être le "candidat des complotistes" pour ses positions sur la Syrie : le temps lui a donné raison

Publié par Brujitafr sur 16 Février 2018, 06:27am

Catégories : #ACTUALITES#POLITIQUE#ALTER

a a reconnu vendredi 2 février 2018 que les États-Unis d’Amérique n’ont jamais eu la moindre preuve démontrant que le gouvernement syrien avait utilisé du gaz toxique contre sa propre population, qu’il s’agisse de la tragédie de la Ghouta survenue en août 2013 ou de la tragédie de Khan Cheikhoun survenue en avril 2017.
 

 

Traduction du titre : « Et maintenant, Mattis reconnaît qu’il n’existe aucune preuve que Assad a employé des gaz toxiques contre sa propre population ». Source : http://www.newsweek.com/now-mattis-admits-there-was-no-evidence-assad-using-poison-gas-his-people-801542

 

Quatre jours plus tard, le mardi 6 février 2018, c’est l’ancien ambassadeur américain en Syrie, M. Robert Ford, qui a jeté un autre pavé dans la mare, en déclarant devant le comité des Affaires étrangères de la Chambre des représentants,que l’administration américaine a dépensé pas moins de 12 milliards de dollars ces quatre dernières années pour déstabiliser le gouvernement de Damas.

Traduction du titre : « L’ambassadeur américain confirme que des milliards ont été dépensés pour renverser le régime syrien, ce qui démasque le mythe selon lequel « Obama n’aurait rien fait » »Source : http://therealnews.com/t2/index.php?option=com_content&task=view&id=31&Itemid=74&jumival=21110

 

Ces informations, qui n’ont pas été reprises par les médias de grande diffusion français, sont de toute première importance.

S’agissant du massacre de la Ghouta, l’Union populaire républicaine (UPR) rappelle qu’une étude du prestigieux MIT avait déjà sérieusement mis à mal la version officielle de M. Obama.

 

Là encore, le soutien du gouvernement américain à des organisations extrémistes au Moyen Orient était déjà connu : voir par exemple cette information de France24 «  le Pentagone aurait dépensé plus d‘un demi-milliard de dollars pour produire de fausses vidéos djihadistes », reprise aussi par Les Échos.

 

Le Pentagone a payé 540 millions de dollars US pour de fausses vidéos sur Al-Qaïda

 

L’UPR rappelle aussi l’étonnante enquête publiée par la BBC le 13 novembre 2017, intitulée « Raqqa’s dirty secret », qui avait révélé que la coalition occidentale, menée par les États-Unis et ses alliés kurdes et arabes, a laissé secrètement et volontairement s’échapper de Raqqa des centaines de combattants de l’État islamique avec leurs armes et leur famille. Le reportage de la BBC avait aussi relaté que les avions et drones de la coalition occidentale ont escorté les camions convoyant les combattants de l’État islamique et guidé leur route.

 

Ces actes et ces aveux formulés par les plus hautes autorités américaines devraient normalement justifier la saisine de la Cour Pénale Internationale. Mais les États-Unis d’Amérique ont refusé de ratifier le Statut de Rome, exemptant ainsi par avance leurs propres dirigeants de toute poursuite devant ce tribunal pénal international !

 

François Asselineau a également eu raison de s’opposer à l’attaque aérienne ordonnée par M. Trump dans la foulée du massacre.

Bien différente avait été l’attitude de M. Macron qui avait adopté une position confuse, attribuant servilement à Bachar Al-Assad la responsabilité de l’attaque, demandant une enquête en même temps, puis déclarant « prendre note », non sans cacher son approbation, de la décision de M. Trump d’aller bombarder le territoire syrien en violation pure et simple du droit international.

Le Temps révèle ainsi quel candidat avait vraiment l’étoffe du chef d’État qu’attendent les Français.

Ci-dessus : invité de « 8h30 Apathie » le 12 avril 2017, François Asselineau passa devant une sorte de tribunal de journalistes qui le « sommèrent de s’expliquer » parce qu’il avait refusé de croire immédiatement et sur paroles la version américaine attribuant aux troupes de Bachar Al-Assad le gazage présumé de 87 civils à Khan Cheikhoun, le 4 avril précédent. Pour contribuer à faire passer auprès des téléspectateurs le président de l’UPR pour un dangereux illuminé, la chaîne de « service public » France Info laissa en surbrillance, pendant toute la durée de l’entretien, la mention « Asselineau, candidat des conspirationnistes ? »... Dix mois après ce tribunal digne de l’Inquisition, les aveux du secrétaire américain à la Défense, James Mattis, reconnaissant que les États-Unis d’Amérique n’ont jamais eu la moindre preuve démontrant que le gouvernement syrien avait utilisé du gaz toxique à Khan Cheikhoun, constitue une éclatante victoire politique et morale pour le candidat Asselineau et devrait inciter France Info à lui présenter ses excuses publiques. Source : https://www.francetvinfo.fr/elections/presidentielle/video-francois-asselineau-dit-avoir-des-doutes-sur-l-affaire-syrienne_2142176.html

 

Résumé de l’entretien avec François Asselineau le 12 avril 2017, écrit et publié par la rédaction de France Info sur son site en ligne au sujet Source : https://www.francetvinfo.fr/elections/presidentielle/video-francois-asselineau-dit-avoir-des-doutes-sur-l-affaire-syrienne_2142176.html

Conclusion : il faut lutter contre les « fake news » pour de bon !

En conséquence des révélations stupéfiantes faites en personne par le Secrétaire américain à la Défense et par l’ancien ambassadeur américain en Syrie, l’UPR demande solennellement à M. Macron :

L’UPR demande par ailleurs aux médias français de grande diffusion de se faire largement l’écho :

L’UPR exige enfin un droit de réponse à France Info et des excuses de cette chaîne de service public.

Nous demandons :

 

Source : UPR


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