L’ignorance c’est la force

par Patrice Gibertie
lundi 9 mai 2016

En ce 8 mai MACRON récupère JEANNE d’ARC, BFM découvre (gag) que son spécialiste en djihadisme ROMAIN CAILLET a flirté avec le djihadisme.

JE RETIENDRAI DEUX OUBLIES POUR CE 8 MAI 2016 et je reviendrai sur la tragique réforme du collège et sur la position de la classe politique sur la question 

 

 AVEC TOUJOURS CE RAPPEL SUR LA CRISE SOCIETALE EN FRANCE

http://www.amazon.fr/Pourquoi-Gaulois-peur-lislam-tombe/dp/B01A5CKTHQ/

 

LA MEMOIRE TRAHIE

 

LE PREMIER OUBLIE EST UN INCONNU NOMME CHARLES DE GAULLE. Dans toutes les communes de France, la cérémonie commémorative du 8 mai 1945 se déroule d’une manière quasi identique. Entre Marseillaise et dépôts de gerbes, le Maire est appelé à lire le message du Secrétaire d’État chargé des Anciens combattants et de la Mémoire.

Si ce message rappelle quels furent les acteurs de la lutte contre le nazisme – les Forces Française libres ; la résistance – et s’il rend un hommage particulièrement appuyé aux victimes nombreuses de la répression nazie, au nom de la « mémoire » qu’il nous importe de partager avec tous, et notamment les jeunes, ce message gouvernemental souffre cruellement d’un oubli majeur : le rôle du général de Gaulle, lequel n’est même pas cité…

http://www.seine-maritime.gouv.fr/content/download/21018/156008/file/Message%20du%208%20mai%202016.pdf

La seconde s’appelle Jeannette GUYOT , une résistante à qui la presse BRITANNIQUE vient de rendre honneur

Une ancienne étudiante Anne Sophie m’ a envoyé le lien.

Aurait-on appris la disparition d’une grande résistance, agent du célèbre colonel Rémy, Jeannette Guyot-Gaucher, 97 ans, survenue le dimanche 10 avril 2016. Il est à craindre que non. Née le 26 février 1919 à Chalon-sur-Saône, ( Saônet-et-Loire), Jeannette Guyot rejoint les rangs de la Résistance. Jusqu’en août 1941, elle est membre du réseau Amarante, dirigé par Félix Svagrowsky et rattaché au BCRA (Bureau central de renseignements et d’action) de la France Libre. Grâce à un laisser-passer allemand, elle fait passer des agents en zone sud. Plus tard, Jeannette Guyot rencontre le colonel Rémy (Gilbert Renault), le chef du réseau « Confrérie Notre-Dame » , basé à Paris. Elle devient alors agent de liaison ettransmet des renseignements en zone sud, tout en poursuivant ses activités de passeur.

En février 1942, elle est arrêtée et emprisonnée pendant trois mois à Chalons-sur-Saône, puis à Autun. Elle garde le silence. Ne pouvant retenir aucune charge contre elle, les Allemands la libèrent, après lui avoir retiré son « Ausweiss ». Elle reprend ses activités au sein du réseau du colonel Rémy. Jeannette Guyot est envoyée à Lyon. Là, elle rencontre Jacques Robert, qui crée le réseau « Phratrie », rattaché au BCRA, et aura pour mission de collecter du renseignement, et d’ aider les aviateurs alliés. Avec l’invasion de la zone sud le 11 novembre 1942, l’étau de la Gestapo se resserre autour de Jeannette Guyot. Elle est exfiltrée en Angleterre dans la nuit du 13 mai 1943, grâce à un avion Lysander de la Royal Air Force.

Arrivée à Londres, Jeannette Guyot retrouve le colonel Rémy et prend le pseudonyme de « Jeannette Gauthier ». Toujours affectée au BCRA, elle exécute des tâches administratives qui l’ennuient. Elle est finalement affectée à l’école de Praewood House, près de St-Albans (à quarante kilomètresde Londres), où 120 volontaires sont formés aux techniques du renseignement militaire par des instructeurs l’Intelligence Service (IS) de l’Office of Stratégique Service (OSS), en vue du plan Sussex dont la finalité est de collecter le maximum d’informations possibles sur l’ordre de bataille allemand afin de préparer le débarquement allié en Normandie.

Le 8 février 1944, Jeannette Guyot, promue lieutenant, est parachutée près de Loches avec le commandant Marcel Saubestre, le capitaine Georges Lassale et le radio Pierre Binet, dans le cadre de l’opération Calanque. Leur mission est de trouver des caches sûres pour les agents « Sussex ». Une tâche rendue compliquée par la Gestapo et ses moyens de détection des émissions radio. À Paris, le lieutenant Jeannette Guyot cache l’opérateur radio de son équipe au « Café de l’Électricité », à Montmartre, à deux pas d’un bureau de la… Gestapo. « Je savais quel genre de travail elle venait faire et quand elle m’a demandé si j’étais prê à l’aider, j’ai répondu oui, sans la moindre hésitation », expliquera à la BBC, la propriétaire du bistrot, qui sera rebaptisé « Café des Sussex » à la fin de la guerre.

Après la libération de Paris, le 25 août 1944, sa mission prend fin. Jeannette Guyot retrouve un emploi de bureau à la nouvelle « Direction générale des études et recherches » (DGER). Elle apprend la déportation en Allemagne de ses parents. Son père n’en reviendra pas.En juin 1945, Jeannette Guyot quitte le monde du renseignement et épouse Marcel Gauchet, un agent « Sussex ». Elle ne fait plus parler d’elle. Titulaire de la Légion d’Honneur, de la Croix de Guerre avec palmes, de British George Medal, elle a été l’une des rares femmes à avoir reçu laDistinguished Service Cross américaine pour son « héroïsme extraordinaire lors d’opérations militaires. »

http://lhistoireenrafale.blogs.lunion.fr/2016/05/06/une-grande-resistante-le-lieutenant-jeannette-guyot-nest-plus/

 

LA LOBOTOMISATION EN MARCHE

NOUS AURONS LA REFORME DU COLLEGE POUR QUE SE POURSUIVE LA LOBOTOMISATION 

Les réactions sont nombreuses et les reproductions de manuels y sont pour beaucoup. Plus inquiétant la classe politique s’accommode de ces inepties.

Les socialistes sont irrécupérables, JUPPE me semble gravement atteint avec son NAJAT Belkacem, BENOIST APPARU :

http://www.lesinrocks.com/2015/08/26/actualite/reforme-de-leducation-alain-juppe-nannonce-pas-de-grands-bouleversements-11769385/

http://www.challenges.fr/politique/20150520.CHA5984/reforme-du-college-juppe-marque-sa-difference-avec-sarkozy.html

http://tempsreel.nouvelobs.com/education/20150826.OBS4740/profs-mieux-payes-autonomie-l-ecole-du-futur-selon-alain-juppe.html

Pour l’Obs JUPPE SERAIT SUR LA LIGNE SOCIALISTE. Benoist APPARU s’est illustré dans le passé par sa détestation des CPGE et par un rapport concocté avec RICHARD DESCOINGS

http://www.fabula.org/actualites/reforme-du-lycee-le-retour-rapports-descoings-apparu-creation-d-un-nouveau-cycle-de-la-premiere-a-_31759.php

La parenté spirituelle ne s’arrête pas là : une solution, le tout numérique dans la lignée du fisco du siècle, la Corrèze

Hormis quelques cas de profs motivés et bien formés (un seul a réussi à supprimer entièrement le papier), « la grande majorité des enseignants, d’une part ne recourt que rarement aux ordinateurs portables, affirmant préférer se servir des postes fixes plus fiables, et d’autre part n’utilise presque pas la tablette numérique, voire, pour certains, la rejettent ». Les inspecteurs de l’Education mettent en cause, pêle-mêle, « la méconnaissance des ressources installées dans les machines, le nombre et la variété limités des ressources du domaine pédagogique, l’insuffisance des formations à l’utilisation pédagogique de l’outil et enfin le changement rapide des matériels » qui oblige les profs, à peine se sont-ils adaptés à un mode de fonctionnement, à tout recommencer sur un autre appareil. Un signe ne trompe pas : les livres et cahiers sont toujours là et du coup, les cartables se sont alourdis du poids des tablettes et ordinateurs. Hors de la classe, mais toujours au sein des établissements (heures de permanence, couloirs, récréations, etc.), l’usage des outils informatiques est très limité, voire interdit, notamment par craintes de dérives (exposition à la pédophilie, risques de harcèlement…). Il a fallu installer des casiers sécurisés dans les établissements pour entreposer le matériel. 

 

Quant à l’utilisation que les élèves font de leurs ordinateurs portables ou de leurs tablettes à la maison, elle n’a souvent pas grand chose à voir avec l’école. Ils les utilisent essentiellement pour télécharger des films, des jeux, de la musique ou pour aller sur les réseaux sociaux, notent les inspecteurs, qui ajoutent qu’ils servent généralement à toute la famille.

http://www.lopinion.fr/blog/carnet-liaison/revolution-numerique-recit-fiasco-correzien-24200

 

Rien que du mal à attendre de cet individu à l’Education Nationale

Reconnaissons le cependant, quand JUPPE était premier ministre il avait une bonne équipe avec BAYROU au ministère . Ce dernier a manifesté son hostilité à la réforme du collège ainsi que son collaborateur d’alors, DUPONT AIGNAN.

« Une offense à ce que le monde de l’éducation a de plus précieux. » Le président du Modem, François Bayrou, a vivement critiqué dimanche la réforme du collège. L’ancien ministre de l’Education reproche à un gouvernement « soi-disant de gauche » d’avoir, par « connivence sociale »,« préservé » à Paris des classes bilangues pourtant « supprimées massivement en province »

http://www.liberation.fr/france/2016/01/31/bayrou-fustige-la-reforme-du-college_1430202

Nicolas Dupont-Aignan, candidat souverainiste à la présidentielle 2017, prône « une école du mérite et de l’effort », dans une lettre aux enseignants transmise ce lundi à l’AFP et appelle ces derniers à « résister passivement » face aux changements auxquels ils devront faire face à la rentrée.

Cette réforme, qui entre en vigueur à la rentrée 2016, est « une catastrophe, elle n’est cependant que le point d’aboutissement prévisible d’un quart de siècle de renoncements successifs des gouvernements PS puis UMP, UMP puis PS, depuis que l’enfant a été mis au centre du système au détriment des apprentissages fondamentaux »

http://www.bfmtv.com/politique/dupont-aignan-veut-une-ecole-du-merite-et-de-l-effort-971208.html

 

FILLON, SARKOZY et LE Maire se sont aussi prononcés contre la réforme du collège mais c’est BRUNO LE MAIRE qui est allé le plus loin en 2015 « Aux yeux du public, il apparaît comme le meneur de l’opposition sur ce dossier. Sa fronde a débuté le 6 mai avec sa lettre-pétition adressée à François Hollande (« 26 000 signataires » dont « 300 parlementaires » aujourd’hui selon lui).

La réforme, écrit l’ancien ministre dans un style incisif, est un « naufrage pour notre nation », « l’histoire retiendra que c’est une majorité de gauche qui propose de couper la langue française de ses racines en réduisant l’enseignement du latin à de simples notions de civilisation », de « rendre facultatif l’enseignement des Lumières au collège », de « fragiliser l’apprentissage de l’allemand », ce dernier point étant perçu par ce germaniste agrégé de lettres comme « une faute politique ».

http://www.lepoint.fr/politique/bruno-le-maire-en-pointe-sur-la-reforme-du-college-la-primaire-dans-son-viseur-21-05-2015-1930012_20.php

MELENCHON de son côté dénonce non sans pertinence le délire maoiste du PS

https://fr.news.yahoo.com/video/r%C3%A9forme-du-coll%C3%A8ge-m%C3%A9lenchon-d%C3%A9nonce-190414738.html

LE PEN manifeste elle aussi clairement son opposition à la réforme

http://www.la-croix.com/Actualite/France/Reforme-des-colleges-catastrophe-pedagogique-selon-Marine-Le-Pen-2015-05-13-1312007

 

Puisse le débat politique porter sur l’éducation …

L’indifférence serait catastrophique , et je laisse un ancien étudiant tirer les leçons qui s’imposent :

Mais au-delà des faits et des constats, prenant du recul, on peut dire sans trop exagérer que le modèle de société qui s’y dessine évoque (ou est proche de) trois modèles : Platon (La République), Huxley (Brave New World), et Orwell (1984).

Premier constat : si l’on suit le fil directeur de la pensée prêtée par Platon à Socrate et Glaucon, l’histoire politique française se superpose assez bien à la succession des régimes politiques ou sociétaux décrits dans la République : Aristocratie, Timocratie, Oligarchie, Démocratie, Tyrannie… Certes, pour l’heure nous en sommes à la Démocratie, et nous n’avons pas connu la Tyrannie, mais mon propos est que nous nous y dirigeons grâce à -ou à cause de- l’éducation telle que décrite dans vos articles. Au-delà des développements de l’article que vous citez, de mon point de vue la compétence s’oppose à la connaissance en ce que la première ne permet pas l’émancipation et l’autonomie que confère la seconde. Plus concrètement, une société de gens compétents est plus surement en proie à la tyrannie qu’une société de gens disposant de connaissances.

Deuxième constat : les grandes tendances de l’éducation dispensée et programmée aujourd’hui m’inspirent une analogie avec la société de castes du Meilleur des Mondes. Une minorité conservera un savoir, la maîtrise des concepts et des idées (castes Alpha & Bêta, élite dirigeante et travailleurs intelligents). C’est l’élitisme à la française, dont l’accès se restreint de plus en plus à une certaine ploutocratie oligarchique. En-dessous, les laborieux qui ne seront utilisés que pour leurs compétences primaires. Pas besoin de développer tant le livre d’Huxley est un exemple « tarte à la crème », mais il est clair que les besoins contemporains en compétences (cf. mon témoignage sur l’évolution des besoins des entreprises) nous pressent de fonctionner comme dans l’utopie cauchemardesque d’Huxley.

Troisième constat : autre analogie avec une dystopie, la société orwellienne qui nous est promise par les dérives de l’éducation des 25 ou 30 dernières années. Là encore, pas besoin de développer : destruction de la langue et de la logique (cf. les réformes & programmes actuels).
Au menu : « L’ignorance, c’est la force », MiniVer et Novlangue…

Secouez le tout, superposez les trois fléaux cités, laissez le train fantôme de l’éducation rouler à tombeau ouvert et sans pilote jusqu’au précipice, et dans quelques lustres, si ce n’est quelques années, nous aurons la catastrophe (la tyrannie ?) à laquelle nous destinent nos responsables politiques quel que soit leur bord.

A moins d’un sursaut ?

 

POUR COMPLETER CETTE ANALYSE

 

DE LA BETISE DES MOUTONS DESINFORMES

 http://www.ifop.com/?option=com_publication&type=poll&id=3347

 

DES EXTRAITS QUI S IMPOSENT

« 1984 » d’Orwell

L’Angsoc, régime de l’Océania, divise le peuple en trois classes sociales :

– le « Parti Intérieur », la classe dirigeante

– le « Parti Extérieur », les travailleurs moyens (les exécutants)

– et les « prolétaires », la sous-classe s’entassant dans les quartiers sales.

 

Ce qui correspond aux 3 grands groupes d’individus qu’on retrouve dans notre société :

« Le monde se divise en trois catégories de gens : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité. »

« Le ministère de la Vérité – Miniver, en nov-langue – frappait par sa différence avec les objets environnants. C’était une gigantesque construction pyramidale de béton d’un blanc éclatant. Elle étageait ses terrasses jusqu’à trois cents mètres de hauteur. De son poste d’observation, Winston pouvait encore déchiffrer sur la façade l’inscription artistique des trois slogans du Parti :

La guerre c’est la paix

La liberté c’est l’esclavage

L’ignorance c’est la force.

 

Le ministère de la Vérité comprenait, disait-on, trois mille pièces au-dessus du niveau du sol, et des ramifications souterraines correspondantes. Disséminées dans tout Londres, il n’y avait que trois autres constructions d’apparence et de dimensions analogues. Elles écrasaient si complètement l’architecture environnante que, du toit du bloc de la Victoire, on pouvait voir les voir toutes les quatre simultanément. C’étaient les locaux des quatre ministères entre lesquels se partageait la totalité de l’appareil gouvernemental.

Le ministère de la Vérité, qui s’occupait des divertissements, de l’information, de l’éducation et des beaux-arts. Le ministère de la Paix, qui s’occupait de la guerre. Le ministère de l’amour qui veillait au respect de la loi et de l’ordre. Le ministère de l’Abondance, qui était responsable des affaires économiques. Leurs noms, en nov-langue, étaient : Miniver, Minipax, Miniamour, Miniplein.

Winston fit brusquement demi-tour. Il avait fixé sur ses traits l’expression de tranquille optimisme qu’il était prudent de montrer quand on était en face du télécran. »

 

« Nous ne cherchons pas le pouvoir en vue de nos propres fins, mais pour le bien de la majorité tel que nous le définissons. Les hommes, ces créatures frêles et lâches, ne peuvent endurer la liberté ni faire face à la vérité. Ils doivent être dirigés par ceux qui sont plus forts qu’eux. L’espèce humaine a le choix entre la liberté et le bonheur, or le bonheur vaut mieux.

Le bien des autres ne nous intéresse pas, nous ne recherchons que le pouvoir, le pur pouvoir. Les nazis et les communistes se rapprochent beaucoup de nous par leurs méthodes, mais ils n’eurent jamais le courage de reconnaître leurs propres motifs. Ils prétendaient s’être emparés du pouvoir pour une période limitée ; passé le point critique, il y aurait un paradis où les hommes seraient libres et égaux. Nous ne sommes pas ainsi, nous savons que jamais personne ne s’empare du pouvoir avec l’intention d’y renoncer. On n’établit pas une dictature pour sauvegarder une révolution. On fait une révolution pour établir une dictature. La persécution a pour objet la persécution. La torture a pour objet la torture. Le pouvoir a pour objet le pouvoir.

L’esclavage c’est la liberté. Seul, libre, l’être humain est toujours vaincu. Mais s’il renonce à son identité, s’il se soumet entièrement et totalement, il se fond dans le pouvoir collectif, il est alors tout-puissant et immortel. »

 

UNE NOUVELLE VISITE DANS LES NOUVEAUX MANUELS DE QUATRIEME

 

Le paisible BERNARD PIVOT se révolte devant tant de bêtise

En français, un sujet illustre l’aberration de toute la réforme. La proposition faite aux élèves consiste à rédiger une lettre de rupture plus élaborée que le SMS dûment rapporté dans le manuel : « Cc c mwa ! Sa va pas depuis samdi ? G 1 truc a te dir jcroi kon devrè fer 1 brek.. bz. » Ridicule et stupide.

« C’est pour dire aux jeunes : ‘On peut aussi dans nos manuels parler comme vous’.

LA SUITE

https://pgibertie.com/2016/05/07/pour-rire-ou-pour-pleurer/


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