L’islam doit se modérer pour être compatible avec les valeurs de la République
par Vox Populi
samedi 6 février 2010
La question parait abrupte au premier abord et beaucoup de politiques et journalistes "bien-pensants", ne cessent de critiquer le simple fait de la soulever.
Mais essayons de pousser la question un peu plus loin :
Premièrement, pourquoi l’islam, s’il n’accepte aucun compromis, serait incompatible avec les valeurs de la république ?
En second lieu, et c’est le point le plus problématique, pourquoi tant de politiques et de journalistes refusent ne serait-ce que de se poser la question alors même qu’ils y apportent sans même sans rendre compte des réponses toute faites ?
Pour développer le premier point, il est utile d’effectuer un travail important : Étudier la source de l’islam : Le coran
Travail que peu des politiques et journalistes semblent avoir réalisés. Ceux-là-même qui nous "vendent" toute cuite l’idée que l’islam est une religion pacifique et qu’il y a une frontière très claire entre islam et islamisme.
Dans ce monde ou l’on pense pour les citoyen, ceux-ci sont rassurés : On leur énonce à longueur de prise de parole que l’islam est une religion intrinsèquement positive et que ce n’est que sa dénaturation par les islamistes qui pose problème.
Seul hic : Quand, en bon citoyen, l’on décide de s’informer par soi-même (et non plus se laisser réquisitionner le cerveau pour se faire vendre du coca-cola) on déchante très vite...
Diatribes anti-juifs, abaissement de la condition féminine, confusion permanente entre combat religieux et combat guerrier font légion.
A ce titre rappelons que ce qui constitue aujourd’hui le coran furent à l’origine des prêches utilisée pour galvaniser les partisans de mahomet dans sa volonté de conquérir la mecque militairement.
Or qu’y a-t-il de plus puissant que la religion pour galvaniser une foule ?
Le contexte gravitant autour de l’islam et les valeurs qu’il porte paraissent donc trop souvent comme violentes et incompatibles avec les valeurs de la République
Cependant ce constat se réduit-il seulement à l’islam ? Sûrement pas, le christianisme a véhiculé par le passé en Europe tout autant de valeurs négatives.
Seulement, on pourrait s’en arrêter là et ne pas voir deux problèmes majeurs et spécifiques premièrement à l’Islam et ensuite à la situation européenne aujourd’hui.
Si le coran, comme la bible, véhicule en son sein des valeurs d’intolérance et de violence il est singulier de noter, que contrairement à cette dernière il n’y va pas par quatre chemin :
Là où la Bible peine à convaincre un païen, tout en relatant de nombreux épisodes violents ou portant un discours incompatibles avec nos valeurs, le coran cherche à convaincre sur absolument tout son énoncé, notamment à convaincre de mener la guerre sainte, à convaincre qu’il faut être intolérant face à un païen, et plus largement à convaincre son public d’adopter des pratiques incompatibles avec nos valeurs.
En un sens l’islam est à la religion ce que le sarkozysme est à la politique : Une religion portant des valeurs de façon totalement décomplexée.
Après, ces valeurs peuvent être considérés ou non en accord avec les valeurs des sociétés qui l’accueillent et c’est là le point sensible du sujet.
Alors que la République a su par le passé se battre contre l’obscurantisme et la volonté de contrôler la société que portait le christianisme elle reste aujourd’hui béate devant l’arrivée de l’islam.
Parce qu’arrivé après la longue lute pour la laïcité, l’islam ne se voit aucunement imposer de compromis ni même de s’adapter à la République.
Plus grave même, alors que l’on peut sans crainte critiquer le christianisme, et cela est sain dans notre système, il est devenu quasi-interdit de critiquer l’islam sous peine d’être perçu comme raciste.
On en est venu au point que ceux se revendiquant de l’héritage du combat en faveur du droit des femmes s’accommodant d’un religion les bafouant.
Sur la lancé du combat contre le racisme, combien de politiques et de journalistes ont tout simplement préféré ne pas ouvrir le débat sur l’islam ?
Ainsi, à part pour effleurer le sujet pour le refermer aussitôt en rabâchant des propos bien-pensants, le sujet reste un tabou.
Mais, n’est-il pas contradictoire de vouloir se battre contre les amalgames et préjugés, comme beaucoup de politiques et journalistes s’en défendent, et à côté de cela d’accepter l’amalgame entre critiquer un système religieux quel qu’il soit et être raciste ?
En réalité, l’Europe se retrouve aujourd’hui devant un dilemme dont les conséquences risques d’être grave si l’on ne l’appréhende pas : Alors que les citoyens commencent à radicaliser leur position par rapport à l’islam, les élites accentuent leur mutisme.
En croyant préserver la société de débats diviseur elles divisent en réalité encore plus la population des élites
Mais essayons de pousser la question un peu plus loin :
Premièrement, pourquoi l’islam, s’il n’accepte aucun compromis, serait incompatible avec les valeurs de la république ?
En second lieu, et c’est le point le plus problématique, pourquoi tant de politiques et de journalistes refusent ne serait-ce que de se poser la question alors même qu’ils y apportent sans même sans rendre compte des réponses toute faites ?
Pour développer le premier point, il est utile d’effectuer un travail important : Étudier la source de l’islam : Le coran
Travail que peu des politiques et journalistes semblent avoir réalisés. Ceux-là-même qui nous "vendent" toute cuite l’idée que l’islam est une religion pacifique et qu’il y a une frontière très claire entre islam et islamisme.
Dans ce monde ou l’on pense pour les citoyen, ceux-ci sont rassurés : On leur énonce à longueur de prise de parole que l’islam est une religion intrinsèquement positive et que ce n’est que sa dénaturation par les islamistes qui pose problème.
Seul hic : Quand, en bon citoyen, l’on décide de s’informer par soi-même (et non plus se laisser réquisitionner le cerveau pour se faire vendre du coca-cola) on déchante très vite...
Diatribes anti-juifs, abaissement de la condition féminine, confusion permanente entre combat religieux et combat guerrier font légion.
A ce titre rappelons que ce qui constitue aujourd’hui le coran furent à l’origine des prêches utilisée pour galvaniser les partisans de mahomet dans sa volonté de conquérir la mecque militairement.
Or qu’y a-t-il de plus puissant que la religion pour galvaniser une foule ?
Le contexte gravitant autour de l’islam et les valeurs qu’il porte paraissent donc trop souvent comme violentes et incompatibles avec les valeurs de la République
Cependant ce constat se réduit-il seulement à l’islam ? Sûrement pas, le christianisme a véhiculé par le passé en Europe tout autant de valeurs négatives.
Seulement, on pourrait s’en arrêter là et ne pas voir deux problèmes majeurs et spécifiques premièrement à l’Islam et ensuite à la situation européenne aujourd’hui.
Si le coran, comme la bible, véhicule en son sein des valeurs d’intolérance et de violence il est singulier de noter, que contrairement à cette dernière il n’y va pas par quatre chemin :
Là où la Bible peine à convaincre un païen, tout en relatant de nombreux épisodes violents ou portant un discours incompatibles avec nos valeurs, le coran cherche à convaincre sur absolument tout son énoncé, notamment à convaincre de mener la guerre sainte, à convaincre qu’il faut être intolérant face à un païen, et plus largement à convaincre son public d’adopter des pratiques incompatibles avec nos valeurs.
En un sens l’islam est à la religion ce que le sarkozysme est à la politique : Une religion portant des valeurs de façon totalement décomplexée.
Après, ces valeurs peuvent être considérés ou non en accord avec les valeurs des sociétés qui l’accueillent et c’est là le point sensible du sujet.
Alors que la République a su par le passé se battre contre l’obscurantisme et la volonté de contrôler la société que portait le christianisme elle reste aujourd’hui béate devant l’arrivée de l’islam.
Parce qu’arrivé après la longue lute pour la laïcité, l’islam ne se voit aucunement imposer de compromis ni même de s’adapter à la République.
Plus grave même, alors que l’on peut sans crainte critiquer le christianisme, et cela est sain dans notre système, il est devenu quasi-interdit de critiquer l’islam sous peine d’être perçu comme raciste.
On en est venu au point que ceux se revendiquant de l’héritage du combat en faveur du droit des femmes s’accommodant d’un religion les bafouant.
Sur la lancé du combat contre le racisme, combien de politiques et de journalistes ont tout simplement préféré ne pas ouvrir le débat sur l’islam ?
Ainsi, à part pour effleurer le sujet pour le refermer aussitôt en rabâchant des propos bien-pensants, le sujet reste un tabou.
Mais, n’est-il pas contradictoire de vouloir se battre contre les amalgames et préjugés, comme beaucoup de politiques et journalistes s’en défendent, et à côté de cela d’accepter l’amalgame entre critiquer un système religieux quel qu’il soit et être raciste ?
En réalité, l’Europe se retrouve aujourd’hui devant un dilemme dont les conséquences risques d’être grave si l’on ne l’appréhende pas : Alors que les citoyens commencent à radicaliser leur position par rapport à l’islam, les élites accentuent leur mutisme.
En croyant préserver la société de débats diviseur elles divisent en réalité encore plus la population des élites