La charia s’invite en Europe…..

 Dans Wuppertal, ville allemande, des jeunes islamistes, radicaux ont constitué « une police de la charia ».

Cette « police » privée, illégale, sillonne la ville afin de repérer ceux et celles qui pourraient boire de l’alcool ou se laisser aller à des jeux d’argent….

Les filles que cette milice rencontre, sont, elles « invitées » à rester chez elles !?

Un quartier de la ville a été ainsi transformé par ces jeunes salafistes en « zone sous contrôle de la charia ».

Les autorités locales ont réagi et le chef de la police a annoncé la couleur :

"L'intimidation et la provocation ne seront pas tolérées"….

Cette constitution d’une milice privée religieuse n’est pas un fait isolé car à Bonn, en Allemagne, un groupe a ainsi essayé d’obliger une jeune femme musulmane à porter le voile….

Un autre groupe a lui, battu un jeune parce qu’il buvait de l’alcool.

A Londres, une police privée de même nature agit pour mettre de l’ordre dans la communauté.

Oui, mais la France est épargnée, affirmeront certains !?

Oh que non …..

Des adhérents de l’association familiale laïque de Melun, qui sont de confession musulmane m’ont informé des nuisances qu’ils subissaient.

Ils ont ainsi été interpellés par des adultes « barbus » les invitant à venir plus souvent à la mosquée et à respecter les préceptes religieux…..

D’autres adhérents, demeurant à Dammarie les Lys, ville de l’agglomération melunaise se sont plaint de subir des visites plus ou moins régulières d’individus voulant les « remettre dans le bon chemin »….

Les familles musulmanes ou de culture musulmane sont les victimes de l’agissement de jeunes radicaux qui n’agissent pas seuls.

Il est nécessaire et même indispensable de rappeler ou d’expliquer la loi républicaine qui est la seule loi légitime…..

Quant aux milices islamistes, si elles se constituent et agissent, elles doivent être poursuivies en justice et dissoutes.

Il n’y a pas de risque d’islamisation en France mais un risque de pression politique islamiste qui remette en cause les libertés démocratiques de certains de nos concitoyens.

Jean-François Chalot