La Suède et l’Italie nous montrent la voie à suivre

par moderatus
lundi 26 septembre 2022

 

En Italie, La MELONI comme l'appellent les italiens a gagné.

 Après la victoire sans précédent d'une alliance de la droite et de l'extrême-droite en Suède, en Italie, le même scénario s'est produit lors des législatives du 25 septembre. Ces deux pays ont eu un réflexe de survie face à l'immigration massive orchestrée par l'union Européenne. Ils ont craint la fin proche de leur identité, de leurs valeurs de leur culture, du vivre ensemble.

Alors comme de nombreux pays, ils ont par instinct de conservation décidé de mettre à la tête du pays des politiques qui ont comme projet prioritaire de protéger leur pays d'une immigration massive et de ses conséquences délétères.

 

 

Cela n'a pas été facile, on a tout fait, comme chez nous pour détourner les italiens de ce vote.

La gauche multiculturaliste a employé toutes les recettes anciennes, agité tous les épouvantails.

Ceux qui suivaient cette voix étaient taxés comme chez nous de xénophobes, de racistes, de sans cœur, de fascistes, comme ose titrer l'Humanité.

Même L’arrogante Ursula Von Der Leyen est montée au créneau contre la démocratie, contre le peuple Italien qui a décidé majoritairement et osait menacer l’Italie de représailles si la coalition des droites arrivait au pouvoir.

Elle menace en effet le pays de sanctions si les Italiens « ne font pas le bon choix » comme elle s'ingénie régulièrement à le faire contre la Pologne et la Hongrie.

Mais ces accusations éculées n'ont pas eu d'effet, les idéologies mondialistes destructeurs de la nation ont perdu, car en réalité les seules motivations de ces populations ce sont l'amour de leur pays et le souci de sa pérennité.

Lentement au fil du temps, ces barrières soit disant républicaines se sont fracassées contre le mur des réalités.

Une insécurité totale, des communautarismes violents, des revendications minoritaires de plus en plus exigeantes, des mœurs et des coutumes qui tentent de s'imposer en remplacement de celles du pays, une intégration devenue impossible. Le seuil de tolérance était atteint.

La diabolisation a donc fait Pschitt !

La droite et l'extrême droite italiennes ont eu l'intelligence de s'unir.

Giorgia Meloni, la candidate 'd'extrême droite', est le symbole "du désarroi" des Italiens.

Son cri du cœur est partagé.

"Ils n'ont pas peur ceux qui rêvent d'une Italie orgueilleuse, qui veulent redevenir fiers de leur nation, de leur peuple, de leur drapeau"

Mais que contient en résumé le programme de Giorgia MELONI

-une Ligne "conservatrice", pour qui les questions de "liberté individuelle, de "famille" et "d'identité nationale" sont centrales.

-Une économie libérale, l'importance de la cellule familiale traditionnelle.

-Protection des frontières contre l'immigration incontrôlée. Giorgia Meloni promet d'arrêter les migrants qui arrivent par dizaines de milliers chaque année sur les côtes italiennes dans des bateaux en provenance d'Afrique du Nord, en imposant des centres de traitement des demandes d'asile en dehors de l'UE.

-Défense de l'identité nationale italienne.

Certains valeurs morales, réintroduisant l'intérêt général et prévalant les revendications individuelles.

-précautions vis à vis de minorités agissantes, comme les LGBT

-Oui à l'identité sexuelle, non à l’idéologie du genre

-Défense des valeurs chrétiennes qui ont fondé notre civilisation

 

Nous en France on n'a pas osé, on a eu droit à une campagne ou la gauche et les macronistes ont ressorti tous les épouvantails du placard, à des droites d'une bêtise insigne qui n'ont pas vu que seule une union pouvait les amener au pouvoir, et un peuple manipulé par une gouvernance par la peur mise en musique par certains médias complaisants.

On est passé à côté de ce qu'osent de plus en plus de peuples Européens et cela va reculer de façon tragique la renaissance de notre nation.

Quand Macron parle de disséminer l'immigration dans nos campagnes et d'y introduire les problèmes des grandes ville, Salvini lui se rebelle et refuse :

"La gauche propose de repeupler nos villages en faisant débarquer toujours plus de migrants. Moi je dis non. Repeuplons-les en permettant à nos garçons de faire plus de fils et en aidant les mamans à devenir des mamans." Ce que voulait Zemmour.

Et il ajoute pour bien marquer la nouvelle politique :

 "Je dis maman et papa, parce que la maman s'appelle maman et pas parent 1, parent 2 ou parent 32..."

Les italiens ont besoin de racines, de valeurs et ceux qui ont gouverné ont passé leur temps à les arracher comme chez nous et dans nombre de pays d’Europe.

Giorgia Meloni prend la tête de la troisième économie de la zone euro.

Son combat premier, la mère de ses batailles empêcher ce qu'elle qualifie de "remplacement ethnique".

Elle vise aussi les mouvements LGBT et Woke et faire comme Orban, relancer la natalité endogène et assouplir quelques règles Européennes.

La suède et l'Italie démontrent que « l’extrême droite » se banalise en Europe et que le cordon sanitaire artificiel est rompu.

D’autres élections s’annoncent disputées dans les prochaines semaines et les prochains mois, en Slovénie, République tchèque, Finlande ou Danemark.

Resterons-nous comme dans tant de domaines aujourd'hui à la traîne ?

Nous subissons le déclassement, l'insécurité, et les problèmes économiques et énergétiques, faute de ne pas prendre les mesures indispensables sur l'immigration, la sécurité et la justice et de prendre des décisions absurdes comme sur le nucléaire.

Macron est devenu le chantre des éoliennes, toujours contre la volonté et le désir des Français.

 

 

En réalité la vraie question et la seule qui donnera la réponse à nos questionnements, les droites en France auront-elles l’intelligence d'oublier leurs querelles d'ego et de boutique de penser en priorité à l'avenir de la France et des français et enfin de s'unir ?

 


Lire l'article complet, et les commentaires