Le gaz carbonique et les lampadaires : une petite parabole à l’usage des simples

par doctorix, complotiste
mardi 9 juillet 2019

 Au début du XXème siècle, on construisit une route de Dunkerque à Perpignan. On y installa un lampadaire tous les cent mètres. Par une merveilleuse bizarrerie de la nature, il suffit d'en allumer 3 (sur mille kilomètres) pour voir s'installer sur cinquante mètres de part et d'autre de cette route une magnifique verdure, des arbres à foison, des plantes et des espèces végétales comestibles. Sans ces trois lampadaires allumés, il n'y aurait eu aucune végétation.

Pas d'animaux ni de fleurs ni d'insectes. Pas d'humains, évidemment. Une sorte de miracle inespéré offert par la Nature. D'ailleurs, au-delà de 51 mètres de part et d'autre de cette route, il n'y avait plus rien que du désert et l'absence de toute vie. C'est alors que vers la fin du XXème siècle, on eut l'idée d'allumer un quatrième réverbère.

La végétation s'en trouva encore renforcée de 20%.

Mais un groupement d'illuminés, profitant d'un réchauffement modeste (qui se produisait d'ailleurs depuis le XVIIIème siècle et qui s'était déjà produit au Moyen âge) décréta que l'allumage de ce quatrième réverbère provoquait des catastrophes épouvantables pour la planète, une insupportable pollution lumineuse qui allait détruire toute vie sur terre.

On suppose que ce mouvement fut fortement appuyé par des groupes obscurs mais puissants qui avaient en tête bien d'autres intérêts que la santé de la terre et de ses habitants.

On décida donc de punir l'humanité toute entière, forcément coupable par nature, par une amende de 89.000 milliards de dollars si elle n'éteignait pas ce lampadaire criminel.

On mena des campagnes insensées pour culpabiliser tout le monde, et le plus extraordinaire est qu'au travers de calculs sophistiqués dont on pouvait manipuler les données à volonté (et on ne s'en priva pas), on réussit à convaincre l'humanité toute entière, malgré l'absurdité de la chose.

Personne ne se posa la question de savoir si, selon le simple bon sens, ce quatrième lampadaire perdu sur 1000 kilomètres pouvait avoir la moindre influence : tout le monde marcha dans la combine.

 

J'ai conçu cette petite parabole sans prétention pour essayer de convaincre mes frères en humanité de l'absurdité du mythe quasi religieux auquel ce siècle débile réussit à nous faire adhérer.

Les chiffres et les comparaisons sont rigoureusement conformes à la réalité et vérifiables. Il s'agit bien d'1/10.000, la proportion de CO2 dans l'air qui a changé au cours du XXème siècle (puisque c'est de cela qu'il s'agit, vous l'aurez compris).

C'est ce fameux lampadaire supplémentaire allumé quelque part sur la route de Dunkerque à Perpignan.

J'ajouterai pour être complet que la centrale électrique qui fournit l'électricité à ces quatre lampadaires est à son maximum de puissance, et que si on allumait dix ou même vingt lampadaires supplémentaires, il n'y aurait pas davantage de lumière produite.

En effet, la bande d'absorption d'énergie par le CO2 est très étroite, et elle est déjà saturée par le CO2 présent : son augmentation ne pourrait donc rien changer.

 

Voilà ce qui se produit quand une poignée de milliardaires possède tous les media et manipule l'humanité à volonté.

 

Voilà ce qui se passe quand des journalistes obéissent au lieu de remplir leur rôle de phare.

Voilà ce qui se passe quand on élit des députés crétins, tous dans la surenchère électoraliste sur des sujets dont ils ne connaissent rien, et un président bidon.

 

Voilà ce qui se passe quand on parvient à décérébrer toute une humanité, la privant de toute capacité de réfléchir avec son simple bon sens.

 

Nous vivons dans un siècle où le mensonge et la bêtise ont pris le pouvoir.

 

Pourrons-nous en sortir un jour ?

 

J'en doute.


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