Le H1N1 : Allez donc tousser sur vos élus !

par Gaëtan Pelletier
jeudi 13 août 2009

Mon site qui avait d’abord pour but d’être littéraire s’est transformé en un site d’activiste, picoté de « complotismes », par la force des choses.
 
La semaine dernière je recevais une lettre personnelle d’une française qui disait qu’en France on ne pouvait pas parler trop de ses réticences pour la vaccination.
En voici un extrait :
 
Aussi je fais partie des personnes qui militent contre toutes les vaccinations et je ne le fais pas dans mon pays puisque je risquerais des représailles sévères . Il est en effet dit couramment par les ministres de la santé que toute personne faisant de la propagande contre les vaccins risque des poursuites pour soi disant non assistance à personne en danger, bien sur. Je risque d’être accusée de décourager les gens à se vacciner, je représente donc un danger public en matière de santé publique. ( ça, c’est à condition que l’on parte du présupposé que les vaccins ont éradiqué des épidémies alors que c’est précisément l’opposé qui est vrai ! )
 
Je ne vous citerez pas le reste puisque les attaques ont été telles contre cette « activiste » que ça dépasse certaines scènes de films de science-fiction : des détails et des faits à vous donner des frissons…
 
Le climat au Canada
 
Le 15 juillet j’étais frappé par un virus qui m’a cloué au lit pendant des jours et a sabordé mon été. Court, l’été au Québec…
 
Inquiet, je me résigne à consulter un « professionnel de la santé » qui me donne rendez-vous à 7h00 le matin.
 
Devant mes « symptômes », il a l’air de paniquer et veut m’envoyer immédiatement à l’hôpital pour la panoplie que l’on connaît. J’ai fait comme Jésus, j’ai donné mon urine, mon sang, et quelques images rappelant le Saint Suaire…
 
Connaissant les réactions vives et les douleurs, je suis en mesure de penser que j’ai 99% des chances d’avoir attrapé cette saleté de trio-virusal qui me donne du fil à retordre.
 
Alors, je me lance dans la recherche aux fins de connaître les « mesures » du gouvernement du Kanada pour cette pandémie.  On y a répertorié des cas si anodins, que l’on se demande pourquoi le gouvernement canadien a entreposé du Tumaflu et se prépare aux vaccins pour l’automne, 50 millions de doses.
 
 Sauf que les chiffres, pour les « victimes » ne semblent pas tout à fait véridiques : les hôpitaux ne prennent pas trop le temps de vérifier la souche de votre « grippe » et renvoient le patient chez lui.
 
Quoi faire ?
 
Lavez-vous les mains et toussez dans votre coude.
 
En français dans le texte. (sic)
 
L’information « officielle »
 
D’habitude, les médias sont là pour vous informer. Or, on en parle très peu. C’est la hache… On est tiède comme une eau de pluie par un beau soir d’été. Quant à dénicher de ces professionnels de la santé qui œuvrent dans les hôpitaux pour avoir l’heure juste, pas moyen… Ils ont dû se faire coudre la bouche par ces chirurgiens de la finance et du « contrôle » de l’information. Au compte-gouttes, comme ces petites solutions salines qu’on glisse dans vos veines pour éviter la déshydratation…
 
Dans les blogues dits « officiels » on ouvre un peu les valves…
 
Marie Claire Lortie, dans La Presse, cite le cas d’Oscar Arias, président du Costa Rica, atteint du virus. Elle s’inquiète également de ce « camouflage » étrange.
 
 On devrait lancer un mouvement de divulgation publique de ce type pour désamorcer la panique autour de cette maladie. Il pourrait y avoir un manifeste : “J’ai eu le H1N1″ ou (au Québec ce serait plutôt “je suis pas mal certaine que j’ai eu le H1N1 mais je n’ai pas été testée parce que on ne teste plus”), un peu comme les féministes françaises l’ont fait dans les années 70 pour l’avortement en demandant à des personnalités publiques de dire “J’ai avorté”, idée reprise récemment par le mouvement pro-euthanasie avec une déclaration publique de personnalités médicales françaises “Nous les avons aidés à mourir…
 
La véritable pandémie
 
« J’irai cracher sur vos tombes » Boris Vian
 
Ce n’est pas une mauvaise idée, car en parcourant les dernières 50 années d’Histoire, on constate que le pire virus de la planète est cette espèce qui se perpétue en élito-cratisme : le politicien et le financier. Copain-copain.
 
Ces crétins sur échasses, grand amateurs de points G, sont en train de nous duper. Si j’étais Zola, je les accuserais d’eugénisme de crime contre l’humanité. Les zélus nous prennent pour des cons. S’il y avait des guillotines à vendre sur Ebay, je pense que le vendeur ferait fortune. Car il est bien des têtes qui devraient tomber, sinon nous allons droit à la catastrophe planétaire. D’ailleurs, c’est à se demander si ce n’est pas là leur but.
 
Qu’ils commencent par se vacciner entre eux, à avaler des doses de Tamiflu, car les Thomas commencent à se multiplier dans les sociétés dites avancées. Avancées de quoi ? À se demander si notre démocratie n’est pas un vernis qui cache sous le plancher une termitière de ces homo-cravatus arrogants qui dînent à nos frais.
 
Ils ont les moyens, eux, de dépraver des copier-coller de leurs « grands projets » mondiaux. La vanité est un miroir à deux faces que l’on peut acheter aisément.
 
La souche
 
Des études génétiques ont démontré que le virus aviaire (H5N1) présentait des similitudes quasiment identiques avec le virus de la grippe espagnole qui tua entre 30 et 100 millions de personnes dans le monde, selon les différentes estimations. C’est plutôt inquiétant dans la perspective où il a été admis en 2005 que des scientifiques essayaient intentionnellement de recréer le virus de la grippe espagnole de 1918. Ce virus avait complètement disparu de la face de la planète… jusqu’à ce que ces scientifiques le ressuscite.
 
Parlant de cette grippe espagnole, elle porte un nom trompeur puisque la vraie source d’origine ne fut pas l’Espagne, mais bien Fort Riley, une base militaire américaine du Kansas.
 
Mais les prédictions pandémie de grippe aviaire ne se réalisèrent pas parce que ce virus n’est pas vraiment contagieux. Le virus H5N1 avait besoin d’être mélangé à d’autres virus d’influenza plus contagieux, comme celui de la grippe porcine (utilisé comme arme biologique par la CIA contre Cuba en 1971), pour devenir le vrai tueur en série. Et comme par magie, le voilà ! François Marginean, Les 7 du Québec
 
Mise au point
 
Je n’ai rien à vendre, je ne suis pas un maniaque du « complotisme », et j’aimerais davantage écrire de la poésie et de la musique.
 
Disons simplement que j’ai un ras-le-bol de voir les citoyens qui aspirent à vivre sur cette planète une vie simple avec tous les droits d’humains égaux livrés à une bande de barbares qui ont un cerveau mais pas d’âme.
 
Ces robots qui sont toujours à comploter pour nous anesthésier, amateurs de queue-de-pie, ne méritent pas notre support ni notre empathie. Eux, n’en ont pas
Alors, il ne nous reste plus, à nous citoyens du petit x des votes, à aller tousser sur eux pour rendre un brin tout le venin qu’ils nous injectent chaque jour dans leur parade de « grands » de ce monde.
 
Si, après, on pouvait aller cracher sur leur tombe, l’Humanité en sortirait un peu plus forte et probablement plus en santé.
 
As-tu du cœur ?
 
Le vieux Rodrigue avait bien raison… Nous devrions peut-être délaisser notre hyper-cérébralisation pour réajuster notre mode de pensée « one-track-mind » à la réalité de nos êtres.

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