Le MJS compare honteusement Nicolas Sarkozy à Adolf Hitler et ceux qui le soutiennent aux nazis
par Sebastien Bordmann
jeudi 24 février 2011
Ah ben ça y est ! Les jeunes du Parti socialiste (MJS) sortent du bois ! On ne les avait pas entendus depuis un certain temps… Ils sont hélas absents notamment du monde estudiantin. Lorsqu’il s’agit de faire des propositions, c’est à chaque fois la même ritournelle… Ils demandent plus de moyen ! Mais aujourd’hui… Nous y sommes ! Il est venu le temps des présidentielles, ce temps où tous les coups sont permis (et provenant des jeunes du parti socialiste, ce sera la course aux coups les plus honteux).
Aujourd’hui, c'est le MJS qui gagne la palme en publiant une affiche qui détourne une photo dans l'unique but d'assimiler le Président de la République Nicolas Sarkozy à Adolf Hitler.
Jean-François Copé a d'ailleurs dénoncé "cette dérive malsaine et dangereuse qui consiste constamment à faire l'amalgame entre les propositions de l'UMP, celles des élus de la majorité, du Président de la République et le pétainisme ou le nazisme".
En procédant de la sorte, ces insultes répétées des jeunes du MJS veulent omettre le débat démocratique et républicain dans notre pays. Pis encore, ils insultent les familles des victimes de la barbarie nazie… Jusqu’où iront-ils ?
L'insinuation est scandaleuse... tout comme les non-propositions du PS
Plutôt que de débattre, de soumettre des idées, les jeunes du PS (MJS) préfèrent insinuer, et parfois (lorsqu’ils ne sont pas en vacances) manifester. Il nous faut dès maintenant leur dire avec force que ces amalgames scandaleux ne nous feront pas perdre la face. Nous attendons d'eux qu'ils proposent, débattent, et non qu'ils persistent à commettre des torchons d'insinuations nauséabonds. Peu de propositions, des actes d'incivilités, des comparaisons indignes et outrageantes. Et si on en venait au fait : quelles propositions sont issues des entrailles du parti socialiste ?
Citoyen français, nous nous devons d’approuver l'appel à tous les républicains, de droite comme de gauche, à faire part de leur indignation face à ces méthodes déshonorantes pour celles et ceux qui les emploient.