Le volume total des salaires a diminué en France en 2009
par christian
mercredi 17 mars 2010
Le volume total des salaires a diminué en France en 2009, une première depuis 60 ans :
Il s’agit donc d’une contraction inédite depuis la Libération, qui explique largement le creusement sans précédent du déficit du régime général (salariés) de la Sécurité sociale. La masse salariale du secteur privé est en effet sa principale source de recettes, et l’on estime qu’un point de pourcentage de baisse équivaut pour elle à deux milliards d’euros perdus. Les dernières prévisions officielles tablent sur un « trou » de la Sécu de 23,5 milliards d’euros pour 2009.
Les résultats 2009 des banques et assureurs français
Les résultats 2009 des banques et assureurs français
Banques à réseaux
CIC repasse dans le vert grâce au rebond des marchés
Bénéficiant, comme ses concurrents, du rebond des marchés, le groupe CIC, filiale de la Banque Fédérative du Crédit Mutuel, est repassé nettement dans le vert en 2009, avec un résultat net de 838 millions d’euros, multiplié par quatre par rapport à 2008.
Crédit Agricole SA : bénéfice sans surprise, en hausse de 9,9%
« Les résultats de 2009 sont bons. » Dans un communiqué, René Carron, président de CASA, a fait part de sa satisfaction face aux quelques 1,125 milliard d’euros de bénéfices engrangés en 2009 par sa banque. Le chiffre, conforme aux attentes du marché, représente une hausse de 9,9% par rapport à 2008. Le PNB de la banque s’élève à 17,94 milliards d’euros, en hausse de12,4%.
BPCE : des résultats solides grâce à la banque commerciale et à l’assurance
BPCE, né en août dernier du rapprochement des groupes Caisse d’Epargne et Banque Populaire, affiche pour 2009 un bénéfice net de 537 millions d’euros, grâce à un net regain au second semestre. Son PNB culmine à 21 milliards d’euros, en hausse de 9% par rapport à 2008,
Banques à réseaux
CIC repasse dans le vert grâce au rebond des marchés
Bénéficiant, comme ses concurrents, du rebond des marchés, le groupe CIC, filiale de la Banque Fédérative du Crédit Mutuel, est repassé nettement dans le vert en 2009, avec un résultat net de 838 millions d’euros, multiplié par quatre par rapport à 2008.
Crédit Agricole SA : bénéfice sans surprise, en hausse de 9,9%
« Les résultats de 2009 sont bons. » Dans un communiqué, René Carron, président de CASA, a fait part de sa satisfaction face aux quelques 1,125 milliard d’euros de bénéfices engrangés en 2009 par sa banque. Le chiffre, conforme aux attentes du marché, représente une hausse de 9,9% par rapport à 2008. Le PNB de la banque s’élève à 17,94 milliards d’euros, en hausse de12,4%.
BPCE : des résultats solides grâce à la banque commerciale et à l’assurance
BPCE, né en août dernier du rapprochement des groupes Caisse d’Epargne et Banque Populaire, affiche pour 2009 un bénéfice net de 537 millions d’euros, grâce à un net regain au second semestre. Son PNB culmine à 21 milliards d’euros, en hausse de 9% par rapport à 2008,
BNP Paribas : un bénéfice presque doublé
Le résultat net du groupe BNP Paribas a fortement rebondi en 2009, en hausse de 93% à 5.832 millions d’euros , porté par les bons résultats de la banque de financement et d’investissement.
HSBC France : résultat en progression
La filiale française de HSBC, première banque européenne, a enregistré en 2009 un résultat avant impôts de 548 millions d’euros, en progression de 82%
Assureurs :
Axa : 3,6 milliards d’euros de bénéfice
Avec un bénéfice net de 3,6 milliards d’euros, la compagnie d’assurances a multiplié ses profits par quatre en 2009. Un très bon résultat, supérieur aux attentes des analystes. Son chiffre d’affaires est cependant en recul de 3%, à 90,1 milliards d’euros.
Axa : 3,6 milliards d’euros de bénéfice
Avec un bénéfice net de 3,6 milliards d’euros, la compagnie d’assurances a multiplié ses profits par quatre en 2009. Un très bon résultat, supérieur aux attentes des analystes. Son chiffre d’affaires est cependant en recul de 3%, à 90,1 milliards d’euros.
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Deux informations à l’opposée l’une de l’autre, mais dont la première découle directement de la deuxième.
Cherchez l’erreur serait-on tenté de dire !
En fait il n’y a pas d’erreur, simplement un constat réel, mais cruel pour les salariés :
L’économie financière est repartie, grâce à la fabuleuse dette des états,
l’économie réelle est toujours engluée par l’actionnariat financier qui exige, plus que jamais, sa dîme (rentabilité, accroissement de productivité) , au détriment des salariés devenus la variable d’ajustement planétaire de l’entreprise mondialisée.
La gouvernance des états est, elle aussi, plus que jamais dictée, par les "lois de la finance".
La "démocratie" a désormais abandonnée, l’Europe en premier, son "carburant essentiel" le financement des projets sociaux et économiques, entre les mains de banquiers privés qui refusent et réfutent toute réglementation et contrôle de leur pouvoir réel.
Le résultat c’est un "totalitarisme" économique, doublé d’un "esclavagisme économique", au seul service du profit financier, sans autre finalité sociale que celui-ci, car la finance mondiale déconnectée depuis plus de 30 ans, des pouvoirs politiques, ne peut avoir d’autre objectif que le profit financier. (personne ne lui en a affecté un autre, et ne peut aujourd’hui le faire, contrairement à ce que voudrait nous faire croire Sarkosy)
Petit rappel les "Banquiers du Monde", chacun devrait le savoir après le début de la Crise financière de 2008, sont "Anglo-saxons" et surtout Etats-Uniens.
A votre avis pendant combien de semaines ou de mois la marmite financière mondiale va-t-elle encore bouillir avant la désintégration (politique, sociale, économique, militaire ) ?