Les changements climatiques et leurs conséquences, subterfuge idéologique

par jca
samedi 20 décembre 2014

Les changements climatiques annoncés et leurs conséquences anticipées aboutissent à la publication de prévisions apocalyptiques et, malheureusement à des décisions manifestement irraisonnées et dangereuses. Les données scientiques contredisent ces affirmations dont l'origine laisse perplexe.

Les changements climatiques et leurs conséquences, subterfuge idéologique

Tous les media, les politiciens, répercutent à loisir les annonces et prévisions apocalyptiques rapportées, notamment, par le GIEC. Il existe de nombreux sites internet qui publient des données expérimentales ; la qualité des auteurs permet de faire un tri quant au degré de confiance et à la crédibilité des informations données. Pour ma part, je fais entière confiance à celles rapportées par Jacques Duran, ancien directeur de recherche au CNRS, ex directeur des Etudes à l'Ecole Nationale de Chimie et de Physique de Paris sous la direction de Pierre-Gilles de Gennes, et ancien Vice Président de l'Université P. et M. Curie, en charge de la recherche :

http://www.pensee-unique.fr/news.html

Jacques Duran tient à jour les données les plus pertinentes en rapport avec les phénomènes climatiques et je vous convie à les considérer pour alimenter votre réflexion et ... celle de vos lecteurs.

Il est fait référence aux changements de la température moyenne de la planète, en augmentation continue, laissant présager le pire dans un futur proche. Que disent les mesures produites par les quatre laboratoires de référence mondiaux dans le domaine ? La température moyenne de la planète n'a pas varié depuis 1998, c'est-à-dire depuis 16 ans. La durée d'observation pouvait laisser un doute quant à cette stabilisation ; ce n'est plus le cas dorénavant. Le plateau, unanimement reconnu, y compris, avec mauvaise grâce, par des scientifiques du GIEC, soulève une grave question puisque, sur la même période, les modèles prévoyaient une augmentation significative.

Il s'agit donc de s'interroger sur la publication d'informations tronquées, voire fausses, en contradiction formelle avec la réalité des observations, d'une part, et sur la dissimulation des insuffisances des modèles climatiques servant de références, d'autre part.

La seconde question soulevée traite de l'origine entropique du réchauffement climatique, attribué essentiellement aux émissions de gaz à effet de serre, notamment de CO2 . Celles-ci ont considérablement augmenté depuis 1998 ! La corrélation prétendument observée entre températures et concentrations en CO2 est inexistante. D'ailleurs, dans des temps déjà très reculés, la concentration de CO2 a été beaucoup plus élevée qu'actuellement alors que la température sur la planète était beaucoup plus basse. Il paraît, pour le moins, légitime de s'interroger sur le rôle réel du CO2 , notamment avant que ne se déclenche une campagne dispendieuse et très pénalisante sur le plan économique de réduction de ces émissions.

 Et pourtant, "les glaces du pôle fondent à vue d'œil" [1]. Toutes les données collectées par J.Duran convergent : "Dans l'arctique, l'extension de la surface glacée de cette année est supérieure à celle des années 2007, 2008, 2010, 2011, 2012, 2013. Bien que l'extension minimale de la glace arctique soit, en 2014 assez proche de celle observée en 2013, son volume et donc, son épaisseur, a sensiblement augmenté en 2014. Quant à la banquise antarctique, elle a battu, cette année encore, le record absolu d'extension depuis le début des mesures répertoriées. Au cours des deux dernières années, 2013 et 2014, l'extension des surfaces glacées du globe a rejoint ou est repassée au dessus de la "normale, c'est à dire au dessus de la moyenne des années 1979-2008".

Et pourtant, "la violence et la fréquence des phénomènes climatiques extrêmes augmentent". Plus encore, le "niveau des océans monte implacablement" justifiant des prévisions très alarmistes sur le sort de nombreuses populations d'ici la fin du siècle.

Les données collectées sur le site de Jacques Duran montrent combien ces affirmations sont en décalage avec la réalité objective ; il est impossible de mettre en évidence des modifications des phénomènes atypiques. Curieusement, ces conclusions sont celles qui figurent in extenso dans le (gros) rapport scientifique du GIEC, expurgées dans le rapport de synthèse ! Quant à la montée des eaux, elle ralentit distinctement depuis quelques années, suivant la stabilisation des températures, avec un certain retard compte tenu de la capacité calorique de l'eau.

Aucun des paramètres significatifs, observables et mesurables, ne présente un caractère majeur d'inquiétude !

D'où provient donc ce déchainement de publications, de déclarations annonçant des perspectives apocalyptiques ? On peut remarquer que la France est très en pointe dans ce domaine, les autres nations restant beaucoup plus modérées dans leurs évaluations, ce qui explique, pour partie, les échecs répétés des conférences internationales sur le climat, la dernière en date venant de se tenir à Lima. La moindre préoccupation voudrait que les arguments soient correctement évalués ; c'est loin d'être le cas et la question reste posée des motivations sous jacentes. Ces dernières ne sont-elles pas essentiellement politiques[2], voire idéologiques, notamment dans notre pays, fer de lance de la campagne sur la transition énergétique (alors même que le comportement de la France au regard des émissions des GES est fort vertueux !) ? Quant on considère l'implication majeure de grands et puissants groupements internationaux prétendument écologiques, il est légitime de se poser beaucoup de questions quant à leurs véritables visées. Par essence, il s'agit d'une démarche de type trotskyste : " Il faut savoir user de tous les stratagèmes, user de ruse, adopter des procédés illégaux, se taire parfois, parfois voiler la vérité, à seule fin d’entrer dans les syndicats, tout groupe, association ou parti qui paraît capable d’entraîner les masses, de les " mobiliser ".

A défaut d'agir ouvertement, le prétexte des changements climatiques est porteur et mobilisateur. Et l'endoctrinement fonctionne ! Les aspects scientifiques n'ont plus cours !

Ces questionnements à propos de la "transition énergétique" ne doivent évidemment pas obérer les réflexions au sujet de la préservation des ressources sur la planète, de la surveillance de la qualité de l'environnement, des évolutions des comportements individuels et collectifs.

La déontologie du journaliste devrait imposer de présenter les données objectives et contradictoires des grands problèmes de société de notre monde ; ce ne me semble pas être le cas. Lorsque l'on voit les difficultés rencontrées par des personnalités scientifiques, ou para scientifiques, ayant eu l'audace de susciter la réflexion contraire aux "vents dominants", on peut légitimement s'interroger sur le rôle et le pouvoir des média. 

 

[1] Pour en convaincre les lecteurs, la presse reproduit une magnifique photo d'un ours en perdition sur un bout de banquise ... dont il a été prouvé qu'il s'agit d'un montage informatique !

[2] Combien de scientifiques ont participé à la récente conférence de Lima ? La délégation française était dirigée par le ... ministre des Affaires Etrangères. Le GIEC est notoirement sous la coupe de politiciens.


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