Lettre ouverte à mes amis et ma famille concernant la vaccination contre la COVID-19

par Jacques Pollini
mardi 13 juillet 2021

Quelques mois sont passés depuis mon dernier post sur la COVID-19. Je me suis recentré sur d'autres sujets et considère que nombreux sont les spécialistes prenant la parole sur le sujet, donc je n'avais pas vraiment grand chose à ajouter. Toutefois, j'ai maintenu une communication avec famille et amis pour partager mes questionnements et observations. Ci-dessous la dernière lettre que j'ai fait circuler au sein de mon réseau personnel. Suite à la déclaration de guerre de Macron face aux non-vaccinés, démarche irresponsable qui va ouvrir de nouvelles fractures sociales, j'ai pensé bon de partager ce texte. J'espère qu'il inspirera les lecteurs à faire de même et à partager leurs critiques avec leurs proches. Les algorithmes censurent, mais les courriels sont encore un moyen d'expression qui fonctionne. Bon courage à tous et tenez bon malgré le chantage à la vaccination.

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Je vous en conjure ! (English version below)

Je vous écris cette lettre sur la COVID-19 car cette histoire n'est pas finie ! Je l'ai rédigée avant le discours de Macron, qui ne fait qu'augmenter la nécessité de la partager, et elle s'ajoute aux autres, pour ceux qui étaient déjà dans mes destinataires (NB : dites-moi si vous ne voulez plus rien recevoir). Des mutants apparaissent, de nouvelles vagues se préparent, et on continuera de parler des traitements et des vaccins COVID-19, avec des 3eme, 4eme injections, etc... Ce débat continuera, sur fonds de censure et campagnes anti-sciences (BMJ 2020), d'auditions publiques inévitablement politisées, avec des biais croissants du fait des actions en justice en cours ou en préparation, en France, en Inde et au niveau international.

Je vous ai inclus dans mes destinataires tout simplement parce que je vous aime, ou ai de l'amitié ou de la sympathie pour vous, et mon devoir est de toucher le plus de gens possible. Si vous avez aussi de la sympathie ou de l'amour pour moi, ou tout simplement de l'estime, faites s'il vous plaît l'effort de lire ce texte la tête froide. Je sais d'avance que cela va provoquer irritation et jugement à mon encontre, au détriment des mes relations sociales et professionnelles, et du stress pour certains d'entre vous, mais cela ne compte pas face aux enjeux. Je suis désolé de provoquer ce sentiment d'irritation mais ce n'est pas mon intention. Certains vont dire que je suis têtu, obsédé, que je rumine en boucle, que je veux satisfaire mon ego. Rien de tout cela. Je me soucie de vous tous et me sens coupable, ne peux dormir correctement face à ce sentiment d'échec et d'impuissance à vous faire percevoir un danger très grave. Je ne demande qu'à voir les faits et publications scientifiques qui me feraient changer d'avis. J'ai passé ma vie à apprendre, à être ouvert aux idées des autres, et à changer d'avis car je les écoute. Mais les publications qui s'opposeraient à ce qu'une communauté croissante de chercheurs dit et pense sur cette maladie, contre la doxa gouvernementale et les politiques qui en découlent, n'existent pratiquement pas. Montrez moi simplement que je me trompe. Envoyez-moi des publications qui réfutent les arguments exposés ici. Mais pas des avis d'experts ou de journalistes ne s'appuyant sur aucune donnée. Inutile aussi de parler de ma psychologie ou de celle des autres contestataires, en tout cas pour l'instant. Car avant d'expliquer pourquoi et comment je suis biaisé, ce qui est tout à fait légitime si c'est le cas, vous devez d'abord établir que ce que je dis est faux.

Certains d'entre vous connaissent déjà certains de mes arguments mais je vais les répéter en m'appuyant sur des publications récentes. Le premier, qui est la base de tout, et que je vous demande de réfuter si vous le pouvez, car alors tout mon raisonnement s'effondrerait et le stress que je provoque sur vous tous et sur moi même disparaîtrait, c'est que la COVID-19 se traite, à condition de soigner précocement, moins de 5 jours après l'apparition des symptômes. J'ai déjà partagé la liste des publications qui montrent cela (https://c19early.com/) mais lisez au moins les méta-analyses portant sur l'efficacité de l'ivermectine, par Kory et al (2021)Hill (2021), et Bryant et al (2021), et cette parution récente (Cadegiani et al 2021), à propos du « protocole Raoult » de l'IHU de Marseille et d'autres traitements utilisant l'antibiotique azithromycine. Elle confirme ce que l'on sait depuis plus d'un an. Si on traite la COVID-19 dès l'apparition des symptômes, on ne va pas à l'hôpital et on ne meurt pas, sauf si on est très âgé et/ou qu'on a des comorbidités. Et on développe rarement les symptômes dit “COVID long”. La COVID devient alors une maladie bénigne, pas plus grave qu'une grippe. Cela n'est pas une négation de l'existence de victimes. C'est simplement la reconnaissance que les victimes s'expliquent par le fait que la maladie est nouvelle et qu'on a empêché les médecins de faire leur travail en essayant diverses approches pour la traiter, sur la base de leurs connaissance médicales et des recherches préliminaires réalisées en Chine dès février 2020 (Chen et al 2020Gao et al 2020), puis en France et partout dans le monde. Ce que je dis ici n'est pas mon opinion. Il s'agit de faits énoncés par les scientifiques et les médecins qui ont traité des patients COVID en ambulatoire, que chacun peut tenter de réfuter, et que personne n'a pourtant réfutés. Ce que l'on observe depuis plus d'un an, dans les médias et au sein des comités d'experts, c'est le déni de ces faits (Pollini 2020). C'est une inquisition qui cloue au pilori, sans référence crédible, les médecins et chercheurs qui avancent ces conclusions. Les études qui soit-disant réfutent ces faits sont réalisées sur des patients hospitalisés et ayant des symptômes COVID depuis plus de 5 jours, ce qui les rend hors sujet s'il s'agit d'évaluer les traitements précoces, ou sur des effectif réduits de patients jeunes et en bonne santé, ce qui les rend inaptes à détecter un effet significatif, sauf quand on les agrège en faisant des méta-analyses. Garcia-Albéniz et al (2020) et Ladapo et al (2020) ont fait de telles méta-analyses, montrant ainsi des effets positifs significatifs à partir d'études concluant qu'il n'y a pas d'effet. On observe également des fraudes, au moins dans le cas de l'article de Mehra et al (2020) publié par The Lancet. Vous pouvez vérifier tout cela par vous même, en lisant les articles plutôt que les écrits de ceux qui les invoquent pour justifier leur vision ou leur agenda.

Le deuxième point, c'est que dès lors que l'on reconnaît que la COVID-19 se traite, le confinement et la vaccination généralisée deviennent inutiles sans ambiguïté. Il suffirait de confiner, voire de vacciner, les gens vulnérables, ceux qui décèdent malgré les traitements précoces, parce qu'ils sont âgés et fragiles ou ont des comorbidités, et les autres pourraient continuer leurs occupations, permettant à l'économie de fonctionner et à l'immunité de groupe de se former. C'est ce qu'ont déclaré les scientifiques signataires de la déclaration de Barrington. On pourrait aussi se lancer dans une réflexion sur les causes des comorbidités et voir que les causes des décès sont des maladie chroniques s'expliquant par la dégradation de notre hygiène de vie, du fait d'une mauvaise alimentation et du manque d'exercice, voire du fait des pollutions, comme l'affirme le généticien Christian Vélot. Les grandes épidémies dans l'histoire ont généralement eu lieu pendant des périodes où la population était faible, du fait d'une alimentation pauvre (Mazoyer et Roudart 1996). Nous avons toujours fait face à des pandémies causées par de nouveaux virus ou variants, en 1889191819571968. Si nous sommes plus vulnérables face à la COVID-19, la cause pourrait être le manque d'exercice, la mauvaise alimentation, voire la déprime et l'isolement pour ceux qui ont une vie sociale réduite. Le confinement, en plus d'avoir une efficacité probablement très faible pour réduire l'épidémie (Bendavid et al 2021), ne fait qu'accentuer cette dégradation de l'hygiène de vie, tandis que le vaccin ne résoudra pas le problème, car il continuera d'y avoir des virus et des gens vulnérables. Nous avons été conditionnés à ne pas pouvoir envisager cette réalité. Nous sommes maintenant en droit de nous demander d'où vient ce conditionnement. Pourquoi le seul point de vue accepté, exprimé dans les médias et par les experts, c'est que la seule solution face à la COVID-19, c'est la vaccination de masse, alors que cette approche est contestée par des experts ou collectifs de médecins aux USA (voir aussi Seneff et Nigh 2021), CanadaRoyaume Uni, en France, en Allemagne ou au Japon ?

Le troisième point, évoqué dans plusieurs des sources ci-dessus et qui m'a forcé à écrire ces lignes, c'est que le vaccin est toxique. L'élément, ou un des éléments toxiques dans la COVID-19, est la protéine spike, qui attaque les vaisseaux sanguins notamment au niveau du cœur (Avolio et al 2021). Or les vaccins à ARN et à adénovirus, qui dominent le marché, font fabriquer cette protéine par notre organisme. Le principe des vaccins traditionnels, c'est d'injecter des virus atténués, bénins. Or les vaccins COVID-19 font fabriquer par notre organisme une protéine du virus qui est une des causes de sa létalité. Il n'est donc pas surprenant que les effets secondaires et les décès rapportés liés au vaccins COVID soient en beaucoup plus grand nombre que pour tout autre vaccins (Réinfo Santé Suisse 2021). On nous dit que ces effets secondaires et décès ne s'expliquent pas forcément par le vaccin. C'est vrai. Corrélation n'est pas causalité. Quand on vaccine des millions de gens, il y en a forcément qui meurent de toutes sortes de pathologies juste après la vaccination, par coïncidence. Nous ne sommes pas idiots. Nous pouvons comprendre cela. Mais les effets reportés s'accordent avec ce que la science dit à propos des effets de la protéine spike. Celle-ci crée des lésions dans les vaisseaux sanguins qui sont cause de coagulation et de thromboses, expliquant les myocardites et accidents vasculaires cérébraux. Et ces décès et accidents surviennent en grand nombre chez des personnes vaccinées jeunes et en bonne santé. On nous dit également que les ARN restent dans la zone d'injection, dans le muscle deltoïde. Mais sur quels éléments se base-t-on vu que les études sur les vaccins ne comportent pas d'analyses pharmacocinétiques ? En fait, on sait maintenant que les ARN des vaccins, protégés de notre système immunitaire par les nanoparticules lipidiques, passent dans la circulation sanguine et atteignent divers organes. Une étude réalisée au Japon, malheureusement non traduite mais dont les graphiques peuvent être consultés, montre qu'ils s'accumulent dans la moelle et les ovaires des femmes. On en trouve également des traces dans d'autres parties du corps, y compris le cerveau, plus vulnérable car les neurones ne peuvent se régénérer et les lésions provoquées par la protéine spike seront irréversibles.

Quatrièmement, cette toxicité de la protéine spike pourrait n'être que la partie émergée de l'iceberg, car d'autres effets secondaires, déjà considérés comme possibles, pourraient être révélés dans le long terme. Les vaccins contre les coronavirus sont notoirement difficiles à mettre au point et certaines recherches à leur sujet (sur d'autres coronavirus) ont été arrêtées car ils ont provoqué la mort de souris (Tseng et al. 2012). Ils immunisent les souris mais quand celles-ci sont mises en contact avec le virus contre lequel elles ont été vaccinées, elles décèdent alors que les non vaccinées survivent. Ce phénomène mal connu, mais rencontré également dans le cas du vaccin contre la dengue (Normile 2017), est appelé la facilitation de l'infection par les anticorps (Lee et al 2020). Quelles garanties avons nous qu'il ne va pas se produire avec les vaccins COVID ? D'autre part, on a vu que les ARN des vaccins s'accumulent dans les ovaires. Cela est préoccupant car on y on trouve des cellules germinales. Que se passerait-il si le gène de la protéine spike était intégré à notre génome ? On nous dit que c'est impossible. C'est faux. On sait déjà que le gène du virus de la COVID-19 peut s'intégrer au génome humain. C'est déjà arrivé (Zhang et al 2020). Il suffit que la cellule dispose de transcriptase reverse, permettant de rétro-transcrire un ARN en ADN, et d'autres enzymes, qui peuvent etre fournies par des rétrovirus endogènes, permettant d'intégrer cet ADN au génome. Nos gènes comportent des tas de fragments de gènes de virus acquis durant les millions d'années de notre évolution. Les questions pertinentes à poser sont donc : quelle est la fréquence ou probabilité de ces inclusions dans notre génome ? La délivrance des gènes des vaccins dans les cellules par les nanoparticules, qui les protègent de notre système immunitaire, va-t-elle augmenter la fréquence de cet évènement ? On ne connaît pas la réponse. On ne peut qu'observer et mesurer ces effets sur les sujets expérimentaux que sont les vaccinés.

Autre point important : les vaccins sélectionnent des variants (Martin et al 2021Van Egeren et al 2021). Une étude récente (Niesen et al 2021) dit que la vaccination de masse diminue au contraire les variants mais elle a déjà été commentée et critiquée par Vanden Bossche (2021), qui argumente que si la vaccination réduit bien la diversité des mutations, elle les oriente dans une direction spécifique, ce qui conduit à l'échappement immunitaire. Cet échappement est logique pour tout biologiste darwiniste. Les vaccins permettent de produire des anticorps contre la protéine spike. Donc si un mutant apparaît, le vaccin lui laisse le champ libre en éliminant tous les virus à protéine spike non mutée. Vu que la protéine spike est un des éléments pathogènes du virus (l'élément pathogène principal ?), ces mutations ne seront pas anodines car des mutants plus ou moins pathogènes apparaîtront. La structure de la protéine spike présente des similarités avec celle de certaines protéines humaines notamment placentaires (Wodarg and Yeadon 2020). Si elle mute d'une manière qui la rapproche encore de la structure de protéines humaines, alors les réponses auto-immunes face à la COVID-19 et ses vaccins pourraient être accentuées. L'immunité naturelle, d'un autre côté, porte sur l'ensemble du virus, sur plusieurs de ses protéines, pas seulement la spike. Elle réduirait donc les risques de prolifération des mutants car si la spike mutait, le virus pourrait toujours être neutralisé par des anticorps se fixant sur d'autres protéines. En outre, selon Vanden Bossche (2020), la vaccination réduirait les chances d'acquérir cette immunité à spectre large, à cause d'une compétition entre les réponses immunitaires innées, qui sont moins spécifiques et mobilisée lors d'un contact naturel avec le virus, et les réponses immunitaires acquises, qui sont plus spécifiques et déclenchées par la vaccination. Noorchasm (2021), cependant, reconnaît l'existence de l'échappement immunitaire mais argumente que la seule manière de l'empêcher serait de vacciner tout le monde très vite afin d'acquérir l'immunité collective avant que les variants apparaissent.

Enfin, les vaccins à ARN sont une nouveauté et toute une série d'autres problèmes, inconnus ou mal connus, pourraient apparaître. A ce propos, il faut écouter les virologues les plus avancés, tel Luc Montagnier, prix Nobel et co-découvreur du virus du SIDA. Il parle d'activation de rétrovirus endogènes, de maladies à prion, et de phénomènes épigénétiques, c'est-à- dire de maladies qui se transmettent à la descendance sans impliquer une modification de notre ADN. Nous sommes là aux frontières de nos connaissances en biologie mais on sait que les prions sont la cause de nombreuses maladies neurodégénératives. Nous sommes sans réponses sur le niveau de ces risques mais le minimum que nous sommes en droit d'exiger, c'est que ce débat ait lieu, et que l'on donne la parole à nos plus grands scientifiques, afin d'avoir accès à cette information avant de se faire vacciner. Et si la fonction de cette vaccination de masse était justement de faire reculer les frontières de la science grâce à une expérimentation massive impliquant des milliards de sujets ? Je sais que cela sonne comme une théorie complotiste mais les théories complotistes sont comme toute théorie : elles méritent d'être testées dès lors qu'elles pourraient expliquer ce qui ne l'est pas encore et que certains indices conduisent vers elles. Les vaccins COVID-19 font appel à des méthodes employées en thérapie génique, et la thérapie génique est un secteur en pleine expansion. Elle a des applications militaires et sera source de profits immenses dans un proche avenir. Elle est un des piliers de l'agenda transhumaniste soutenu par les grandes sociétés technologiques, telles google et facebook, qui justement censurent la circulation de l'information et empêchent le débat sur les traitements précoces et les effets secondaires de la vaccination d'avoir lieu. Cette marche forcée vers la vaccination pourrait s'expliquer par la volonté des transhumanistes de conduire cette expérimentation planétaire (Medicalveritas 2020), plutôt que par les profits immédiats engrangés par l'industrie pharmaceutique.

On nous répondra que les coûts ou risques liés à la vaccination doivent être acceptés car ils sont moindre que les bénéfices. On nous dit que le vaccin réduit de 95% le risque de contamination, mais cela est également controversé. Les données brutes ne sont pas rendues publiques car elles sont protégées par le secret industriel, donc personne ne peut vérifier quel groupe de population exactement a ce niveau de bénéfice. Les études de Pfizer comprennent des cas de personnes ayant des symptômes COVID non vérifiés par un test PCR. Si ces personnes avaient la COVID, alors la réduction du risque d'infection pourrait n'être de de 19% (Doshi 2020). En outre, l'analyse des coûts et bénéfices se fait en considérant que la COVID-19 ne se traite pas, ce qui est faux. Et elle ne considère pas les coûts à long terme puisque ces coûts ne sont pas connus. Faut-il rappeler que les vaccins sont en phase expérimentale ? Ils ne bénéficient que d'une utilisation d'urgence car les expérimentations ne se termineront qu'en 2022 ou 2023 (Réinfo Santé Suisse 2021). En se faisant vacciner, on s'inclut donc dans un protocole expérimental qui déterminera le niveau de risques, ce dont on n'est généralement pas clairement informé. La vaccination ne peut donc être imposée, car ce serait contraire au code de Nuremberg sur l'expérimentation sur des sujets humains, et aux accords d'Helsinki sur l'éthique en expérimentation médicale. Il faut rappeler aussi qu'en cas de problèmes, les industriels qui produisent les vaccins ne sont pas tenus de prendre en charge les coûts. C'est aux gouvernements, donc aux contribuables, de payer. Aux USA, ou 9,048 décès 41,015 effets secondaires graves sont suspectés d'etre causés par la vaccination, des victimes de la vaccination prennent le risque d'être en banqueroute et doivent faire appel à la générosité du public pour être prises en charge.

Voilà, j'ai dit l'essentiel de ce que je voulais dire. Je n'ai pas d'autre intention que de susciter un débat que les autorités médicales, les médias, et les sociétés qui hébergent les réseaux sociaux tentent de museler, en faisant passer ceux qui contestent les politiques sanitaires pour des complotistes délirants, des frustrés, des égocentriques, ou des égoïstes, démarche qui rappelle plus l'inquisition que l'idéal scientifique. Notre avenir à tous dépend de ce qui sortira de ce débat. J'espère que tous ceux qui comme moi tentent d'alerter l'opinion publique et leurs proches se trompent. Mais il ne serait pas raisonnable, voire il serait suicidaire, d'exclure la possibilité qu'ils aient raison. J'espère que vous aurez le courage d'explorer cette possibilité en vous basant sur les faits, les publications scientifiques, et l'expérience des médecins qui ont soigné des patients COVID-19 en ambulatoire. Ils sont nombreux et on peut trouver leurs témoignages et leurs publications malgré les efforts de censure de google, youtube ou facebook. On les trouve aux USA, en France, au Canada, en Italie, etc... et ils arrivent tous aux mêmes conclusions. J'espère que vous me pardonnerez votre irritation si vous êtes convaincu de mon erreur, qui serait en fait l'erreur de milliers de scientifiques et médecins de haut niveau dont Robert Malone (voir aussi cette interview), inventeur des vaccins a ARN, et plusieurs prix nobel : Luc Montagnier, déjà mentionné, mais également Satoshi Ömura, découvreur de l'Ivermectine, et Michael Levitt, Professeur à l'université Stanford. Mon point de vue, basé sur l'écoute de ces personnes et d'autres qui sont aux premières lignes de la science et de la médecine COVID-19, c'est qu'en vous vaccinant, vous vous administrez un poison inutile, et que vous en reprendrez une dose à chaque nouvelle vague de COVID-19. Et il y aura de nouvelles vagues, à cause de, et non pas malgré la vaccination, et à cause du refus des traitements précoces et de l'empêchement de l'immunité groupe naturelle du fait du confinement généralisé. Si vous faites l'effort d'examiner mon point de vue, comme l'anthropologie nous apprend à le faire, alors vous réaliserez que c'est seulement si je n'avais pas écrit ces lignes que vous auriez dû me blâmer, même si tout ce que je dis ici est faux.

Avec toute ma sincérité,

Jacques 

 


 

I beg you ! 

I am writing this new letter on COVID-19 because this story is not over yet. It follows others that some of you received (NB : if you do not want to be recipients of future letters, just tell me). Mutants are appearing, new waves are unfolding, and we will continue to talk about COVID-19 treatments and vaccines, with 3rd, 4th injections, etc ... This debate will continue, against a backdrop of censorship and anti-science campaigns ( BMJ 2020 ), inevitably politicized public hearings , with increasing bias due to ongoing or pending legal actions, in France , India and internationally . 

I have included you in my recipients list simply because I love you, or have friendship or sympathy for you, and my duty is to reach as many people as possible. If you also have sympathy or love for me, or simply esteem, please make the effort to read this text with a cool head. I know in advance that this will provoke irritation and judgment against me, to the detriment of my social and professional relations, and stress to some of you, but that does not count considering what is at stake. I am sorry to cause this feeling of irritation but it is not my intention. Some will say that I am stubborn, obsessed, that I ruminate over these ideas over and over, that I want to satisfy my ego. Nothing of the sort. I care about you all and feel guilty, cannot sleep properly in the face of this feeling of failure and powerlessness to make you perceive a very serious threat. I wish I could see the facts and scientific publications that would make me change my mind. I've spent my life learning, being open to other people's ideas, often changing my mind because I listen to them. But publications that would oppose what a growing community of researchers say and think about this disease, against governments' doxa and the policies that follow, hardly exist. Just show me I'm wrong. Send me articles that refute the arguments made here. But please don't send me opinions of experts or journalists that are not based on any data. There is also no need to talk about my psychology or that of the other people in disagreement with COVID policies, at least for the moment. Because before explaining why and how I am biased, which will be a perfectly legitimate endeavor if I am wrong, you must first establish that what I am saying is false.

Some of you already know some of my arguments, but I will repeat them based on recent publications. The first, which constitute the ground that sustain all others, and which I ask you to refute if you can, because then all my reasoning would collapse and the stress that I am causing on all of you and on myself would disappear, is that the COVID-19 can be treated, provided treatment is taken early, less than 5 days after the onset of symptoms. I have already shared the list of publications that show this ( https://c19early.com/ ) but at least read the meta-analyzes on the efficacy of ivermectin, by Kory et al (2021) , Hill ( 2021) , and Bryant et al (2021) , and this recent publication ( Cadegiani et al 2021 ), about the “Raoult protocol” of the IHU of Marseille and other treatments that use the antibiotic azithromycin. It confirms what we have known for over a year. If we treat COVID-19 as soon as symptoms appear, we don't go to the hospital and we don't die, unless if we are close to our natural death and/or have co-morbidities. Plus we rarely develop the so-called “long COVID” symptoms. COVID then becomes a mild illness, no more serious than the flu. This is not a denial of the existence of victims. It is simply the recognition that the victims are explained by the fact that the disease is new and that doctors have been prevented from doing their job of trying various approaches to treat it, based on their medical knowledge and preliminary research carried out first in China from February 2020 ( Chen et al 2020 , Gao et al 2020 ), then in France and around the world. What I am saying here is not my opinion. These are facts stated by scientists and medical doctors who treated COVID patients in ambulatory medicine, which anyone can try to refute, and yet no one has refuted. What we have observed for more than a year, in the media and within expert committees, is the denial of these facts ( Pollini 2020 ). It is an inquisition that nails to the pillory, without credible reference, the doctors and researchers who advance these conclusions. Studies that purportedly refute these facts are performed on patients hospitalized and with COVID symptoms for more than 5 days, which makes them irrelevant to refute the claim that early treatments work, or on small numbers of young and healthy patients, which makes them unable to detect a significant effect, except when data are aggregated by doing meta-analyzes. Garcia-Albéniz et al (2020) and Ladapo et al (2020) have carried out such meta-analyzes, thus showing significant positive effects using studies that conclude that there is no effect. Fraud is also observed , at least in the case of the article by Mehra et al (2020) published by The Lancet. You can check all of this for yourself, by reading the articles rather than the writings of those who invoke them to justify their vision or their agenda. 

The second point is that once it is recognized that COVID-19 is treatable, strict lockdown and generalized vaccination become unambiguously unnecessary. It would suffice to confine, or even vaccinate, vulnerable people, those who die despite early treatment, because they are elderly and fragile or have co-morbidities, and the others could continue their occupations, allowing the economy to function and group immunity to form. This is what the scientists who signed the Barrington Declaration said . We could also embark on a reflection on the causes of comorbidities and see that the causes of death are chronic diseases explained by the deterioration of our lifestyle, due to poor diet and lack of exercise, even because of pollution, as the geneticist Christian Vélot asserts . The major epidemics in history have generally taken place during periods when the population was low due to poor diets ( Mazoyer and Roudart 1996 ). We have always faced pandemias caused by new viruses or variants, in 1889 , 1918 , 1957 , 1968 . If we are more vulnerable to COVID-19, the cause could be lack of exercise, unhealthy diet, or even depression and isolation for those with reduced social lives. Containment, in addition to having a probably very low efficacy in reducing the epidemic ( Bendavid et al 2021 ), only accentuates this degradation of the hygiene of life, while the vaccine will not solve the problem, because there will continue to be viruses and vulnerable people. We have been conditioned not to be able to contemplate this reality. We are now entitled to ask ourselves where this conditioning comes from. Why is it that the only accepted point of view, expressed in the media and by experts, is that the only solution to COVID-19 is mass vaccination, while this approach is contested by experts or collectives of doctors in the USA (see also Seneff and Nigh 2021), CanadaUKFranceGermany or Japan ?

The third point, mentioned in several of the sources above and which forced me to write these lines, is that the vaccine is toxic. The element, or one of the toxic elements in COVID-19, is the spike protein, which attacks blood vessels, with lethal consequences when it takes place in the heart ( Avolio et al 2021 ). RNA and adenovirus vaccines, which dominate the market, cause our bodies to manufacture this toxic protein. The principle of traditional vaccines is to inject attenuated, benign viruses. In the case of most COVID vaccines, our body is instructed to manufacture a virus protein which is in fact a pathogen agent on its own. It is therefore not surprising that the side effects and reported deaths linked to COVID vaccines are in much greater numbers than for any other vaccines ( Réinfo Santé Suisse 2021 ). We are told that these side effects and deaths are not necessarily explained by the vaccine. That is true. Correlation is not causation. When we vaccinate millions of people, some will necessarily die from all kinds of pathologies just after vaccination, by coincidence. We are not fools. We can understand that. But the reported effects are coherent with what science says about the effects of the spike protein. It creates lesions in the blood vessels, which cause coagulation and thrombosis , explaining myocarditis and stroke. And these deaths and accidents occur in large numbers among young and healthy vaccinated people. We are also told that the RNAs remain in the injection site, in the deltoid muscle. But what is the basis for saying this, given that vaccine studies do not include pharmacokinetic analyzes ? In fact, we now know that vaccine RNAs, protected from our immune system by lipid nanoparticles, pass into the bloodstream and reach various organs. A study carried out in Japan, unfortunately not translated but whose graphs can be consulted, shows that they accumulate in the marrow and the ovaries of women. It is also found in other parts of the body, including the brain, which is more vulnerable because neurons cannot regenerate and damage caused by the spike protein will be irreversible. 

Fourth, this toxicity of the spike protein might just be the tip of the iceberg, as other side effects, already considered possible, might be revealed in the long run. Vaccines against coronaviruses are notoriously difficult to develop and some research on them (on other coronaviruses) has been stopped because they have caused the death of mice ( Tseng et al. 2012 ). They immunize mice, but when these animals come into contact with the virus they were vaccinated against, they die while the unvaccinated survive. This poorly understood phenomenon, also encountered in the case of the dengue vaccine ( Normile 2017 ), is called the facilitation of infection by antibodies ( Lee et al 2020 ). What guarantees do we have that it will not happen with COVID vaccines ? On the other hand, we have seen that the RNAs from vaccines accumulate in the ovaries. This is worrying because there are germ cells there. What would happen if the gene for the spike protein were integrated into our genome ? We are told it is impossible. It's wrong. We already know that the COVID-19 virus gene can integrate into the human genome . It has happened before ( Zhang et al 2020 ). It suffices for the cell to have reverse transcriptase, allowing an RNA to be reverse transcribed into DNA, and to have enzymes, which can be provided by endogenous retroviruses, allowing this DNA to be integrated into the genome. Human genes contain fragments of virus genes acquired during the millions years of our evolution . The relevant questions to ask are therefore : what is the frequency or probability of these virus gene inclusions in our genome ? Will the delivery of genes into cells by vaccine nanoparticles that protect them from our immune system increase the frequency of this event ? We don't know the answer. We can only observe and measure these effects on experimental subjects (on the vaccinated). 

Another important point : vaccines select variants ( Martin et al 2021 , Van Egeren et al 2021 ). A recent study ( Niesen et al 2021 ) says that mass vaccination on the contrary decreases variants but it has already been commented on and criticized by Vanden Bossche (2021) , who argues that if vaccination does reduce the diversity of mutations, it directs them in a specific direction, which leads to immune escape. This escape makes sense for any Darwinist biologist. Vaccines make it possible to produce antibodies against the spike protein. So if a mutant appears, the vaccine gives it free rein by eliminating all viruses having non-mutated spike protein. Since the spike protein is one of the pathogenic elements of the virus (the main pathogenic element ?), These mutations will not be trivial because mutants of lower or increased toxicity will appear. The structure of the spike protein has similarities with that of certain human proteins, especially the placental ones ( Wodarg and Yeadon 2020 ). If it mutates in a way that brings it even closer to the structure of human proteins, then autoimmune responses to COVID-19 and its vaccines could be heightened. Natural immunity, on the other hand, involves the whole virus, several of its proteins, not just the spike. It would therefore reduce the risks of proliferation of mutants because if the spike mutated, the virus could still be neutralized by antibodies which bind to other proteins. Moreover, according to Vanden Bossche (2020 ), vaccination would reduce the chances of mobilizing broad-spectrum innate immunity responses, because of a competition between these responses, which are less specific and mobilized during natural contact with the virus, and acquired immune responses, which are more specific and triggered by vaccination. Noorchasm (2021) , however, recognizes the existence of immune escape but argues that the only way to prevent it would be to vaccinate everyone very quickly, in order to acquire herd immunity before the variants appear.

Finally, RNA vaccines are a novelty and a whole series of other problems, unknown or not well known, could appear. In this regard, we must listen to the most advanced virologists, such as Luc Montagnier, Nobel Prize winner and co-discoverer of the AIDS virus. He mentions the activation of endogenous retroviruses, the risk of prion diseases, and epigenetic diseases, which are transmitted to the offspring without involving a DNA modification. We are there at the frontiers of our knowledge in biology, but we know that prions are the cause of many neurodegenerative diseases. We have no answers as to the level of these risks, but the minimum we should ask is that this debate take place, that we give the floor to our greatest scientists, and that we have access to this information before deciding whether we will vaccinate. What if the function of this mass vaccination was precisely to push back the frontiers of science through massive experimentation involving billions of subjects ? I know it sounds like a conspiracy theory but conspiracy theories are like any other theories : worth investigating when they can explain the unknown and when certain facts bring them to your mind. COVID-19 vaccines use methods used in gene therapy, and gene therapy is a booming sector. It has military applications and will be a source of immense profits in the near future. It is one of the pillars of the transhumanist agenda supported by the big technological companies, such as Google and Facebook, which precisely censor the flow of information and prevent the debate on early treatments and the side effects of vaccination from taking place. This forced move towards mass vaccination could be explained by the will of transhumanists to conduct this planetary experiment ( Medicalveritas 2020 ), rather than by the immediate profits reaped by the pharmaceutical industry.

We are told that the costs or risks associated with vaccination must be accepted because they are less than the benefits, and that the vaccine reduces the risk of contamination by 95%. But this is also controversial. The raw data is not made public because it is protected by industrial secrecy, so no one can verify which population group exactly has that level of protection. Moreover, Pfizer's studies include cases of people with COVID symptoms not verified by a PCR test. If these people had COVID, then the reduction in the risk of infection might be as little as 19% ( Doshi 2020 ). In addition, the balance of vaccine costs and benefits is evaluated under the assumption that COVID-19 cannot be treated, which is false. And it does not consider the long-term costs since these costs are not known. Should we remind ourselves that vaccines are in the experimental phase ? They only benefit from emergency use because the experiments will not end until 2022 or 2023 ( Réinfo Santé Suisse 2021 ). By being vaccinated, we are therefore included in an experimental protocol that will determine the level of risk, and this is generally not clearly explained. Vaccination cannot therefore be imposed, because it would be contrary to the Nuremberg code on experimentation on human subjects, and to the Helsinki agreements on ethics in medical experimentation. It should also be remembered that in the event of problems, the manufacturers who produce the vaccines are not required to bear the costs. It is up to governments, and therefore taxpayers, to pay. In the USA , where 9.048 deaths and 41.015 serious secondary effects are suspected to be caused by vaccination, victims of vaccination take the risk of being bankrupt and must rely on the generosity of the public to be supported .

I have said most of what I wanted to say. I have no other intention with this letter than to spark a debate that the medical authorities, the media, and the companies that host social networks are trying to muzzle, by presenting those who challenge health policies as conspiracy theorists, frustrated persons, egocentrics, or egotists, an attitude that is more reminiscent of the Inquisition than the scientific ideal. Our common future depends on what comes out of this debate. I hope that I, and all those who try to alert the public opinion, are mistaken. But it would not be reasonable, and might even be suicidal, to rule out the possibility that we are right. I hope you will have the courage to explore this possibility based on the facts, scientific publications, and the experience of physicians who have treated COVID-19 patients on an outpatient basis. They are numerous and one can find their testimonies and publications despite the censorship efforts of google, youtube or facebook. They are found in the USA, France, Canada, Italy, etc ... and they all come to the same conclusions. I hope you will forgive me for your irritation if you are convinced of my mistake, which would in fact be the mistake of thousands of top scientists and doctors including Robert Malone (see also this interview ), inventor of RNA vaccines, and several nobel prizes : Luc Montagnier, already mentioned, but also Satoshi Ömura , discoverer of Ivermectin, and Michael Levitt , Professor at Stanford University. My understanding, based on listening to these people and others who are on the front lines of COVID-19 science and medicine, is that by vaccinating you are administering an unnecessary poison to yourself, and that you will take a dose again with each new wave of COVID-19. There will be new waves, because of mass vaccination causing immune escape and because of the denial of early treatments and the impeachment of natural group immunity due to generalized lockdowns. If you make the effort to examine my point of view, as anthropology teaches us to do, realizing that it is only if I had not written these lines that you should have blamed me, even if what I am saying is false. 

With all my sincerity,

Jacques


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