Lettre ouverte aux citoyens de notre civilisation de sociétés capitalistes de consommation

par Staniszewski
mercredi 10 avril 2019

MALHONNÊTETÉ : LE CANCER QUI RONGE NOTRE CIVILISATION !

 Notre Civilisation de Sociétés Capitalistes de Consommation d’aujourd’hui, grande uniquement par sa taille, est en train de se faire « manger » par la malhonnêteté ! !

La malhonnêteté est indissociablement liée, au point qu'elle en est la cause, du problème fondamental devant lequel - d'une manière générale, et à l'échelle globale - nous nous trouvons actuellement : la condition non durable du modèle du développement de notre civilisation.

La malhonnêteté dont nous sommes les victimes, rend impossible notre existence pérenne et viable. Elle remet en cause notre avenir à tous. Et surtout celle des générations futures.

Une délibération sur les fondamentaux…

Quels sont les grands principes et les lois fondamentales régissant de grands phénomènes liés à la durabilité (ou la non-durabilité) dans le monde du vivant dans lequel nous vivons ?

Ce n’est pas parce que nous voudrions que tout aille bien que par sort d’une providence, c’est ce qui se passe réellement…

Ce n’est pas parce que nous voudrions qu’il n’y ait pas de problème grave qu’il n’y en a pas vraiment. Seulement parce que notre système tel que nous le connaissons actuellement depuis plus d’un siècle et hormis les périodes de guerres dites mondiales et une crise économique en 1929 est relativement stable. 
Stable dans le sens qu’il avait permis la subsistance et le développement assez accéléré de plusieurs générations (par une approximation : aux alentours d’une dizaine - quinzaine).

La question fondamentale de la durabilité se pose sur plusieurs échelles de temps. Et l’échelle du long terme a cette particularité que nous pouvons être très bien dans une illusion parfaite de vivre dans un système « pérenne » et « viable » et dans nos esprits, donc durable. Alors que la réalité est tout autre. Par là même, le vrai danger est que cette illusion peut durer plusieurs siècles. En opérant ainsi, par ce que j’appelle : Illusion de la durabilité.

Selon moi, et ce que j’avance par la présente :

L’illusion d’une stabilité de notre modèle de développement, à long terme, est l’état de conscience ou plutôt, donc, d’une inconscience, ou encore un sort d'une illusion d’optique de la conscience, dans lequel nous sommes actuellement.

Les indices et les faits témoignent que la voie sur laquelle nous nous sommes engagés est fondamentalement erronée-mauvaise, et ne peuvent être pris en compte que sous la condition stricte et cohérente de l’honnêteté.

… De la vraie ! !

Et c’est bien elle qui fait défaut à nous, ici, à nos tenants du pouvoir ainsi qu’à nos dirigeants au jour d’aujourd’hui !

… Une délibération sur les fondamentaux - sur l’existence matérielle.

Pour tout être vivant. Pour tout être humain.
Notre plus grande richesse, la valeur supérieure et sacrée - par excellence à l’échelle de la planète, est :

La vie.

 C’est autour d’Elle que nous devrions nous réunir tous.

Cependant.
Aujourd’hui.
Réellement. Elle n’est pas prise en compte en tant que telle par les tenants du pouvoir des pays formant notre civilisation.

C’est la raison principale pour laquelle, actuellement, la vie biologique est en train de reculer et décliner sur notre planète.

Aujourd’hui, la vie biologique sur notre planète comprise comme la valeur sacrée se trouve corrompue sur le plan logique par la malhonnêteté. La malhonnêteté que je qualifie par conséquent donc comme civilisationnelle.

J'en veux pour preuve :

L'approche que je juge d'être d'une malhonnêteté la plus profonde. Mais dans un autre registre, il est question ici de la Malhonnêteté Civilisationnelle… avec laquelle les tenants du pouvoir et les dirigeants de notre civilisation « gèrent » la ressource devenue cruciale pour notre avenir qui est : le pétrole.

… Qui avant tout autre chose, en outre, est un type de matière bien particulier…

Selon moi une gestion vertueuse, et donc honnête, de cette ressource imposerait ce qui suit :

Compte tenu qu'il est question d'une ressource épuisable et toxique dans son utilisation en tant que source d'énergie - ce qui est l’usage le plus courant dont nous faisons, compte tenu aussi du bon sens, compte tenu de la logique… de la vie, nous devrions nous imposer une parcimonie, la plus grande, dans sa gestion. Ainsi que par l'esprit de partage avec les générations futures, nos tenants du pouvoir ainsi que nos dirigeants… si sur le plan intellectuel, ils avaient été honnêtes … auraient dû parvenir à la résolution suivante :

1. Les réserves existantes restantes du pétrole constituent la réserve stratégique de

 l'humanité.

2. Nous allons donc le partager avec les générations futures.

3. Par conséquent, à partir d'aujourd'hui, nous prohibons toute utilisation du pétrole

 du moins en tant que carburant.

Voici le problème posé dans le premier degré, vu de loin, qui permet selon moi la vision globale et juste : la Malhonnêteté Civilisationnelle de notre civilisation de sociétés capitalistes de consommation d’aujourd'hui.

 

Mon raisonnement consiste à faire corroborer les deux modes de raisonnement fondamentaux, à savoir déduction et induction. Le raisonnement déductif procède du haut vers le bas donc en commençant par le niveau le plus haut, du point de vue logique, à partir de grands principes fondamentaux et globaux – à l’échelle planétaire, et « descend » progressivement vers le niveau le plus bas, celui de l’individu. Le raisonnement inductif procède dans l’ordre contraire.

… 

 « Grossissons » un petit peu pour arriver à ce que j’appelle le second degré du problème, ou autrement dit, descendons à un niveau un petit peu plus bas.

« Si tu ne sais pas où tu vas, regarde d’où tu viens » – proverbe africain.

L’histoire du capitalisme, de notre pseudo système économique, « pseudo » - puisque fondé sur la malhonnêteté, n’est pas durable, pas logique, inique. Originellement occidental… c’est l’histoire des stratégies, des collusions, des conquêtes, d’expansion, en somme. Recherche d’expansion territoriale, économique ou dans bien d’autres domaines, comme la science, divers domaines techniques, plus tard aussi des technologies, le progrès technique (confondu parfois à tort avec le progrès) était toujours le but recherché. Les tenants du pouvoir se sont livrés à des luttes incessantes pour des expansions et des conquêtes du pouvoir, de ses différents genres. L’histoire des pays occidentaux est une histoire au fil de laquelle les périodes de paix qui séparaient les guerres n’étaient que des périodes de trêves, que des petites parenthèses entre les guerres. Au bout du compte, les tenants du pouvoir occidentaux se sont montrés totalement incapables de s’occuper du problème, que j’estime d’être fondamental : construire la paix durable.

Cependant, la construction de la paix durable est un art véritable, c’est un vrai défi. D’abord sur le plan purement logique. Je dirais même que c’est la science véritable, science-art, même !… Qui dans les faits, n’a strictement rien à voir avec une envie d’imposer ses conditions, « ses » - parce que les plus favorables possible pour une partie prenante, un pays et son ou ses dirigeant(s), par conséquent, non objectives, et injustes (ou vice versa)… d’une paix qui par conséquent, tout à fait objectivement ne pouvait être qu’éphémère.

Or.

De point de vue universel.


Du point de vue des principes, en commençant par les fondamentaux à l’égard de la vie, mais aussi à l’égard de toute priorité considérée d’un point de vue d’un individu - posée d’une manière vertueuse, la question de la paix — durable et universelle — est tout juste fondamentale ! ! C’est elle qui occupe la première place dans la hiérarchie des priorités pour l’ensemble des peuples, et pas seulement en Occident, mais à l’échelle de la planète.

Voici mon opinion sur la cause des échecs systématiques et notoires des tenants du pouvoir occidentaux à construire une paix qui aurait de vraies chances d’être durable, à travers l’histoire :

La dégradation progressive de notre rapport à la nature. Caractéristique de l’Occident.

… Mais aussi, plus ou moins indirectement, recul progressif de la spiritualité, autour de la vie biologique, en Occident.

Au fil de l’histoire de la civilisation occidentale, donc suivant une vision classique, depuis les débuts de la civilisation grecque – jusqu’à nos jours, l’attachement et l’amour envers la nature et la vie, « vie » comprise dans le sens biologique et intégral du terme, s’était, progressivement, et littéralement étiolé !

… Ceci est arrivé donc progressivement, au fil du temps et des générations qui passaient.

L’attachement et l’amour envers la nature et la vie biologique se sont fait progressivement « repousser » sur un plan de plus en plus lointain dans la hiérarchie des préoccupations des tenants du pouvoir en Europe, des centres du pouvoir tout d’abord, mais aussi de celles des élites intellectuelles des pays de l’Europe occidentale, pour finir par s’éloigner des horizons culturels, des traditions, ainsi qu’à la fin, de l’éducation de peuples occidentaux.

Ce qui en revanche avait pris de plus en plus de place dans les traditions des pays occidentaux à la place du sens de la vie en harmonie avec la nature, mais aussi à la place du sens de la vie en harmonie avec autrui, aussi bien sur le plan individuel que sur celui des relations entre les sociétés et entre les pays, c’est :

Le sens de la concurrence.

… Qui, avec le temps, évolua, (malheureusement), dans les relations entre les communautés, les sociétés, les nations, et les pays, vers un, ou plutôt vers le vrai :

Antagonisme.

Je ne juge pas ce que je peux appeler le cours de l’évolution des sociétés de l’Europe occidentale, donc des pays avec la tradition d’un système économique capitaliste comptant parmi les plus longs, et qui sont ceux qui constituent historiquement le tronc de ce que j’appelle la Civilisation de Sociétés Capitalistes de Consommation d’aujourd’hui. Parce que tout d'abord, il serait simplement insensé de tenter de livrer des jugements moraux, ce qui veut dire de condamner un manque de vision à long terme des anciens et des ancêtres occidentaux… de la vraie vision à long terme… donc telle que grâce au progrès technique et au passage du temps, cela permette de voir les conséquences du progrès technique dans le contexte réel et historique, nous pouvons l’avoir seulement aujourd’hui, enfin depuis à peine les quelques dernières décennies – pour être précis.
Dans le contexte dans lequel la question se pose, toute proportion gardée, et notamment à l'égard de l'état de l’évolution du savoir scientifique à travers les temps, l'idée de livrer aujourd'hui un tel jugement moral serait équivalent à la condamnation d'un manque de clairvoyance qui dépasse tout objectivement les capacités humaines.
En outre, je n'ai aucune motivation à livrer un jugement moral pour une autre raison, personnelle, qui est celle que les anciens et les ancêtres occidentaux qui sont à l’origine de notre civilisation sont, je peux le dire aujourd’hui, aussi les miens, tout simplement parce que je vis dans cette civilisation, ceci même si le cercle - prétendument « en cause » - serait relativement restreint puisque à proprement parler, lesdits anciens et ancêtres occidentaux qui seraient à l’origine de notre civilisation ne sont que ceux qui ont eu un lien quelconque avec le pouvoir.
En outre, parmi d’autres innombrables raisons que je pourrais citer, et pour lesquelles il est insensé de procéder à un jugement moral de nos ancêtres figure aussi celle que ce fut un parcours très chaotique.

… Nous voici au fond du sujet du Développement Durable, du projet de vie, ou autrement dit, de la Paix Universelle… qui en est inhérente.

Pour en finir avec la question d’un jugement éventuel revendicatif et moral qui n’apporte rien de constructif, la vraie raison fondamentale, principale, et celle qui prime sur toutes les autres et pour laquelle je m’abstiens de tout jugement moral, est celle que mon but n’est pas celui de faire un procès quelconque aux coupables, que je pourrais prétendre alors à désigner, mais celui de la :

Compréhension.

… Laquelle se décline en trois points fondamentaux :

1. Celle du fond du problème. Selon moi : la malhonnêteté. C’est bien elle

 qui constitue le point zéro. Absolu. Le point (ou le plus minuscule cercle, et donc le

 plus minuscule cycle, « le cercle zéro ») du départ. 

2. Compréhension du Comment. Comment sommes-nous en arrivés là ?
 … Dans la situation actuelle dans laquelle les dirigeants et les tenants du pouvoir
 des pays qui entrent dans la composition de notre civilisation de sociétés
 capitalistes de consommation, en faisant reculer la vie sur la planète par un mode
 de développement inadapté à long terme à la vie terrestre, sont en train de jouer le
 jeu que nous tous, à long terme, nous ne pouvons que perdre ?

3. Effort créatif et constructif de l’imagination – qui est mon vrai but.

Le côté positif et constructif fait le sens de ma démarche. 

Elle est donc la plus importante ! 

Elle est essentielle.

La recherche de pistes possibles d’une solution, d’une alternative au système économique ou plutôt au pseudo-système économique actuel de notre civilisation d’aujourd’hui – constitue le fondement de la présente lettre.

J’essaie d’amorcer par les moyens modestes d’un simple citoyen que je suis mais avant tout d’un être vivant tout simplement, et - de ce fait - d’un défenseur du monde du vivant : une délibération libre autour du sujet des valeurs fondamentales telles que la vie et son sens, le mode de vie (ici, en prenant en considération d'abord le côté matériel de la vie), le modèle de développement d'une société, la durabilité, l'honnêteté, l’ordre, etc. Mais – aussi de l’autre côté – des principes globaux, autour de l'ensemble des éléments qui forment la réalité dans laquelle nous vivons. Pour ma part, je proposerais plutôt, en se basant essentiellement sur les éléments matériels.

Ce qui est alors bien étonnant, dans la suite de cette histoire, est ce qu’il y avait dans l’histoire de l’humanité des peuples qui savaient comment vivre en harmonie avec la nature et donc comment gérer leur mode de vie à long terme — « à l’ancienne », comme les Amérindiens, les Aborigènes, les Maoris, les peuples de l’Afrique « noire », avant la colonisation, et bien d’autres. Mais... au terme de plusieurs dizaines de milliers d’années, parfois, de leur histoire, ils ont été écrasés tous (ou quasiment tous) par ce qui constitue aujourd’hui notre Civilisation de Sociétés Capitalistes de Consommation.

Eh bien qu’est-ce qui s’est donc passé, au juste ? Pourquoi ce sont eux qui se sont fait écraser (et dans certains cas pour une seulement bien minuscule partie absorbée) par nous, par notre civilisation, et pas vice versa ?

Ce qui s’est passé est qu’un système durable, fondamentalement, ne tolère pas la malhonnêteté.

J’ai délibéré donc sur le sujet, et je suis arrivé à ma conclusion qu’en fait, très facilement, cette thèse est défendable… parfaitement :

L’honnêteté est la cohérence. La cohérence est la justesse. La justesse est la capacité de distinction du bien et du mal. La justesse est en théorie la justice (le système juridique et la loi). La justesse devrait être, en fait, la justice. La justice, couplée donc avec le vrai effort humain, est l’honnêteté… et la boucle est bouclée.

Un système durable est un système honnête, cohérent, juste (dans le sens premier), juste (dans le sens second), et (pour fermer la boucle), honnête.

Par conséquent, un système dirigé d’une manière non cohérente, parce que non durable. Parce que son modèle de développement empiète sur le terrain non durable, c’est un système qui est dirigé d’une manière malhonnête. Et notamment un système allié à un intermédiaire monétaire, à la monnaie, puisqu’en l’espace de quatre, cinq siècles, il est capable de produire un phénomène géologique et géopolitique-économique tel que l’Anthropocène à un impact à l’échelle planétaire. Le problème est qu’un tel système peut détruire facilement un système honnête, qui lui, est orienté vers la durabilité et d’une manière générale vers la paix durable et de cette part vulnérable puisqu’il respecte la loi de la nécessité vitale (il ne prélève du milieu naturel que le strict minimum dont il a besoin pour vivre).

Voilà ce qui, selon moi, s’est passé…

Voici le problème posé par un raisonnement en termes de cycle, dans un second degré.

« Grossissons » encore un petit peu pour arriver à un troisième degré (« un » et pas « le » parce qu’il est question de mon point de vue personnel) du grossissement, qui en fait est un degré de l’approximation qui se trouve ici en décroissance, donc dans un processus de précision, s’accompagnant d’une prise en compte en délibération, progressivement, d’un nombre croissant des éléments, subordonnés au plus grand principe et l’élément suprême dans la hiérarchie de valeurs : la vie. Et sur le plan technique, puisque je m’occupe ici de son côté matériel : le temps.

Le problème de la non-durabilité de notre modèle du développement.

Dans cette volée du cycle du troisième degré, il serait bien, encore une fois, de repartir des fondamentaux.

… Puisque notre richesse principale et universelle est :

La vie.

C’est alors autour d’Elle que nous devrions nous réunir tous.

… Et non pas autour de l’égoïsme !

… Comme notre pseudo-système capitaliste de sociétés de consommation est articulé aujourd’hui, du moins ceci est mon avis tout à fait personnel sur la question.

Mais selon moi, tout à fait naturellement, la question de la vie, de la Malhonnêteté Civilisationnelle et de l’égoïsme qui lui est inhérent, se pose dans l’ordre. Ordre dont la généalogie est une affaire extrêmement passionnante et mérite de ce fait largement d’être consignée et publiée dans un beau livre. Cela dit… cette passionnante généalogie de l’ordre universel, je la reprends ici, à partir de son aspect du pouvoir. Voici sa hiérarchie :

1. Le pouvoir du premier ordre.

Le pouvoir du monde des lois physiques.

Tout comme notre environnement, nous sommes soumis au pouvoir fondamental qui est le pouvoir naturel ou, autrement dit, le pouvoir des lois physiques. Le roi dudit pouvoir des lois physiques est le temps. Le temps constitue le pouvoir des pouvoirs. Il en est au sommet.

2. Le pouvoir du second ordre.

Au pouvoir des lois physiques, couronné par le temps, donc au pouvoir fondamental, s’ajoute le pouvoir socialo-physique — humain. Je l’avais appelé ainsi parce qu’il est question du pouvoir qui s’exerce d’abord par les humains sur les humains (organisés dans les sociétés). Puis il est exercé par les humains (« humains » – d’une manière générale) sur l’environnement, par la concurrence des lois physiques. À la différence du pouvoir fondamental, du pouvoir des lois physiques, qui quant à lui, (suivant les croyances) est naturel ou divin, (selon moi plutôt naturel), le pouvoir du second ordre, socialo-physique – humain, est d’origine anthropique.

3. Le pouvoir du troisième ordre (strictement anthropique).

Pouvoirs tertiaires. 
Culture. Éducation. Pouvoir(s) médiatique(s).

Avec, comme sous-genre de ce dernier, quelque part comme une curiosité, un sous-genre et une forme d’un des outils du pouvoir médiatique, donc du troisième ordre. Outil très particulier : la publicité.
 
Le pouvoir du troisième ordre est exercé par les humains et sur les humains. Il n’a que des conséquences indirectes sur le monde des lois physiques, donc sur l’environnement naturel terrestre pour des raisons structurelles de fonctionnement de la société sur son environnement matériel.

Le modèle de la subsistance matérielle (autrement dit, du développement - sur le plan matériel) de la société ou encore autrement, le modèle de développement économique. Le fonctionnement de l’économie (en bref) est la résultante du pouvoir anthropique - du second ordre. 

En raisonnant ainsi, en termes du cycle, je peux très bien faire des cercles fournis de plus en plus en nouveaux éléments, et revenir à certains autres, abordés déjà dans des cercles précédents, mais leur donnant ainsi une définition de plus en plus complète, puis de plus en plus stricte et cohérente (sans oublier de fournir les références historiques). Mais le vrai sens de ma démarche et de la logique quelque peu nouvelle que je propose, n’est pas celui de créer un nouveau manuel ou livre d’histoire, géopolitique, d’un genre nouveau. Du moins ceci n’est pas mon but.

Le but pour moi est de trouver le germe d’une idée, d’une piste, ou peut-être même du début d’un concept. D’une alternative au pseudo système actuel. Une vision sur :

Comment sortir de ce cercle vicieux sur la voie vers laquelle actuellement nous sommes ?

… Le cercle vicieux, qui serait le dernier de mon analyse — si je continue mon jeu de cercles que je viens de commencer, et si, après, suivant ma logique, j’avance dans le temps… Évidemment, si je ne change rien dans la construction de ceux qui suivront, qui portent sur le passé, sur le présent, et sur quelques prévisions du futur, résultante de l’inertie et dans les domaines s’y soumettant permettant ainsi une vision bien probable.

Bien évidemment, j’ai ma petite idée à moi d’une telle possibilité d’évolution positive, bien théorique et même utopique, au jour d’aujourd'hui de la situation... ! J’y travaille toujours tout en harmonie avec le temps, bien nécessaire pour la livrer. Il y a donc un livre dans l’air… où je traite le problème d’une manière (plus) intégrale (dans les limites de mes possibilités) et où je dresse les cercles suivants au-delà des trois premiers, dont la version la plus succincte mais fidèle est celle que je viens de dresser ici. Je procède suivant mon raisonnement qui est un raisonnement en termes de cycle. Mes travaux sont plutôt bien avancés à ce jour… Cela dit, pour un sujet aussi vaste, la fin ne peut être que bien hypothétiquement vraiment proche… Autant donc tenter d'y parvenir, à plusieurs…

… Mais au fond, c'est une simple réflexion honnête que je propose autour des fondamentaux par le moyen de la présente lettre.

Une réflexion pour la Vie.

Prenons le temps de rechercher de la justesse. En cas de réussite, comme par magie, la cohérence qui en fait est la justesse nous donnera la plus belle des « réflexions du sens ».

Soyons conscients cependant que l’erreur est humaine…

Au point d’en être disposé à nous permettre à nous-mêmes de sacrifier notre temps à en faire.

Donnons-nous-en, aussi, et même surtout, encore… à les corriger par la suite…

Y compris celles que moi j’ai pu commettre, et certainement (!) jusqu’alors.

Et puisque « Nous sommes tous très ignorants, ce qui se passe c’est que nous n’ignorons pas tous les mêmes choses ». (Albert Einstein).

Apprenons mutuellement sur nos erreurs.

De préférence 

À

Temps.

Tomasz Staniszewski 


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