Marre des qu’on !
par Papybom
mardi 11 août 2009
Impossible d’avoir une discussion sur un sujet de société, sans tomber sur un pseudo-spécialiste.


Des qu’on émet une réflexion sur le peuple Juif, c’est la bronca des antisémites qui déferle. Excusez-moi, je n’avais pas remarqué votre croix gammée. Non, je n’ai pas lu le livre de Raphaël Draï. Bien sûr, c’est grave. Je pensais juste que…..voulez-vous une autre bière ?
Dès qu’on aborde la politique française, on est sûr de n’être qu’un pauvre con. Pour un défenseur de la droite, la gauche n’est qu’un repaire de ringards. On vous déferle un flot d’arguments, capables de faire plus de dégâts que la rupture du barrage de Malpasset. Balayé sous un flot d’argument, vous perdez pieds en cherchant une bouée. Peine perdue, dès qu’on vous sent déstabilisé, on ouvre les vannes pour vous submerger. On souhaite une trêve, comme dans la guerre des Vanes, avec échange de d’arguments, peine perdu. Votre contradicteur est un as (pas un Ase).
Dès qu’on s’intéresse à la finance, la soirée est foutue. Attendez-vous à une gueule de bois pour le lendemain. Notre Dame de l’oubli (l’Absinthe) , n’est qu’un breuvage neutre en rapport aux arguments qui seront distillé pour vous étourdir. Votre contradicteur, un brasseur (d’affaires) , vous laissera dans un état éthylique proche du coma.
Dès qu’on parle voiture, il faut préparer un constat à l’amiable en prenant les torts à sa charge. Attendez-vous à une sortie de route, avec votre poubelle. C’est simple, dès qu’on parle voiture, je me casse !
Dès qu’on veut en griller une petite, tous s’enflamme. On est certain de se faire des cendres. Il Evin de sortir l’argument de liberté, St Claude a sorti une loi en janvier 1991 qui à fait un tabac.
Dernière solution pour débattre, rejoindre AgoraVox.
Dès qu’on a la chance d’être publié, on attend sereinement les commentaires. Mais voilà qu’arrive une nouvelle race de contradicteurs : les trolls. Personnellement, je les surnomme les « Victor ». Ils génèrent des polémiques (Paul Emile.. )
Article sans autre prétention que de rappeler que, dès qu’on rédige un peu, on n’est plus des cons !
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