Marre du confinement ? Allez jouer au foot à Saint-Denis (93)...

par Coeur de la Beauce
vendredi 24 avril 2020

Avec le retour des beaux jours, le confinement est une véritable punition infligée à nos compatriotes. Avril-mai, c'est le temps des sorties, des brocantes, des kermesses, par un temps clément et agréable. Pour ceux qui résident à la campagne, cela ne change pas grand-chose, pour les citadins c'est le calvaire de l'assignation à résidence dans un appartement avec le voisinage à supporter, ainsi que l'environnement familial.

Nos "gamins des cités", engaillardis par trente ans de protection médiatique face aux forces de l'ordre, protégés à chaque "bavure" (la dernière en date à Villeneuve-la-Garenne), excusés par leur présumée pauvreté et les prétendues "discriminations" dont ils seraient victimes, se moquent bien de ce confinement et de la protection de leur entourage face au covid 19. Il est vrai que dans ces quartiers suréquipés en stades, gymnases et autres installations financées par la "politique de la ville", les loisirs de plein air ne manquent pas.

Comme d'habitude, il ne faut pas compter sur la télévision pour nous informer de la situation dans les zones de non-droits. Le web joue ce rôle. On apprend ainsi qu'à Saint-Denis (93), des "jeunes" jouent au football comme si de rien n'était, au stade Auguste Delaune. En plein après-midi de surcroît. Les français qui se déplacent munis de leur autorisation de sortie, verbalisés au moindre écart par les gendarmes, et qui jouent le jeu du confinement, apprécieront le manque de civisme de la jeunesse des cités populaire.

De même, on pourra s'étonner de l'absence d'intervention des forces de l'ordre dans ces quartiers surpeuplés, donc propices au développement du coronavirus, quand les policiers et les gendarmes sont omniprésents dans des zones où il y a peu de contaminés. Peur des émeutes, des affrontements, crainte d'un emballement médiatique dès qu'un loulou de quartier est brutalisé par un policier, cela donne des droits et un sentiment d'impunité à des gens qui se moquent des lois de la république, préférant celles des croyances de leur communauté d'origine.

Ainsi, un syndicaliste policier dénommé Noam Anouar, lui-même natif des "quartiers", nous explique que ces jeunes considèrent que le covid-19 est la maladie des "babtous", des français, pas la leur. Nous apprenons que dans un hadith du prophète Mohammed, la consommation de certaines racines est préconisée pour se protéger des épidémies. Il parait qu'ils raisonnent en ultra-libéraux, n'agissent qu'en fonction de leur propre intérêt, se moquent de ce qui se passe à plus de 10 kms de chez eux.

Mentalités médiévales, sottise et manque de culture, refus de s'intégrer, les jeunes footballeurs de Saint-Denis sont peut-être l'avenir de leur quartier (s'ils survivent au virus), mais pas de notre pays. Après tout, les gogos qui soutiennent ces gens au nom de l'excuse sociale et du soi-disant "racisme" peuvent aller jouer au ballon avec eux, puisque la police n'interviendra pas...

En revanche, interdiction formelle des rassemblements entre braves gens, y compris en petits groupes. Ainsi, les prêtres d'une église du VIIIème arrondissement parisien, cossu et tranquille, où les gens travaillent et paient leurs impôts sans vivre d'allocations sur le dos des autres, en ont fait les frais. Des policiers armés ont ainsi fait irruption durant une messe célébrée en groupe réduit et portes fermées, pour faire cesser le "trouble au confinement". On imagine l'entrée de la paroisse forcée et le manque de courtoisie des policiers, au point que l'épiscopat parisien a publié un communiqué rappelant qu'il est interdit de pénétrer armé dans un lieu religieux : c'est un acquis de la laicité. D'ailleurs qui peut être dérangé par cette messe retransmise sur internet à part quelques riverains abrutis, électeurs de la gauche bobo ? 

Deux poids deux mesures. Le laxisme intégral dans les quartiers à émeutes, la tolérance zéro dans les centre-villes. On attend, en outre, de constater la même démarche de nos zélés policiers pour faire cesser les appels publics à la prière des muezzins dans certaines mosquées (Lyon notamment). L'accueil des paroissiens musulmans risque d'être plus sportif que celui des braves chrétiens parisiens. N'est-ce pas là un cas de discrimination, puisque les uns sont plus surveillés que les autres dès qu'ils communient ?

Ce confinement est donc une vaste escroquerie. Tout le monde sait qu'il est impossible de confiner les zones de non-droits de notre république, ravagées par quarante ans d'abandon des quartiers aux trafiquants de drogue, par l'immigration non-choisie, le rejet des coutûmes européennes et la collaboration d'une certaine gauche tiers-mondiste, anticléricale et libérale avec les racailles de quartiers. La prolongation de la pandémie du covid-19 sera la punition collective infligée aux français héritiers de ces errements politiques. Ce n'est pas un hasard si la Seine St Denis est le département le plus touché de France, si la région parisienne compte des milliers de victimes... 

Tant que ces "jeunes des quartiers" refuseront de rejoindre la collectivité et d'adhérer au civisme républicain, ils resteront dans leur mouise et cantonnés aux parties de football intra-communautaires. Pas d'intégration sans donnant-donnant : faire comme tout le monde, ou circuler. La crise du coronavirus ne fait que rappeler les tristes réalités de notre pays...

 

Sources de l'article : https://francais.rt.com/france/74059-matchs-foot-emeutes-stupefiants-95-pourcents-quartiers-confinent-bien-selon-policiers

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/trois-policiers-font-irruption-dans-une-eglise-parisienne-pour-demander-l-arret-d-une-messe-20200422

 


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