Mensonges sur les vaccins obligatoires
par doctorix, complotiste
mardi 29 août 2017
Le site "demarchesadministratives.fr", qui prétend être un portail d'information administrative distinct des administrations, et revendique la clientèle de 6.000.000 d'internautes, ne fait pas dans la dentelle.
Ainsi, il titre sur la liste des vaccins obligatoires pour les enfants de moins de deux ans.
Chacun sait que jusqu'ici, seuls trois vaccins sont obligatoires : diphtérie, tétanos et polio.
Pourtant, ce site n'hésite pas à écrire :
"... dès 2018, le nombre de vaccins augmente, consultez ici la liste des vaccins obligatoires, leur prise en charge et les sanctions encourues en l'absence de vaccination."
Il ajoute : " En 2018, ils (les trois obligatoires actuels) seront accompagnés de 8 nouveaux vaccins obligatoires : le pneumocoque, la méningocoque C, l’hépatite B, l’haemophilus influenzae B, la coqueluche, la rougeole, la rubéole et les oreillons. Cette vaccination obligatoire s'adresse à tous les enfants de moins de 2 ans".
Une décision aurait-elle été prise à mon insu ? Un débat parlementaire aurait-il paru superfétatoire avant la prise d'une décision pareille, aussi risquée et mal préparée ? Car jusqu'ici, cette idée absurde et révoltante reste à l'état de projet.
Alors, faut-il s'attendre à un décret ou à une ordonnance ? Ce serait inadmissible.
Seraient-ce que les lobbies pharmaceutiques font la pluie et le beau temps au sein du gouvernement, et prétendent que leurs désirs sont des ordres auxquels députés et Ministres n'ont que le choix d'obéir ? Je ne pose cette question que par pur formalisme...
J'ai eu beau parcourir l'ensemble des pages de ce site, je n'ai pas pu découvrir ni son origine, ni son financement. Gageons que les laboratoires ne sont pas loin.
En attendant une décision ministérielle, il s'agit purement et simplement de désinformation. Il pourrait même s'agir de mensonge, car la décision est loin d'être prise.
Certes, cette décision reste probable, une majorité de députés godillots dont certains ont le niveau de chef de classe n'étant pas bien difficile à convaincre : qui sont-ils pour décider des bienfaits de la vaccination, alors qu'ils n'y connaissent rien, et seront une proie facile pour la propagande des lobbies pharmaceutiques et de leurs "experts" appointés ?
Il est donc grand temps que ceux qui ont sérieusement étudié les vaccins au delà de la propagande orchestrée, et ils commencent à être de plus en plus nombreux au sein de la population, se décident à écrire à leur député pour protester contre ce diktat qui s'oppose aux droits de l'homme, à la loi Kouchner, à l'avis de l'Europe et au simple bon sens, et à participer à la manifestation du 9 Septembre devant le Ministère de la santé.
Et vous serez bien avisés de vous faire une idée au travers de l'appel à la résistance aux 11 vaccins obligatoires lancé, entre autres, par le Pr. Henri Joyeux. (https://www.breizh-info.com/2017/07/06/73382/professeur-joyeux-lance-resistance-aux-onze-vaccins-obligatoires).
On peut y lire la déclaration peremptoire du premier Ministre Edouard Philippe : "« L’an prochain, les vaccins pour la petite enfance, qui sont unanimement recommandés par les autorités de santé, deviendront obligatoires » a-t-il déclaré. C'est peut-être l'avis des autorités de santé, si proches des laboratoires, mais pas celle de l'ensemble des médecins, puisque deux sur trois ont des doutes sur l'efficacité des vaccins, et même un sur trois sur leur inocuité. On est très loin du consensus. Il leur reste à trouver le courage de le dire haut et fort. De dire que la santé n'est pas la propriété de quelques députés ou ministres, moins encore des laboratoires pharmaceutiques, mais celle des médecins et de la population.
Voici l'intégralité du texte proposé par ce site jusqu'à ce jour mensonger :
Liste des vaccins obligatoires en 2018 pour les enfants de moins de 2 ans
En 2018, 11 vaccins seront obligatoires pour l'enfant de moins de 2 ans : consulter la liste des vaccins, trouver un centre de vaccination et informez-vous sur la prise en charge des remboursements
Pour les parents, la vaccination est un passage obligatoire au cours des premières années de vie de leur enfant. Le retour de certaines infections et des décès évitables en France ont conduit la ministre de la Santé à prendre des décisions. C'est pourquoi, dès 2018, le nombre de vaccins augmente, consultez ici la liste des vaccins obligatoires, leur prise en charge et les sanctions encourues en l'absence de vaccination.
L'extension du nombre de vaccins obligatoires de 3 à 11 pour les enfants
Pour 2018, la ministre de la Santé a décidé d’agrandir la liste des vaccins obligatoires pour les enfants de moins de 2 ans. Les 3 vaccins actuellement obligatoires sont contre le tétanos, la diphtérie et la poliomyélite. En 2018, ils seront accompagnés de 8 nouveaux vaccins obligatoires : le pneumocoque, la méningocoque C, l’hépatite B, l’haemophilus influenzae B, la coqueluche, la rougeole, la rubéole et les oreillons. Cette vaccination obligatoire s'adresse à tous les enfants de moins de 2 ans.
Les vaccins non-obligatoires
D’autres vaccins restent seulement recommandés mais non-obligatoires. Pour rappel, il y a le vaccin contrela tuberculose pour les enfants de 0 à 15 ans vivant en Île-de-France et en Guyane, ou ayant des antécédents familiaux. Puis, le vaccin contre la grippe à partir de 6 mois et pour toute personne à risque. Il y a également les vaccins contre le zona pour les personnes âgées de 65 à 74 ans inclus, et contre le papillomavirus humainspour les jeunes filles de 11 à 14 ans, voire 19 ans pour les rattrapages.
La prise en charge des vaccins
Aucun vaccin ne sera à la charge des parents. Leurs coûts seront couverts à 65 % par la Sécurité sociale et les 35 % restant par les mutuelles complémentaires. Pour les personnes ne bénéficiant pas d’une mutuelle, des centres de vaccination complètement gratuits existent déjà.
Trouver un centre de vaccination
Les centres sont disponibles au sein des PMI (centres de protection maternelle et infantile). Toutes les PMI ne disposent pas d’un centre de vaccination, dans ce cas, contactez la PMI la plus proche de chez vous qui vous indiquera l’emplacement d’un centre de vaccination dans votre périmètre. Si vous ne souhaitez pas passer par un centre de PMI, contactez simplement votre médecin traitant.
Rappel de la réglementation concernant la vaccination
Au-delà du risque physique pour votre enfant, ne pas le vacciner peut être sanctionné par la loi. 6 mois de prison et 3 750 € d’amende sont prévus pour les parents qui ne font pas vacciner leurs enfants.
Si cela entraîne un réel risque pour la santé, la moralité, la sécurité ou l’éducation d’un enfant, le parent risque jusqu’à 2 ans de prison et 30 000 € d’amende.