NON au retour du Passeport vaccinal !
par Jean-Luc Picard-Bachelerie
lundi 28 novembre 2022
En novembre dernier, les chefs d’États des vingt plus grandes puissances mondiales se sont réunis à Bali lors du G20. À cette occasion, ils ont conclu un accord pour créer une identité numérique sanitaire destinée à l’ensemble des citoyens du monde.
C’est le ministre de la santé indonésien, Budi Gunadi Sadikin, qui a vendu la mèche en premier. En pleine conférence, il a ainsi déclaré : « Ayons un certificat de santé numérique reconnu par l'OMS. Si vous avez été vacciné ou testé correctement, alors vous pourrez vous déplacer. (…) Les pays du G20 ont convenu de ce certificat numérique en utilisant la norme de l'OMS, et nous le soumettrons à la prochaine assemblée de l’OMS à Genève lors de la révision de la réglementation sanitaire internationale. source »
Cette annonce a été confirmée par plusieurs pays membres du G20 :
- Aux Etats-Unis, la Maison Blanche a ainsi publié un communiqué sur son site officiel source, annonçant vouloir soutenir « la poursuite du dialogue international et de la collaboration sur la mise en place de réseaux mondiaux de confiance en matière de santé numérique dans le cadre des efforts visant à renforcer la prévention et la réponse aux futures pandémies, qui devraient capitaliser et s’appuyer sur le succès des normes existantes et des certificats numériques COVID-19 »
- En France, le gouvernement a partagé la déclaration signée par les membres du G20 source, qui souligne, à l’article 23, « l’importance de normes techniques et de méthodes de vérification partagées, dans le cadre du RSI (2005), pour faciliter les voyages internationaux sans rupture, l’interopérabilité et la reconnaissance des solutions numériques et des solutions non numériques, y compris la preuve des vaccinations. source ».
- Au Canada, le gouvernement de Justin Trudeau a admis avoir signé un contrat de 105 millions de dollars avec le Forum de Davos pour la création d’un système d’identification numérique des voyageurs aériens source.
- En Nouvelle-Zélande, la première ministre Jacinda Ardern collaborerait avec Microsoft pour le déploiement d’identifiants numériques à travers le pays source.
Officiellement, l’objectif de ce « nouveau pass sanitaire » est de pouvoir agir immédiatement en cas de nouvelle épidémie. Et pourtant, l’expérience a bien montré l’inutilité de cette démarche. En août 2021, l’OMS déclarait même qu’un « laissez-passer sanitaire basé uniquement sur le statut vaccinal individuel pouvait augmenter le risque de propagation de la maladie. source ».
Durant ces deux dernières années, les gouvernements, et particulièrement le nôtre, ont profité de la crise sanitaire pour faire avancer très fortement le projet néolibéral qui ne s'arrête pas à la question économique mais qui consiste à atomiser le peuple de telle manière qu'il soit incapable de s'unir pour lutter pour ses libértés. Le gouvernement invisible des cabinets conseils, inventé par Walter Lippmann le concepteur du néolibéralisme, a sorti tout son arsenal pour fabriquer notre consentement et nous faire gober tous les mensonges officiels. À commencer par l'auto-attestation de sortie qui n'était en fait qu'un consentement à s'enfermer 23 heures par jour.
Dernièrement, le PDG de Pfizer a reconnu que son vaccin n'avait pas été testé pour savoir si un vacciné pouvait tomber malade du virus et s'il pouvait contaminer source. Fin 2020, il nous disait strictement le contraire et notre gouvernement a tout fait pour nous obliger à nous vacciner nous persuadant que nous atteindrions l'immunité collective. Immunité qui était impossible vu les résultats catastrophiques du vaccin en matière de prolifération du Covid chez la plupart des vaccinés. En janvier 2022, Olivier Véran tentait encore de nous faire croire à l'immunité collective acquise grâce au vaccin source alors qu'en avril 2021, une étude avait déjà donné un résultat enterrant toute possibilité d'immunité collective. Autrement dit, le fait qu'au moment de son introduction, le vaccin n'ait pas été testé sur sa faculté à stopper la transmission du virus enlève toute base légale à la mise en place du passeport vaccinal source.
Une pétition est ouverte ici